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Il est porté à notre connaissance, depuis peu, que le réacteur de Flamanville, dans sa fabrication, ne pourrait résister car dans sa conception, il contient trop de carbone. L’agence de sureté nucléaire, en ayant connaissance, a émis juste un courrier en 2015, demandant à EDF de faire attention et se protéger de ce fournisseur qui n’est autre que le Creusot. Or, l’ASN est là pour tout faire afin que les risques de catastrophe nucléaire n’empiètent sur la vie. On voit là qu’il se trouve un profit et un drame dont on n’évalue pas les conséquences.

Ce n’est pas le seul phénomène qui se déroule en France. Les exemples sont nombreux. De la viande qui n’en n’est pas, des fruits immaculés de pesticides, l’incitation à manger des insectes et autres pour éduquer les défavorisés, de faux médicaments, des constructions avec des matériaux obsolètes, un enseignement ou des renseignements payants.

 

Pour ce faire, des publicités surestimées et mensongères, le silence du travailleur qui tient à conserver, comme les politiciens, son emploi, et maintes choses que l’on ne peut citer tant celles-ci sont nombreuses.

 

En fait, on peut dire qu’il existe deux classes sociales qui sont, les riches et les pauvres.

La personne riche a pour rôle dans notre société, de maintenir les salaires en deçà du seuil de pauvreté et de les maintenir à cela. Il faut souligner qu’une personne qui devient riche ne devrait pas le devenir si à la base il était au SMIC, à moins qu’il fomente, vole, tue ou autres. Et pour rester maître de la situation, il s’entoure de cols blancs, d’une armée, et met en maintenant en place la peur.

La personne pauvre, qui s’élève à 6000000 aujourd’hui, ayant peu de ressources, n’a d’autres choix que de quémander à manger des produits dont la date est à négocier, et de remplir des dossiers à n’en plus finir pour recevoir une aide qui est souvent accordée pour ne pas qu’il se soulève contre l’injustice qu’il subit. Il se peut d’ailleurs, qu’il soit expulsé de chez lui bien souvent, avec la souffrance qui peut s’ensuivre. Surtout quand il y a des enfants.

A la source, de ces désagréments, il y a les banques qui, sous l’effet des lobbyistes et des politiciens, leurs ont accordées de se voir attribuer des taux d’intérêts de 10% à 30% supérieur au coût de la vie au détriment du bon sens. Et tant pis, si le profit appartient à l’éphémère.

 

Si on analyse, la France est tout d’abord une famille. Une famille qui a des enfants, un porte monnaie, des us et coutumes et une forme de pensée.

Le père de famille qui doit gérer, apporter du bonheur, un équilibre psychique et physique est sous l’emprise et le devoir des politiciens qui ne sont que la tête pensante de la nation.

 

Or, il est à constater qu’à ce jour, nous sommes endetté à hauteur de 90% du PIB. Que l’on se plait à voter des lois en omettant d’abroger celles qui pourraient les contredire. Que pour paraître vis à vis des autres nations, on prône les droits de l’homme que l’on a instauré, quitte à se mêler ou s’immiscer sur certains états, voire provoquer une guerre dont le coût est à charge du contribuable. Que notre langue est bafouée alors qu’il existe une loi la protégeant et que l’on met en avant la langue anglaise, de façon traficotée. Qu’au nom des droits de l’homme et de l’asile, on accepte des milliers de personnes en souffrances à qui, on donne de l’argent, un toit, un enseignement. Et que pendant ce temps, on met en dehors des familles dont l’origine n’est pas à démontrer, ou de donner à un retraité qui a travaillé plus 40 ans, une pension qui démarre à 640€ et on ne vous parle pas comment le politicien à accès à cette profession car cela en est une.

Qu’il est à prendre conscience, que le contribuable, en ce moment se doit en vers la municipalité, le département, la région, le gouvernement, les députés, les sénateurs qui n’est autre que l’état et l’Europe du point de vue des lois et du social. Or, comment voulez vous vivre sereinement dans cette basse cour. Sachant que les lois Européennes prévalent sur celles de l’état français mais que l’Europe se doit de commercer avec le monde entier ce qui change les propos dans les textes car n’oublions pas que l’Europe a été créé sur la base, non du point de vue social, mais du commerce.

Avant de s’occuper des autres, n’est-il pas raisonnable tout d’abord, de parvenir à un bienêtre. C’est à l’acquisition d’un bien être que l’on peut subvenir à une aide pour autrui, non ?

Pour l’heure, nous allons vivre des élections, aussi cet aperçu de la situation qui embarrasse notre esprit est peut-être nécessaire. Aussi faites le savoir autour de vous, si vous en sentez le besoin, à moins que la situation vous plaise ou alors que vous préférez fuir et vous réfugier dans l’individualisme. C’est votre choix.

 

Robert-Paris.

A cette lecture, vous pouvez voter sur change org « Mon Président se devra »

Pétition pour une carte vitale de l’emploi

Il existe trop de caisses tant est si bien que le travailleur au cours de sa vie professionnelle, se retrouve à cotiser à des caisses qui ne lui donneront rien en fin de carrière car il n’aura pas assez versé de cotisations, surtout en sachant qu’au cours de sa vie active, il aura changé d’emploi et de caisses. En plus cette carte de vie professionnelle active permettrait en la mettant à jour, de savoir si l’employeur a bien versé les cotisations, de connaitre sur l’instant s’il peut bénéficier de sa retraite. De surcroit, elle permettra lors de contrôle de l’administration, si l’employé ou l’employeur fraude en faisant travailler des personnes au noir. Cette résultante donnera tant à l’employeur qu’à l’employé, une sérénité, une quiétude effaçant une nuisance, on le sait, à la rentabilité et à la performance de l’entreprise. Votez pour !

 

Robert-Paris

Le patient face à la maladie et son entourage

Que faire quand on a une maladie grave qui entraine une incompréhension, un dénigrement, une perte d’emploi, une peur de mourir, une fuite de votre entourage ? On se retrouve seul et désarmé et en proie à se laisser glisser vers une autodestruction pour fuir l’humiliation ou autres.

Certains arrive à avoir un aidant (famille ou ami‘e’s) mais celui-ci, bien que sa volonté et sa compassion soit sincère, il ne peut supporter le poids, dans le temps, de ce qui vous arrive.

Alors, bien souvent, le malade se retrouve au seuil de pauvreté, suite à la fuite de sa famille, de ses enfants, de son entourage.

Bien sûr, il peut bénéficier d’une aide sociale selon le cas, mais la chaleur de cette aide est glaciale, car non seulement cet apport vient d’un métier qui n’a de cesse d’occulter, sans préméditations son devoir pour un avoir.

La gente médicinale en fait autant, bien que la compassion s’en mêle ou d’user de ce patient afin d’assouvir à une Olympie de la science qui lui permet d’accéder à un hommage à son gousset et son égo. Bien sûr, il y en a qui n’attende pas ce phénomène pour revendiquer cette bienfaisance.

Toutefois, puisque vous êtes dans la position de patient, gardez vous pour mémoire, la position de ce malade que l’on vous décrit afin que vous preniez position pour votre avenir.

Il était une fois, une personne qui, alors qui vaquait dans un métier pour son plus grand bonheur et sa famille, attrapa le VHC (Hépatite C).

A cette époque, cela tombait à la même période que le SIDA dont les médias s’empressèrent de caricaturer au point qu’il perdit son emploi. Tout le monde le fuyait et même les prud’hommes trouvèrent normal de licencier celui-ci. Accroché à sa fierté et à sa vie, il interpella jusqu’au Président de la République sa situation, car aucune des administrations sociales comme la sécurité sociale ne voulait subvenir, en prétextant des conditions à avoir.

Il en résulta, après des démarches, qu’il obtint à titre de cobaye, l’aménagement d’un protocole à base d’interféron, alors que maintenant, on promeut la BI et la Trithérapie.

Bien que le virus au bout d’un certain temps s’est endormi, il a été un manifeste de pancréas dans un premier temps et des attenants provoquant des pancréatites chroniques et le diabète.

Par la suite, des polypes, des adénomes voire des carcinomes selon le précité s’ensuivirent provoquant une nouvelle remise en question.

Outre cela, une perforation d’un poumon, de deux AVC et enfin la perte du fonctionnement de l’estomac, sûrement suite à une neuropathie, lui succédèrent à ce jour, et cela sans compter un choc sceptique (autodestruction par le psychique).

Mais qu’en est-il de sa forme de penser face à ce déferlement.

Il nous a dit plusieurs choses, notamment :

« Un malade se doit de subvenir à soi même tant que peut se faire, et que les secours ne doivent être qu’un apport et non un réceptacle qui pourvoit à des événements ainsi que les aidants. Il faut se battre pour être indépendant ».

«  Quand vous avez une douleur énorme, sachez que c’est une preuve que vous êtes en vie et que l’on peut vous sourire ».

« A chaque fois que la mort venait à mon chevet, elle repartait en criant ‘putain y a rien à bouffer’, donc vous avez des chances de vivre ».

Personnellement, nous croyons en cette force que l’on peut ou non concéder au miracle, car survivre à tant de choses, soit on est une force de la nature, soit les prières sont exhaussées.

Ceci fait, pour donner une puissance à ce que vous subissez.

Chaque fait, chaque acte, chaque espèce (fleurs, animaux) ont besoin de votre reconnaissance, et même si vous avez une absence, on la compensera par votre réminiscence.

 

ROBERT PARIS.

 

Les questions de notre société

Il faudrait aujourd’hui se poser des questions mais a t’on les temps ou peur de se les afficher ou bien on ne veut pas que cela agisse sur nos intérêts éphémères. Il est clair, cependant que si on veut y répondre, elles vont d’elles mêmes nous offrir une résultante qui ne saura être du goût de tout le monde.

La première question se réfère à l’incertitude des nations. Si on prend la France, chaque année apporte son lots de votations, d’augmentations, de désolations et de souffrances, de reconsidérations, d’abrogations, etcétéra. La votation présidentielle ou autre amène une incertitude sur le devenir de l’avenir. Comme elle se passe en moyenne tous les cinq ans, elle provoque un trouble de l’expectative un an avant de l’habitant et de l’entreprise. En fait, on remet à l’après l’élection les décisions à prendre pour ne pas se retrouver en mauvaise posture, donc une perte dans l’évolution de la société et cela dans tous les domaines (lois, santé, travail, famille, social …). Ce qu’il faut retenir, c’est que cela se passe pareil au niveau mondial sauf dans les dictatures.

Pour les augmentations, idem, sauf que chaque état réagit en fonction d’un événement et les entreprises, sauf celles qui sont au niveau artisanal, par contre ne s’en tiennent qu’au profit. Par contre on oublie que, les artisans sont les plus nombreux et les plus bénéfiques pour la société. On ne fait pas de cadeaux à ceux là aussi certaines professions de cet entité abuse financièrement de leur service (avocat, médecin …). L’Europe étant un support pour favoriser les entreprises uniquement, la désolation de l’emploi se renforce car l’Europe met en place en ce moment une uniformisation des salaires et des conditions sociales qui devient à charge pour le monde actif et passif. Ce monde passif qui se fixe sur un banc public pour profiter par certains des actifs. Mais il est juste de ne pas oublier que l’on passe notre temps à faire des lois et décrets que l’on abroge ou pas, selon l’intérêt de certaines personnes ou de la gronde. Que cela trouble le taux des naissances, de l’emploi et autres thèmes.

En France, le plus grand trouble, c’est que nos politiques prônent en permanence la grandeur de la France aussi, on va se mêler de ce qui ne nous regarde pas. On veut se mettre au dessus des USA, de la Russie, de la Chine et autres et on dépense des milliards en employant selon le cas les militaires, alors que des millions de gens en France vivent en deçà de la pauvreté.

Pour clore ce chapitre, il faut que l’on se rende compte que chaque citoyen a besoin d’une stabilité psychique pour créer ou construire aussi, il serait bon d’assouvir l’attente du psychique de chacun par des résolutions de tous ces domaines, sinon on favorise la dépression, le burn out et l’individualisme mais qu’aussi que ce sont des dépenses de santé complètement idiotes.

Robert Paris.

Ce que peut sous entendre le passé de quelqu’un

Quand le passé remonte à la surface, on ne sait que dire et plus quoi faire.

Alors on l’interprète, en omettant l’origine, les conséquences selon les circonstances pour ne pas froisser le papier imbibé d’encre alors qu’il jette l’ancre aux portes du conscient.

Mais il garde le cap au cas où il faut batailler encore ou mettre les voiles, encore faut-il que le vent nous porte, sinon on fait du surplace et on se fixe, ce qui nous étouffe. En voguant voire en divaguant, on peut échapper aux tourments mais il se peut que cela soit quelques instants. Alors, soit on dépose les armes sur le premier rivage ou on amarre pour rejoindre le soleil levant afin de découvrir le nouveau monde.

Le passé, il ne faut pas s’en faire une montagne, surtout si on est issu de celle-ci. Soit on part en cordée ce qui est rare, soit l’alpiniste que l’on est doit s’évertuer à ne pas franchir le col sans raisons, sinon l’avalanche vous promet de vous fondre dans le paysage qui vous isole jusqu’au printemps et qui vous glace pendant ce temps par son manteau neigeux. C’est comme si on apposait un linceul blanc sur votre personne et qu’aucun mot ou maux se révèle à votre environnement.

Le passé, on en retient le bonheur même si il y a eu des heurts. Il dessine un tableau où tous les gens sont beaux et bons comme un met qui nous permet de toucher le bonheur à la bonne heure. Et le quand dira t’on changera de visage, car aux dires s’effacent devant les actes et le passé grandit toujours de cet révélation.

Robert-Paris

L’appel de la solitude du au portable

La solitude au bout du fil est partout dans notre société. Vous ne vous en rendez pas contre peut-être mais elle est présente et elle ronge notre système social.

La solitude qui prend effet aujourd’hui a pour origine multiples causes. Une des plus importantes a pour creuset, les blessures physiques et psychiques causées par un entourage ou un milieu social ou environnemental ce qui a pour seul résultante le repli sur soi qui enfante le mensonge et une déclamation de la souffrance par la suite. Une douleur qui s’exprime par le biais d’un des supports de communications, le portable. Cet instrument qui suit le développement technologique va curieusement répondre à l’attente de son détenteur.

En effet, il va semer et parfois répandre dans l’intention ou non de récolter, ceci pour avoir soit une reconnaissance, soit un effet, soit une quête ou autres. Il se démarque du net, car il n’y a pas d’écrits, ce qui évite bien des représailles éventuelles, quoique le sms et le net soient présents maintenant. Avec le portable, on peut se créer un personnage qui s’apparente étrangement à un jeu de rôles où tout est permis, mais aussi porter secours ou bien assouvir les besoins du monde du travail. Mais le plus souvent c’est la solitude qui s’exprime et qui s’ennuie d’un manque d’entourage, d’un conjoint ou d’un métier et favorise la fuite de l’interlocuteur ou du détenteur du portable. Cette fuite qui cause l’ablation des relations réelles peut être profitable à celui ou celle qui ne tient pas à ce que l’on s’immisce dans son intimité évitant ainsi les blessures ou les investigations voir la peur qui peut s’installer. La peur provenant bien souvent d’un souvenir mal perçu et mal interprété, qui d’un geste mal approprié, ou d’un fait est généralement la source de l’addiction au portable et de la dérive de notre société. En clair, c’est un mal être, un état négatif qui ne peut que nuire car il se répercute au niveau national. Le portable, il est partout et dans tous les lieux publics, d’ailleurs on ne voit personne qui n’en a pas. On le tient dans la main et accompagne notre vie au quotidien maintenant. On ne s’en sépare sous aucun prétexte sauf sous la douche. On est loin des années soixante où il fallait attendre deux ans pour avoir un téléphone et il fallait faire quelques kilomètres pour accéder au seul téléphone du bourg. Mais un de ces jours, on vous l’implantera sous la peau au moyen d’une puce comme celle qui est mise maintenant pour le travail. Il sera votre seul ami si on continue comme ça, ce qui va créer d’autres problèmes comme le fait de perdre totalement le contact avec autrui et fonder l’isolement.

Il invite par ce choix, de porter la personne à la dépression qui sous entend une perte intellectuelle, financière mais aussi de la productivité qui s’étend jusqu’à la nation et mettront les caisses sociales et les entreprises en demeure de reconsidérer ses actions.

Un drame qui se prépare ? Non, c’est déjà en cours.

Robert Paris.