Musilac, la muse du lac sonore

Video des nuisances de Musilac

Sachant que beaucoup de personnes, demeurant à coté du site de Musilac, prenaient des jours de congés pour partir ailleurs afin de ne pas souffrir du bruit, le Corps des Humbles s’est permis d’aller prendre le pouls sur cette manifestation et ce désagrément.

Il faut dire, que nous ne pouvions prendre le son de la façade de la sonorisation tant le son était fort aussi, nous nous sommes mis derrière celle-ci et à bonne distance.

Pour parfaire la chose, nous sommes allés dans divers lieux aux alentours pour mesurer l’importance de cette nuisance que nous laissons découvrir par ces quelques images.

Robert-Paris.

L’effet d’une expression d’un peuple sur le monde entier

Si vous regardez le « Corps des Humbles de Savoye« , vous avez l’avantage de connaître en avant première de qui se passe sur la déclinaison de l’avenir sur le bassin méditerranéen.

En effet, le Corps des Humbles et ceci bien avant les autres médias, vous indiquait le 15 janvier 2011 dans un article (alors que dans la presse on en parlait le 17 courant), de la possibilité d’une extension à effets sur le bassin en question qui peut prendre place en Europe ou dans le monde.

Cet événement, aujourd’hui, se propage sur l’Egypte. Toutefois, il s’immisce dans les méandres de plusieurs pays du bassin au point de prétendre à une certaine conation.

C’est très dangereux de jouer avec cette puissance que sont les peuples, car cela ne peut être contrôlable même par des armées (le passé en ce sens à démontrer la chose). L’arme des peuples, c’est l’abnégation, la ferveur en oubliant les usages face à la douleur. En sachant que les armées se nourrissent de la production d’un peuple, d’une entité, si son action trucide son géniteur, il ne peut que périr sous son action.

Force qui se révèle, pour les investisseurs ou plutôt certains investisseurs (car cela profite à d’autres), d’un désagréable car elle provoque une chute des bourses provoquant une interpellationd’iceux auprès des nations en supputant une interaction voire une protection en brandissant sous le pouvoir d’une paternité (acte de naissance, passeport, ou autres), « la fraternité » (on le souligne quand il y a un intérêt qui se révèle personnel).

Sachant qu’à Davos, la réunion houleuse des banquiers face aux dirigeants se solde pratiquement par un compromis, on ne peut sortir de l’auberge!

Toutefois Nicolas Sarkozy, peut prétendre au G8 & G20 de faire valoir son action en tant que Président pour réguler, aseptiser l’économie tant sur les matières premières que sur la régularisation des flux internationaux. En ce domaine, il faudrait qu’il incite plus sur l’aspect qui se dégage en méditerranée et qui se propage aussi il ne faut pas attendre 2019 comme il est proposé par les banquiers.

Sûrement que, les propositions de Nicolas Sarkozy qui se veulent déterminer l’avenir de l’humanité, vont susciter moultes fomentations mais il est d’un intérêt commun que rien ne fasse flamme.

Pendant ce temps, à regarder sur le monde entier, il n’est pas sûr que cette expression ne s’étende pas aux pays émergents qui voient là un souffle nouveau que l’on peut transposer (nous avons des nouvelles en ce sens). Cela s’appelle la mondialisation.

Robert-Paris.

Soirée des voeux républicains à aix les bains

Voici un extrait du discours du Député-Maire pour les voeux républicains devant les forces vives. Ceci, avec l’agréable surprise de la participation de l’orchestre du conservatoire d’Aix les Bains qui a brillamment interprété un florilège, selon l’expression.

Robert-Paris.

prédiction monétaire 2011 en Savoie

« Le temps fait les choses et les choses font le temps ».

Certes, ce n’est qu’une citation de Robert-Paris et pour le moment, la crédibilité des bourses ne peut influencer la Savoie. Toutefois, il serait temps de prendre conscience de certaines anomalies dont le souffle pourrait faire perdre l’équilibre des jetons.

Sachant que les américains exportent par le biais de la production de la planche à billets et que la Chine maintient dans sa monnaie, une faiblesse favorisant les échanges mais en mettant de facto l’Europe en état de faiblesses.

Que la dette de la Grèce (dont une aide est en cours) est détenue à 80% par les banques françaises, ceci sans compter la faiblesse de l’Irlande, le Portugal, l’Espagne et maintenant l’Estonie (qui n’est pas encore dans la zone €uros), il serait bon de requalifier la teneur de nos relations.

Cela, sans oublier que maintenant l’investissement s’opère dans le virtuel du virtuel « vois-tu la montagne qui accouche d’une souris ? ».

En fait, l’équation qui se met en place ne prend pas en compte les qualités mais un éventuel devenir, si le bien fondé existe ?

La bourse de Paris ne pouvait que fermer sur un avantage du CAC40 à 3880 points, aujourd’hui.

Le problème, c’est que le soutien américain ou chinois pour les transactions, altèrent et déplacent les octrois dans la zone €uro voire, par fomentations ou non, une possibilité de la dissoudre. Car la France en voulant sauver ses ressortissants banquiers comme le faitl’Allemagne, pourrait se trouver dans une situation inextricable, à moins et au point de donner des avantages à ceux dont le manifeste est de vouloir une certaine domination, une emprise.

En sachant, que la plupart des biens de l’état de France, sont sous la propriété de certains étrangers à partir d’aujourd’hui, on ne pourrait que se plier à la volonté.

Toutefois, ce déséquilibre  à un effet conducteur qui conduit à un certain désengagement mais surtout à un effet de souffle.

Il ne peut que revaloriser la pauvreté, la non reconnaissance de l’être humain, la violence,la haine… sous toutes les formes imaginables.

Encore faut-il que la gourmandise des uns n’altèrent pas les sens gustatives.

Robert-Paris.

PS: La Savoie faisant partie intégrante du système thématique aurait beaucoup à souffrir, si elle ne prend garde, à notre avis.

Savoir si notre commercial pendant ces nouveaux mandats du G8 & G20, pourrait agir ? Oui ! Qu’il puisse ? Il se peut ! Mais la bataille sera rude car chacun défend un système et non une uniformisation de la pensée et de l’action.

Message aux auto-entrepreneurs

Au regard de l’afflux de questions concernant le langage du gouvernement et du fisc pour l’avènement du système et de la médication fiscale des auto-entrepreneurs mais aussi celles des P.M.E, et cela sans rentrer dans des détails techniques, le Corps des Humbles s’appliquent à pouvoir répondre à cette attente séance tenante. Par contre, nous ne pouvons répondre au cas par cas.

Il est vrai que les politiques, en instaurant le système de l’auto-entrepreneur, brandissaient dans le verbe que « Pas de chiffres d’affaires, pas d’impôts et pas de cotisations… » mais à l’inscription, chacun aurait dû lire le texte intégral qui engage la personne. Dans la déclinaison, on peut voir que ce n’est pas le cas et qu’une contribution se dessinait dans le déclaratif.

Certes, la suppression de la taxe professionnelle a fait sursauter le territorial (les communes) aussi, il s’ensuivit la mise en place de la CET (contribution économique territoriale) qui dans sa composante  est pourvue de la CFE (contribution foncière économique assise sur la valeur locative) et de la CVAE (contribution assise de la valeur ajoutée).

Cette nouvelle taxe méconnue des acteurs, par absence de communications suffisantes en temps et en heure, provoquent un levée de boucliers et d’interventions au point qu’un rendez-vous est fixé mardi, à Bercy chez le secrétaire d’état aux PME, pour en débattre.

Les auto-entrepreneurs brandissent un engagement à ne pas avoir de charges qu’au regard d’un chiffre d’affaires et les PME voient là, matière  à discussions car pour eux, c’est de la concurrence déloyale.

Dans l’histoire, le fait d’avoir supprimer la TP et vouloir faire miroiter aux auto-entrepreneurs un rapport de charges en fonction d’un chiffre d’affaires, il est un oubli monumental. Les communes ne peuvent fonctionner que si elles perçoivent des recettes.

En clair, les uns se sentent dupés et les autres se sentent lésés, pendant que les communes s’inquiètent du devenir sur la question.

Pourquoi ce rebondissement, maintenant ? Tout simplement parce que les auto-entrepreneurs se doivent d’acquitter des sommes qui ne respectent en rien le chiffre d’affaires mais qui se basent sur d’autres éléments, et cela avant la mi-décembre. En ce sens, il existe plusieurs exemples où pour 300€ de chiffres d’affaires, l’auto-entrepreneur se voit contraint de payer 200 voire 2000€ par cette taxe.

Que va-t-il se passer ? Il est clair qu’une baisse de créations dans la catégorie « auto-entrepreneur » se fera et qu’il s’ensuivra des fermetures en ce domaine, au grand dam des gouvernants, favorisant l’espace « pôle emploi ». L’homme politique sera un peu plus dénigré, par la suite et en dernier lieu, cela pourrait engendrer dans la votation, un changement de comportement, ceci si un accord ne voit pas le jour.

Toutefois, il est comme on dit « que chaque jour suffit à la peine » aussi, on ne peut qu’espérer un compromis en ce domaine.

Robert-Paris.

Rire ou pleurer ?

Voulez- vous pleurer ou rire ? C’est la question que l’on doit vous poser !

En effet, on ne sait trop comment vous annoncer la teneur des événements aussi, on vous laisse le choix de rire ou de pleurer, selon votre gré !

Sachant que le Directeur de LVMH en une journée, s’est octroyé 18 millions d’€uros (hormis les charges) alors qu’il est un acteur pouvant se permettre d’avoir un délit d’initié donc, d’être en absence avec notre forme de pensées (info du 8/11/2010 sur BFM).

Que le gouvernement français se permet de vendre des ambassades (l’existant étant plus 300 dans le monde, soit plus que les états Unis qui en détient 170) ou les locaux pour subvenir en d’autres lieux (info sur France 2). Qu’il est compatissant de subvenir à des intentions de la Chine pour l’achat de nouvelles technologies avec pour résultantes un acquis d’icelles sans contreparties et que l’état français compte sur notre capacité à pourvoir à des inventions pour y remédier (encore faut-il pouvoir ! ) .

Que son verbe, par le biais du sénat, octroie un titre, en fustigeant la nature de la langue française, pour favoriser la teneur d’une agressivité (bien qu’il soit une souffrance) alors qu’il est en d’autres lieux, une dédicacée à l’harmonie de la dite déclinaison.

Que le maussade appose un ton glacial au regard du temps, i l se peut que cette forme de pensées, créant une satisfaction à la souffrance, n’apporte une résultante voire un satisfecit néfaste à la procréation.

Pour l’heure, le Corps des Humbles, ne peut souscrire à cette indifférence pour autant.

Qu’il en soit ainsi. Rire ou pleurer est une faculté que l’on ne peut vous retirer !

Robert-Paris

Nouvelle contribution du ménage français ?

Le Corps des Humbles, généralement, ne s’implique guère dans une situation monétaire et surtout pas dans la définition d’un budget comme l’état français.

Toutefois, celui-ci se permet de mettre l’accentuation sur un défini qui offense autrui, car c’est toujours les mêmes qui payent.

Il est assez, que l’on fustige le contribuable et que l’on manipule icelui  à des fins personnelles au nom de la « France ».

En effet (et les médias participent sans faire un travail de profondeur), dans les quotidiens d’aujourd’hui, les avantages en matière de l’immobilier, de la santé, des revenus, etc… sont censés pour les ménages être mis à une contribution, un allégement d’avantages voire un effet dont la teneur révèle une sustentation pour éponger un déficit de l’état qui ne cesse sous un souffle, à grandir. De surcroît, les régions, les départements et les communes ou autres sont de ce fait, dans le collimateur alors qu’ils ne peuvent plus remplir une tâche de par l’ampliation des directives.

Il suffit et il suffirait de mettre à une contribution normale pour toutes les entreprises mais sans « passe droit « .

Il faut savoir que les 50 premières entreprises françaises, par exemple, bénéficient d’un forfait pour l’impôt du CA sur les entreprises et que cela se négocie encore aujourd’hui à Bercy. En sachant que les petites entreprises payent « plein pot » , il n’est pas normal que l’un paye et que l’autre (par pressions) se permette de se limiter à une contribution d’une valeur plus ou moins de 14% (voire moins) alors que les autres sont à plus de 30%.

En sus, la peur qu’elles provoquent auprès des institutions font que le politique étant désarmé, favorise le phénomène.

Or, selon les calculs des divers ONG, sociologues, partenaires de l’équité, comptables, médecins,…, Il est a dénoncer que l’attribut de cette principauté fait aux ménages, ne peut qu’engranger une dislocation des préceptes de notre institution.

Total, AXA, BNP, Crédit Agricole, carrefour, société Générale, peugeot, EDF, France Télécom, Suez, Saint Gobain, Renault, Caisse d’Epargne, Auchan, Véolia, Vinci, Bouygues, Sanofi, GDF, ETC… sont les principaux acteurs qui pourraient nous aider (d’ailleurs on peut remarquer que certaines entreprises bénéficient depuis la genèse, de la contribution des contribuables) à suffire à ce problème que nous espérons éphémère.

Si une entreprise veut quitter la France, qu’elle le fasse au lieu de dire à certains français de le faire, mais avec l’avantage que ceux qui gouvernent l’entreprise, perdent la nationalité française.

Ne vous inquiétez pas. Deux ans après, ils ne peuvent que revenir ou mourir car la pensée mondiale ne fait pas de cadeaux sans juste retour.

Certes pendant ce temps, l’ex-ministre de la justice Rachida Dati, lors d’un débat explicitant l’économie (?) confond le mot inflation avec le mot fellation, ce qui n’arrange pas les choses car elle pourrait éventuellement donner une tachycardie à la bourse de Paris. Mais même si on ne coupe pas la parole à quelqu’un qui a la bouche pleine (nous précisons de pensées!), on est en droit d’avoir une opinion.

Robert-Paris.

Manifeste pour la retraite

La retraite n’est qu’un aspect de notre société qui ne peut exister  que si une réforme totale de notre forme de pensée sociétale pouvait voir le jour.

Encore faut-il que chacun admette que nos structures ne répondent plus à notre univers et que l’on vit  maintenant sous une infrastructure comme sous une tente à oxygène.

La vie n’est pas un long chemin paisible, où les herbes et les fleurs qui se dessinent aux couleurs de votre plaisir, et qui vous caressent à votre passage tout en vous laissant un doux parfum dans le sillage, comme pour vous retenir.

Notre système est mort depuis quelques décennies. En effet, que ce soit l’assurance maladie, le chômage, la retraite et surtout la maternité (creuset de la pérennité d’une nation) n’ont que pour nourriture, l’argent et ses dérivés pour pouvoir vivre. Certes, le rêve peut faire perdurer quelque peu la situation et en ce domaine, la nomenclature politicienne à l’art de maîtriser ce phénomène mais qu’en est-il au demeurant ?

Notre fondement institutionnel se veut être que l’on prenne à quelqu’un pour donner à l’autre au regard des capacités de celui-ci à donner un fruit dont l’existence sera bénéfique pour autrui. Or aujourd’hui, on  n’arrive pas à donner une valeur aux êtres et aux choses, tant est si bien que l’on va donner démesurément à quelqu’un qui ne rapporte rien à la société et rien ou peu à celui qui fait genèse.

La naissance de l’Europe et de la mondialisation mettent au placard toutes les institutions (si on ne prend pas garde) qui balbutient pourtant quelques mots & des maux mais qui se noient sous nos yeux dans cet océan du profit et de la cupidité. L’homme politique est désarmé et ne peut que se cantonner dans la situation à vouloir en tirer une gloire, un profit ou un pouvoir (limité).

Une solution ? Soyons pragmatique dans les faits si nous prenons comme support l’argent ou ses dérivés. Il serait bon déjà que les dirigeants de chaque entreprise française qui délocalise perdent le statut de français. Pourquoi, parce que en voulant voir ailleurs pour baisser le coût d’une marchandise à des fins personnelles, ils gardent quand même le statut de français donc sous la protection de la nation française. Pourquoi, on imputerait aux français le coût financier d’une intervention dans le monde pour sauver quelqu’un qui ne veut pas participer aux principes de la nation française? Car à force de laisser la délocalisation prendre le pas, il y aura plus de chômeurs, de malades et de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté enfantant comme par le passé, une guerre civile ou autres (pour la date voir non pas dans les cartes mais dans l’histoire). Mais pour cela, il faut une reconnaissance internationale soit par le biais du « gros machin » de l’ONU mais çà, c’est une autre histoire.

Second exemple: Selon les informations, un sénégalais repérait des femmes enceintes qui n’avaient pas la nationalité française. Puis, suivant un arrangement financier de l’ordre de 200€, il reconnaissait l’enfant auprès de la CAF procurant ainsi la nationalité à la femme tout en percevant des allocations. Heureusement, on a découvert le pot aux roses au bout d’une centaine de déclarations mais malheureusement la loi dit que l’on est pas obligé d’apporter génétiquement la preuve de la parenté. Coût pour cette fraude à l’institution ceci pour l’année dernière seulement le montant de 800 000 000 €. Pourquoi ne pas déchoir de la nationalité française les personnes qui se prêtent à ce jeu et de ce fait les raccompagner là où elles sont nées? Ce n’est pas de la discrimination que de mettre ceux, qui discréditent notre forme de pensée, dans la situation de porter une anée ? Nous laissons en ce sens, les détracteurs à continuer de s’auto-flageller ou de consulter un psychiatre car l’auto-mutilation  ne peut voir le jour dans notre conception.

En clair, la retraite ne peut-être viable, comme la sécurité sociale et autres ustensiles de notre constitution, que si notre économie est en bonne santé mais aussi que le comportement de chacun de cette entité soit saine et en conformité avec ce qui unit chacun de nous sous un emblème qu’est notre drapeau.

Robert-Paris.


Pierre Macari au balcon de son art

L\’art du piano selon Macari vidéo

suite du reportage sur le facteur de piano Macari


Il est dans les méandres de notre société, un savoir dans le métier mais aussi une passion, celui du piano. Pierre Macari, à travers ce reportage, apporte sa contribution en ce domaine qu’il nous invite à découvrir par ces deux vidéos dont la teneur vous guidera certainement vers une compréhension.

Robert-Paris.

Regard sur la rentrée scolaire 2010

A l’heure où nous vous parlons, la cloche va bientôt retentir pour une nouvelle rentrée des classes sous l’appellation 2010/2011, ce qui  suscite les sens des uns et des autres.

Les parents s’affairent pour confier sa progéniture, selon les caractéristiques  du moment, pendant que les enfants s’agrippent aux derniers instants des vacances.

En haut lieu, pendant ce temps, on s’agace un peu de ne pas avoir déjà les effets des nouvelles dispositions qui rentrent maintenant dans une tradition, en occultant quelque part, la perception des précepteurs qui ont la charge de transmettre un savoir.

En effet, car il apparaît une notion autre que la rentabilité qui se trouve être, l’aspect financier et dont la charge revient, au gré du temps, à des entités qui n’avaient pas une vocation à parfaire en la matière.

Pour ce faire, on usite une déclinaison juridique qui s’empile sur les autres et qui parfois prend un contresens, mais qu’importe car elle porte un nom.

C’est normal et c’est humain que d’imposer une vision.

Toutefois dans cette collégiale, la médication peut émettre des effets indésirables.

L’enseignant qui est noté sur son aptitude à la soumission hiérarchique, s’inhibe peu à peu, stigmatisant son rôle au point que l’élève croit voir une faiblesse (ce qui incite à la domination).

L’enseignement étant passé de l’objectif (apprendre par coeur) au subjectif (apprendre par la déduction que fait l’élève), on s’aperçoit maintenant que cela peut engendrer et faciliter, avec l’âge venant et par absence d’acquis, les faveurs en outre de la maladie d’Alzheimer, parce que la mémoire n’a pas été travaillée. Il en résulte en ce sens, non seulement une multiplication de troubles mais une infinité d’actions du sujet évoluant dans le temps qui répondra suivant les événements, par son acquis qui ne peut qu’entraîner des difficultés sociales.

S’il serait une solution ? Nul doute que le précepteur, seul en contact avec son élève peut déterminer le besoin d’icelui à acquérir une évolution.

La soluté ne pouvant se faire qu’avec la complicité parentale.

De plus, le subjectif ne devrait être enseigné qu’après celui de l’objectif pour laisser place ensuite à celui de la sociologie, ce qui est un autre débat, à notre avis.

En dernier lieu, notre souffrance sociale n’est pas à répercuter sur l’enfant à qui l’on demande bien souvent en permanence d’être adulte tout en lui refusant la prérogative de l’être, sinon vous obstruez son équilibre et son champ de vision.

Robert-Paris.