Les auteurs savoyards au centre des Congrès

A travers les mots au regard de nos maux, des auteurs de Savoie retracent notre existence ou nos pensées, non pas pour en faire louanges mais pour retracer ce qui nous touche au plus profond de nous mêmes. A travers ces images, vous découvrirez les visages qui s’insèrent dans cet ouvrage pour ne pas que vous tourniez la page.

Robert-Paris

Un Président complètement Bargeot

Regardez cette vidéo qui présente un candidat présidentiel hors norme. Celui de l’humour !

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Il est porté à notre connaissance, depuis peu, que le réacteur de Flamanville, dans sa fabrication, ne pourrait résister car dans sa conception, il contient trop de carbone. L’agence de sureté nucléaire, en ayant connaissance, a émis juste un courrier en 2015, demandant à EDF de faire attention et se protéger de ce fournisseur qui n’est autre que le Creusot. Or, l’ASN est là pour tout faire afin que les risques de catastrophe nucléaire n’empiètent sur la vie. On voit là qu’il se trouve un profit et un drame dont on n’évalue pas les conséquences.

Ce n’est pas le seul phénomène qui se déroule en France. Les exemples sont nombreux. De la viande qui n’en n’est pas, des fruits immaculés de pesticides, l’incitation à manger des insectes et autres pour éduquer les défavorisés, de faux médicaments, des constructions avec des matériaux obsolètes, un enseignement ou des renseignements payants.

 

Pour ce faire, des publicités surestimées et mensongères, le silence du travailleur qui tient à conserver, comme les politiciens, son emploi, et maintes choses que l’on ne peut citer tant celles-ci sont nombreuses.

 

En fait, on peut dire qu’il existe deux classes sociales qui sont, les riches et les pauvres.

La personne riche a pour rôle dans notre société, de maintenir les salaires en deçà du seuil de pauvreté et de les maintenir à cela. Il faut souligner qu’une personne qui devient riche ne devrait pas le devenir si à la base il était au SMIC, à moins qu’il fomente, vole, tue ou autres. Et pour rester maître de la situation, il s’entoure de cols blancs, d’une armée, et met en maintenant en place la peur.

La personne pauvre, qui s’élève à 6000000 aujourd’hui, ayant peu de ressources, n’a d’autres choix que de quémander à manger des produits dont la date est à négocier, et de remplir des dossiers à n’en plus finir pour recevoir une aide qui est souvent accordée pour ne pas qu’il se soulève contre l’injustice qu’il subit. Il se peut d’ailleurs, qu’il soit expulsé de chez lui bien souvent, avec la souffrance qui peut s’ensuivre. Surtout quand il y a des enfants.

A la source, de ces désagréments, il y a les banques qui, sous l’effet des lobbyistes et des politiciens, leurs ont accordées de se voir attribuer des taux d’intérêts de 10% à 30% supérieur au coût de la vie au détriment du bon sens. Et tant pis, si le profit appartient à l’éphémère.

 

Si on analyse, la France est tout d’abord une famille. Une famille qui a des enfants, un porte monnaie, des us et coutumes et une forme de pensée.

Le père de famille qui doit gérer, apporter du bonheur, un équilibre psychique et physique est sous l’emprise et le devoir des politiciens qui ne sont que la tête pensante de la nation.

 

Or, il est à constater qu’à ce jour, nous sommes endetté à hauteur de 90% du PIB. Que l’on se plait à voter des lois en omettant d’abroger celles qui pourraient les contredire. Que pour paraître vis à vis des autres nations, on prône les droits de l’homme que l’on a instauré, quitte à se mêler ou s’immiscer sur certains états, voire provoquer une guerre dont le coût est à charge du contribuable. Que notre langue est bafouée alors qu’il existe une loi la protégeant et que l’on met en avant la langue anglaise, de façon traficotée. Qu’au nom des droits de l’homme et de l’asile, on accepte des milliers de personnes en souffrances à qui, on donne de l’argent, un toit, un enseignement. Et que pendant ce temps, on met en dehors des familles dont l’origine n’est pas à démontrer, ou de donner à un retraité qui a travaillé plus 40 ans, une pension qui démarre à 640€ et on ne vous parle pas comment le politicien à accès à cette profession car cela en est une.

Qu’il est à prendre conscience, que le contribuable, en ce moment se doit en vers la municipalité, le département, la région, le gouvernement, les députés, les sénateurs qui n’est autre que l’état et l’Europe du point de vue des lois et du social. Or, comment voulez vous vivre sereinement dans cette basse cour. Sachant que les lois Européennes prévalent sur celles de l’état français mais que l’Europe se doit de commercer avec le monde entier ce qui change les propos dans les textes car n’oublions pas que l’Europe a été créé sur la base, non du point de vue social, mais du commerce.

Avant de s’occuper des autres, n’est-il pas raisonnable tout d’abord, de parvenir à un bienêtre. C’est à l’acquisition d’un bien être que l’on peut subvenir à une aide pour autrui, non ?

Pour l’heure, nous allons vivre des élections, aussi cet aperçu de la situation qui embarrasse notre esprit est peut-être nécessaire. Aussi faites le savoir autour de vous, si vous en sentez le besoin, à moins que la situation vous plaise ou alors que vous préférez fuir et vous réfugier dans l’individualisme. C’est votre choix.

 

Robert-Paris.

A cette lecture, vous pouvez voter sur change org « Mon Président se devra »

L’amitié de Christine

 

Tapie là, dans l’ombre de la société, le visage de Christine décline les marques de son passé. A croire qu’elle ne rêve plus. Qu’elle ne désire plus rien. Abattue ? Non ! Et elle a horreur des personnes qui se laissent aller au pessimisme. Pourtant elle en a vécue des événements.

Certes, elle n’a pas été gâtée. Dès son enfance, elle a subie maintes souffrances qu’elle cache pour des raisons évidentes. Cela selon la perception qu’elle en a eue.

Puis, vint le temps des amours qui recèle des déceptions et du bonheur. Le bonheur d’avoir eu deux filles. Deux filles totalement différentes psychologiquement et physiquement.

Il est indéniable qu’icelles ressemblent à Christine, au point de la mimer. C’est normal car on mime toujours ceux que l’on aime.

Chacune ayant l’âge de raison, suive le parcours de la vie qu’elles se sont dessinées. Toutefois, c’est au grand dam de Christine. Et oui ! Elle ne peut les voir que très peu, car elles sont loin de chez elle. Mais Christine, par amour s’en est fait une raison. Un devoir. Alors elle flirte avec son portable pour avoir des nouvelles. Et ceci constamment.

C’est dur pour elle. Surtout que sa santé ne lui permet plus de travailler.

Alors le temps qui s’écoule inlassablement, lui est pesant. En plus, ne pouvant que vivre en deçà du seuil de pauvreté à travers une allocution d’handicapée, elle ne peut prétendre à se mouvoir aisément. C’est pour cela qu’elle ne peut rester en place. Dès qu’elle le peut, elle se met à déambuler dans les rues d’Aix les Bains et très souvent sur les rives du bord du lac qui est à proximité de son logement. Elle fait beaucoup de randonnées. Se démarquant ainsi, de son logement. De son handicap. De sa condition.

Elle aime çà.

Christine a aussi deux amies. Elles sont sincères. D’ailleurs Christine, ne supporte pas les trompes l’œil. Quand elle donne son amitié, ce n’est pas pour rien. Et si quelqu’un lui parle d’amour, il se met le doigt dans l’œil.

Bien sûr, elle a eue des aventures depuis son divorce. Juste histoire de récompenser son moi et son surmoi. Mais elle n’en fait pas une affaire d’état.

C’est selon l’ossature du moment, comme on dit. Et elle ne tient plus à s’emmerder et se soumettre à des conditions qui entacheraient sa destinée.

Elle est libre.

Elle est libre et tient à l’être.

Parfois, elle ressent le poids de la solitude. Ce qui la perturbe.

D’un coté, elle voudrait bien un compagnon. De l’autre coté, elle ne tient plus à être enfermée dans un carcan.

Et les années passant, elle se sent plus intelligente de ce point de vue là. Même sous d’autres aspects. Alors, elle évite tout comportement ostentatoire à sa perception.

Personnellement, je peux le comprendre. Pour elle, je suis le confident à qui on peut tout dire. Un confident parce que pour elle, je reste un anonyme puisque je suis sujet à ne plus la rencontrer. Et puis un anonyme, on peut s’en séparer facilement. Enfin, on ne doit rien à un anonyme.

Pourtant, celui-ci lui permet de se soulager. De la conforter dans sa position. Dans sa perception. Par contre, lui n’a pour seul ambition, qui est de feindre à faire naître une amitié.

Pourquoi ? Parce que mon passé est empli de situations rocambolesques.

A mes yeux, il est préférable une amitié qui crée un lien et qui fasse ouvrage à l’évolution. Ce lien permet de se remettre en question. D’avoir des relations. D’approfondir ses connaissances. De s’enrichir d’une exaltation. Support nécessaire pour trouver un équilibre et un bien être.

Ce n’est pas en se repliant sur soi-même que l’on résout ou résoudra les aspects précités. Et puis, on n’est pas fait pour vivre seul.

Il y a un je ne sais quoi chez elle qui fit, le jour même de notre rencontre, que j’ai été touché. Certes, elle est très belle, intelligente. Mais ce n’est pas pour cela que je vous dis cela. Elle est humble et respectueuse. Comme Elisabeth, Jean Yves, Valérie, Solange, Hélène, la femme de mon accordéoniste Roland. Evidemment, je ne parle pas de mes amours, Solange, Georgette, Antonella dont je ne vous dévoilerai pas la teneur, par respect du silence.

Pour l’heure, je m’efforce de faire sourire Christine. Je suis heureux quand elle rie sur mes avantages verbaux. C’est un vrai bonheur pour moi ! Je voudrai tant qu’elle soit heureuse comme mes ami(e)s.

C’est vrai, je suis perpétuellement en quête d’une amitié. Oh, je n’ai pas beaucoup d’amis et d’amies. Cela se compte sur les doigts d’une main. Mais ceux que j’ai sont merveilleux. On ne se voie pas souvent mais ils sont présents dans mon cœur. C’est ce qui nous anime tous.

Alors pourquoi, je recherche en elle une amitié ? Parce que elle me touche. Parce qu’elle est en quête d’elle même. Parce qu’elle a encore envie de recevoir. Découvrir. Admirer.

Pour tout vous dire, laissez moi encore un peu de temps pour vous faire découvrir cet univers qui se forge au jour le jour…

Robert-Paris

Pétition pour une carte vitale de l’emploi

Il existe trop de caisses tant est si bien que le travailleur au cours de sa vie professionnelle, se retrouve à cotiser à des caisses qui ne lui donneront rien en fin de carrière car il n’aura pas assez versé de cotisations, surtout en sachant qu’au cours de sa vie active, il aura changé d’emploi et de caisses. En plus cette carte de vie professionnelle active permettrait en la mettant à jour, de savoir si l’employeur a bien versé les cotisations, de connaitre sur l’instant s’il peut bénéficier de sa retraite. De surcroit, elle permettra lors de contrôle de l’administration, si l’employé ou l’employeur fraude en faisant travailler des personnes au noir. Cette résultante donnera tant à l’employeur qu’à l’employé, une sérénité, une quiétude effaçant une nuisance, on le sait, à la rentabilité et à la performance de l’entreprise. Votez pour !

 

Robert-Paris

Le patient face à la maladie et son entourage

Que faire quand on a une maladie grave qui entraine une incompréhension, un dénigrement, une perte d’emploi, une peur de mourir, une fuite de votre entourage ? On se retrouve seul et désarmé et en proie à se laisser glisser vers une autodestruction pour fuir l’humiliation ou autres.

Certains arrive à avoir un aidant (famille ou ami‘e’s) mais celui-ci, bien que sa volonté et sa compassion soit sincère, il ne peut supporter le poids, dans le temps, de ce qui vous arrive.

Alors, bien souvent, le malade se retrouve au seuil de pauvreté, suite à la fuite de sa famille, de ses enfants, de son entourage.

Bien sûr, il peut bénéficier d’une aide sociale selon le cas, mais la chaleur de cette aide est glaciale, car non seulement cet apport vient d’un métier qui n’a de cesse d’occulter, sans préméditations son devoir pour un avoir.

La gente médicinale en fait autant, bien que la compassion s’en mêle ou d’user de ce patient afin d’assouvir à une Olympie de la science qui lui permet d’accéder à un hommage à son gousset et son égo. Bien sûr, il y en a qui n’attende pas ce phénomène pour revendiquer cette bienfaisance.

Toutefois, puisque vous êtes dans la position de patient, gardez vous pour mémoire, la position de ce malade que l’on vous décrit afin que vous preniez position pour votre avenir.

Il était une fois, une personne qui, alors qui vaquait dans un métier pour son plus grand bonheur et sa famille, attrapa le VHC (Hépatite C).

A cette époque, cela tombait à la même période que le SIDA dont les médias s’empressèrent de caricaturer au point qu’il perdit son emploi. Tout le monde le fuyait et même les prud’hommes trouvèrent normal de licencier celui-ci. Accroché à sa fierté et à sa vie, il interpella jusqu’au Président de la République sa situation, car aucune des administrations sociales comme la sécurité sociale ne voulait subvenir, en prétextant des conditions à avoir.

Il en résulta, après des démarches, qu’il obtint à titre de cobaye, l’aménagement d’un protocole à base d’interféron, alors que maintenant, on promeut la BI et la Trithérapie.

Bien que le virus au bout d’un certain temps s’est endormi, il a été un manifeste de pancréas dans un premier temps et des attenants provoquant des pancréatites chroniques et le diabète.

Par la suite, des polypes, des adénomes voire des carcinomes selon le précité s’ensuivirent provoquant une nouvelle remise en question.

Outre cela, une perforation d’un poumon, de deux AVC et enfin la perte du fonctionnement de l’estomac, sûrement suite à une neuropathie, lui succédèrent à ce jour, et cela sans compter un choc sceptique (autodestruction par le psychique).

Mais qu’en est-il de sa forme de penser face à ce déferlement.

Il nous a dit plusieurs choses, notamment :

« Un malade se doit de subvenir à soi même tant que peut se faire, et que les secours ne doivent être qu’un apport et non un réceptacle qui pourvoit à des événements ainsi que les aidants. Il faut se battre pour être indépendant ».

«  Quand vous avez une douleur énorme, sachez que c’est une preuve que vous êtes en vie et que l’on peut vous sourire ».

« A chaque fois que la mort venait à mon chevet, elle repartait en criant ‘putain y a rien à bouffer’, donc vous avez des chances de vivre ».

Personnellement, nous croyons en cette force que l’on peut ou non concéder au miracle, car survivre à tant de choses, soit on est une force de la nature, soit les prières sont exhaussées.

Ceci fait, pour donner une puissance à ce que vous subissez.

Chaque fait, chaque acte, chaque espèce (fleurs, animaux) ont besoin de votre reconnaissance, et même si vous avez une absence, on la compensera par votre réminiscence.

 

ROBERT PARIS.

 

Les questions de notre société

Il faudrait aujourd’hui se poser des questions mais a t’on les temps ou peur de se les afficher ou bien on ne veut pas que cela agisse sur nos intérêts éphémères. Il est clair, cependant que si on veut y répondre, elles vont d’elles mêmes nous offrir une résultante qui ne saura être du goût de tout le monde.

La première question se réfère à l’incertitude des nations. Si on prend la France, chaque année apporte son lots de votations, d’augmentations, de désolations et de souffrances, de reconsidérations, d’abrogations, etcétéra. La votation présidentielle ou autre amène une incertitude sur le devenir de l’avenir. Comme elle se passe en moyenne tous les cinq ans, elle provoque un trouble de l’expectative un an avant de l’habitant et de l’entreprise. En fait, on remet à l’après l’élection les décisions à prendre pour ne pas se retrouver en mauvaise posture, donc une perte dans l’évolution de la société et cela dans tous les domaines (lois, santé, travail, famille, social …). Ce qu’il faut retenir, c’est que cela se passe pareil au niveau mondial sauf dans les dictatures.

Pour les augmentations, idem, sauf que chaque état réagit en fonction d’un événement et les entreprises, sauf celles qui sont au niveau artisanal, par contre ne s’en tiennent qu’au profit. Par contre on oublie que, les artisans sont les plus nombreux et les plus bénéfiques pour la société. On ne fait pas de cadeaux à ceux là aussi certaines professions de cet entité abuse financièrement de leur service (avocat, médecin …). L’Europe étant un support pour favoriser les entreprises uniquement, la désolation de l’emploi se renforce car l’Europe met en place en ce moment une uniformisation des salaires et des conditions sociales qui devient à charge pour le monde actif et passif. Ce monde passif qui se fixe sur un banc public pour profiter par certains des actifs. Mais il est juste de ne pas oublier que l’on passe notre temps à faire des lois et décrets que l’on abroge ou pas, selon l’intérêt de certaines personnes ou de la gronde. Que cela trouble le taux des naissances, de l’emploi et autres thèmes.

En France, le plus grand trouble, c’est que nos politiques prônent en permanence la grandeur de la France aussi, on va se mêler de ce qui ne nous regarde pas. On veut se mettre au dessus des USA, de la Russie, de la Chine et autres et on dépense des milliards en employant selon le cas les militaires, alors que des millions de gens en France vivent en deçà de la pauvreté.

Pour clore ce chapitre, il faut que l’on se rende compte que chaque citoyen a besoin d’une stabilité psychique pour créer ou construire aussi, il serait bon d’assouvir l’attente du psychique de chacun par des résolutions de tous ces domaines, sinon on favorise la dépression, le burn out et l’individualisme mais qu’aussi que ce sont des dépenses de santé complètement idiotes.

Robert Paris.

Fomentation mondiale

S’il était à écrire une nouvelle sur une manigance mondiale, elle se composerait de façon à ne pas faire de bruits. En grand secret, on se préparerait à un avenir aux dépens de la population mondiale en construisant ou en réalisant une copie de l’arche de Noé réservée à l’élite. Ce concept qui vous paraît inconcevable, ne le sera plus à terme de cette lecture.

Vous savez que la terre ralentit, ce qui entraine des dérèglements climatiques car en ralentissant, le soleil reste plus longtemps sur un lieu, donc élévation de la température provoquant l’assèchement des lieux et la disparition de la faune ou son exil, de la flore et du déplacement climatique accentué par l’augmentation de la pollution et de la population mondiale qui cherche vainement des pays prospères et saines. La première conséquence est la fonte de la calotte glacière qui va faire entendre une élévation des eaux, emportant au passage quelques sites et parfois de nombreuses vies.

De plus, la population mondiale augmentant pour atteindre les neuf milliards d’individus, il ne peut y avoir que des conséquences comme sur la nourriture et la boisson mais aussi une amplification du C02 ou des particules fines qui engendreront des maladies tels que les voies respiratoires.

On le fait déjà en proposant de la nourriture nullement naturelle ou avarié à partir de déchets reconditionnés ou proposer des insectes en guise de repas pendant que la gente en question se délecte des fruits de la nature.

Tous les moyens sont bons en ce domaine et on voit poindre dès maintenant les efforts comme celle de faire des forages de produits pétroliers sur la banquise.

Bien sûr, chaque pays pour protéger sa propre population va tirer les draps à soi en faisant abstraction de ses voisins.

 

Ceci étant deux exemples parmi d’autres, il suscite chez certaines personnes qui ont pouvoir, soit par l’argent ou autres de se préserver, d’où l’intention de se réserver au moins un lieu, et une élite qui suffirait à pourvoir au quotidien.

Il en résultera une baisse de la population favorisée par quelques guerres, et une mise à plat des conditions de vie ou une quête unifiée d’aller conquérir d’autres espaces pour la pérennité de l’espèce humaine, mais à quel prix ?

Robert-Paris.

Aller à l’aide d’un divorce

Il est très difficile de faire valoir ses droits en cas de divorce, surtout s’il y a des enfants.

Au cours de ces dernières années, le Corps des Humbles a essayé dans éclaircir les circonstances pour pouvoir suggérer une compréhension voire une solution.

En effet, la personne qui met en route la procédure ou celui qui l’a subie mettent tous les atouts de leur coté s’il ne peut être à l’amiable ou alors par intérêts quelconques. Pour cela, ils s’entourent d’un avocat ou d’un notaire selon la nouvelle loi, si elle peut atteindre l’amiable. Toutefois, il est bien souvent la peur qui s’installe, celle-ci émanant d’une certaine violence physique, psychique ou de pressions incessantes, bloquant l’interlocuteur au point qu’il abandonne sa requête voire sa progéniture.

Attention, cet état de faits qui concerne le requérant peut-être à l’inverse pour la personne qui se doit de comparaitre, car elle peut ressentir une blessure profonde qui le pousse vers la dépression. Nous allons prendre deux exemples singuliers pour vous faire mieux comprendre.

Il a été il y a quelques temps de cela, un couple qui après plusieurs années de vie en PACS qui se marièrent et coulèrent size années de vie maritale. Comme bien de couples ils s’affairèrent pour que la progéniture ne manque ni de besoins ni de sentiments. Le mari lui poussa sa femme au cours de ces années, à suivre pour son équilibre psychique un chemin qui lui fût salutaire et d’acquérir après une formation, une place stable dans l’administration. Celle-ci pour seul réponse de ce bénéfice lança une procédure alors que son mari était sous l’emprise d’une santé très précaire. Alors qu’il était aux soins intensifs, elle quitta le lit conjugal, ce qui mit le mari en dépression donc pas en état de se défendre. Elle obtint le divorce non seulement aux torts de son mari en n’oubliant pas de le déposséder des biens de la maison et des aides qu’il avait perçu de l’état mais en sus du contact des enfants et des petits enfants. Il en résulta que le mari se trouva dans la situation d’être sous la protection d’une association qui lui permis d’avoir une chambre avant d’être par la suite sauvé in extrémis de la mort. On voit dans cet exemple que cette personne avait cru à l’amour mais aussi que les enfants et petits enfants n’avaient de sentiments que par intérêts donc, ils n’avaient aucun sentiments.

Le second exemple est aussi effrayant bien qu’il revêt un autre aspect.

Une femme, las de se faire jeter en dehors de chez elleavec ses enfants et le plus souvent sous l’effet d’une violence physique et psychique, se décida un jour à ne plus revenir au foyer conjugal et lança une demande de divorce par une aide juridictionnelle. Heureusement pour elle, que ses parents étaient là afin de l’accueillir et de l’aider. Elle trouva un logement près de son travail de mi-temps et s’installa de façon à protéger ses enfants. Le premier problème était de pouvoir remplir son frigo, ce qu’elle fit brillamment. Pendants ce temps, son mari toujours en quête de nouvelles conquêtes qui datent depuis son mariage quitte à vouloir se faire les amies ou proches de sa femme vaquait car dans sa fonction, il était impossible à songer de travailler mais de profiter des recettes issues des biens immobiliers acquis au cours de sa vie de couple. Certes, dans sa vie il a été des périodes où il a travaillé mais pourquoi pas profiter des bienfaits qui lui sont donnés. Evidemment, un désarroi s’ensuivit suite à la procédure instruite, il est lui amené quand il se trouve seul, à faire un récital de menaces et parfois d’insultes en dénigrant sa conjointe sous la fenêtre de son ex sauf quand il se trouve compagne où là, même sous la pression de la BAC, refuse de ramener les enfants sous prétexte que ce n’est pas marqué dans le premier rendu, si bien que sa femme est obligé parfois à 22 heures d’aller rechercher ses enfants à 40 Kms de là alors que les enfants ont l’école le lendemains.

L’avocate de Madame se tenant à suivre ce dossier qu’à la hauteur de l’aide juridictionnelle, il s’avéra que cette femme reprit le dossier car elle était désabusée. Depuis, ne croyant plus à divorcer en peu de temps et ne sachant plus quoi faire même si il se trouve cette nouvelle loi pour divorcer en moins de un mois, elle se fige sur elle même. Certes, des interpellations auprès du procureur et autres ont été, mais sans résultats. Tant est si bien que le mari qui jouie tant de cette situation que des biens peut se frotter les mains.

Bien sûr, il faudrait que cette femme reprenne un avocat pour engager une procédure pour fautes ou autres, ce qui accélérerait la procédure mais la peur est présente de voir par exemple qu’il fasse pression sur ses enfants ou de violences.

Le Corps des Humbles est ouvert à toute aide pour faire vivre un bien être à cette dame, selon vos possibilités en écrivant à Corps des Humbles de Savoye B.P.70103 73101 Aix les Bains Cedex 01..

Dans ces deux histoires, vous pourrez remarquer que c’est la peur, la violence et la souffrance ou la pudicité qui mènent souvent à la dépression et à l’inaction, ce qui gène énormément à la vérité et l’équité.

 

La journée du monde du spectacle à Aix les Bains

Il a été une rencontre pour la pendaison de la crémaillère du monde du spectacle au Chalet à Aix les Bains le 25 septembre 2015 qui s’emporta sur des interrogations.

C’est au détour de cette journée consacrée au monde du spectacle que l’on a pu rencontrer  les points de vue, les usages, les caractéristiques et tant de traits que l’on ne peut les distinguer tant ils sont nombreux, qu’il est très difficile d’en  faire un descriptif rationnel. De surcroît, si on y inclus les métiers se rattachant à celui-ci comme les banques, les revendeurs, les producteurs, les studios d’enregistrement, les diffuseurs, ainsi que les médias, on se retrouve démuni ou alors être en demeure d’émettre une encyclopédie.

Toutefois, on a pu ressentir un vide à cet événementiel car chaque entité campe dans son hameau en brandissant des vertus dont beaucoup ne peuvent prétendre ou avoir connaissances, par manque de temps et d’attentions même s’il existe des intentions.

Cette  journée ayant pour défini d’unir des moyens pour permettre un accès à l’évolution du monde des arts comme la musique, la danse et autres dans notre société, il était une invitation du monde politique pour en découvrir les aspects et ses apports.

C’est Dominique Dord, Député-Maire d’Aix les Bains qui ouvrit le bal avec la complicité du délégué régional de la SACEM et qui comprirent le message qui se dévoilait devant leurs yeux, soit un malaise existant.

Un malaise qui prend sa source dans l’égocentrisme grandissant tant chez les artistes, les compositeurs, les interprètes, les médias, et autres mais aussi l’administration et les hommes qui décident du bien fondé de ces métiers. Puis la parole fut concédée à Doriane Danse qui n’en est pas à ses premiers pas, pour laisser place ensuite aux interprètes qui par la suite, au cours d’un bon repas, firent danser l’assistance et mettre l’ambiance avant de laisser le silence s’imposer en point d’orgue sur cette mémorable journée perturbée par quelques fous rires pour la dédicacée.

Pierre Denis Robert Paris.