L’effet d’une expression d’un peuple sur le monde entier

Si vous regardez le « Corps des Humbles de Savoye« , vous avez l’avantage de connaître en avant première de qui se passe sur la déclinaison de l’avenir sur le bassin méditerranéen.

En effet, le Corps des Humbles et ceci bien avant les autres médias, vous indiquait le 15 janvier 2011 dans un article (alors que dans la presse on en parlait le 17 courant), de la possibilité d’une extension à effets sur le bassin en question qui peut prendre place en Europe ou dans le monde.

Cet événement, aujourd’hui, se propage sur l’Egypte. Toutefois, il s’immisce dans les méandres de plusieurs pays du bassin au point de prétendre à une certaine conation.

C’est très dangereux de jouer avec cette puissance que sont les peuples, car cela ne peut être contrôlable même par des armées (le passé en ce sens à démontrer la chose). L’arme des peuples, c’est l’abnégation, la ferveur en oubliant les usages face à la douleur. En sachant que les armées se nourrissent de la production d’un peuple, d’une entité, si son action trucide son géniteur, il ne peut que périr sous son action.

Force qui se révèle, pour les investisseurs ou plutôt certains investisseurs (car cela profite à d’autres), d’un désagréable car elle provoque une chute des bourses provoquant une interpellationd’iceux auprès des nations en supputant une interaction voire une protection en brandissant sous le pouvoir d’une paternité (acte de naissance, passeport, ou autres), « la fraternité » (on le souligne quand il y a un intérêt qui se révèle personnel).

Sachant qu’à Davos, la réunion houleuse des banquiers face aux dirigeants se solde pratiquement par un compromis, on ne peut sortir de l’auberge!

Toutefois Nicolas Sarkozy, peut prétendre au G8 & G20 de faire valoir son action en tant que Président pour réguler, aseptiser l’économie tant sur les matières premières que sur la régularisation des flux internationaux. En ce domaine, il faudrait qu’il incite plus sur l’aspect qui se dégage en méditerranée et qui se propage aussi il ne faut pas attendre 2019 comme il est proposé par les banquiers.

Sûrement que, les propositions de Nicolas Sarkozy qui se veulent déterminer l’avenir de l’humanité, vont susciter moultes fomentations mais il est d’un intérêt commun que rien ne fasse flamme.

Pendant ce temps, à regarder sur le monde entier, il n’est pas sûr que cette expression ne s’étende pas aux pays émergents qui voient là un souffle nouveau que l’on peut transposer (nous avons des nouvelles en ce sens). Cela s’appelle la mondialisation.

Robert-Paris.

Point de vue d’un sociologue

Quand quelqu’un esquive à une attente ou à une interrogation, vous pouvez être sûr qu’il se tient prêt à être en marge d’une action ou d’une pensée pour mener à bien sa pensée qui se révélera un fait.

A fortiori, et après un relationnel avec les divers entités, le Corps des Humbles s’en est allé composer un  verbe auprès des sociologues, concernant la Savoie.

Point de réponses sans montrer un désarroi aussi, sur l’insistance, il se fit quand même des suggestions car le politiquement correct est de mise pour la circonstance. Comme si c’était un secret, il était à « demi-mot  » un récit qui s’ensuivit sur le parvis.

 » Si on doit résumer la situation des autochtones en Savoie, on peut se permettre de dire qu’il y a un désengagement de l’individu, vis à vis de la société, comme en France d’ailleurs. Vu le comportement de nos dirigeants et de son personnel qui se faufilent dans les méandres de l’histoire de la France, en occultant au gré, ses prérogatives (?)… En ce sens, nous pouvons voir pour exemple, et ne serait-ce que pour seul exemple, qu’ils se sont permis d’émettre une loi pour les auto-entrepreneurs en promettant mondes et merveilles alors qu’au bout de cette année, ils vont devoir être redevables de taxes et autres…C’est un mensonge de plus qui incite le citoyen à requalifier son univers en permanence voire de ne plus rien faire. Nous ne parlons même pas des abus en ce domaine qui se profilent en matière sociale ou d’identité nationale (?) dont le poids fait office de levier par l’obstruction du politiquement correct… Ceci sans oublier l’indécence de quantifier, non plutôt de minimiser, l’importance de l’apport de chacun par le biais d’un travail physique ou de réflexion qu’il procure à la société. Un atout qui finit malheureusement dans les mains d’une élite qui ne remplie aucunement sa fonction, cela ne peut perdurer éternellement. Enfin! Comment voulez-vous que le commun des mortels puisse accepter que le PDG un tel  gagne plus de 9 millions d’€uros à l’année et que lui soit à 1043€ net par mois ? Surtout en sachant que le PDG en question se trouve à bénéficier d’une voiture avec chauffeur et de certaines largesses comme la nourriture…Les gens pensent ! Ils savent bien que l’on essaye de les séduire. Ils voient bien que ce dirigeant n’a pas la même valeur que Einstein et que le gain financier qu’il s’auto-procure dans un conseil d’administration n’est là que pour avoir un pouvoir plus grand. Que pouvons-nous penser sur le devenir de la Savoie et de la France face à une mondialisation omniprésente? Si personne ne change d’attitude, il sera un repli de l’individu mais aussi de son territoire ou alors les extrêmes prendront un avantage, ce qui ne présage rien de bon. A moins que l’on continue d’occulter la situation. C’est un libre choix ! Nous, on est pas des devins, il faut se le dire quand même, mais on constate. Voilà, on constate !… »

Le Corps des Humbles, à travers cette entrevue, voit pourtant un aspect optimiste à vous relater ce récit émanant d’un sociologue car, mettre à la lumière les choses qui se disent par derrière, apporte une autre vision et un nouveau champ d’actions.

Robert-Paris.

Nouvelle contribution du ménage français ?

Le Corps des Humbles, généralement, ne s’implique guère dans une situation monétaire et surtout pas dans la définition d’un budget comme l’état français.

Toutefois, celui-ci se permet de mettre l’accentuation sur un défini qui offense autrui, car c’est toujours les mêmes qui payent.

Il est assez, que l’on fustige le contribuable et que l’on manipule icelui  à des fins personnelles au nom de la « France ».

En effet (et les médias participent sans faire un travail de profondeur), dans les quotidiens d’aujourd’hui, les avantages en matière de l’immobilier, de la santé, des revenus, etc… sont censés pour les ménages être mis à une contribution, un allégement d’avantages voire un effet dont la teneur révèle une sustentation pour éponger un déficit de l’état qui ne cesse sous un souffle, à grandir. De surcroît, les régions, les départements et les communes ou autres sont de ce fait, dans le collimateur alors qu’ils ne peuvent plus remplir une tâche de par l’ampliation des directives.

Il suffit et il suffirait de mettre à une contribution normale pour toutes les entreprises mais sans « passe droit « .

Il faut savoir que les 50 premières entreprises françaises, par exemple, bénéficient d’un forfait pour l’impôt du CA sur les entreprises et que cela se négocie encore aujourd’hui à Bercy. En sachant que les petites entreprises payent « plein pot » , il n’est pas normal que l’un paye et que l’autre (par pressions) se permette de se limiter à une contribution d’une valeur plus ou moins de 14% (voire moins) alors que les autres sont à plus de 30%.

En sus, la peur qu’elles provoquent auprès des institutions font que le politique étant désarmé, favorise le phénomène.

Or, selon les calculs des divers ONG, sociologues, partenaires de l’équité, comptables, médecins,…, Il est a dénoncer que l’attribut de cette principauté fait aux ménages, ne peut qu’engranger une dislocation des préceptes de notre institution.

Total, AXA, BNP, Crédit Agricole, carrefour, société Générale, peugeot, EDF, France Télécom, Suez, Saint Gobain, Renault, Caisse d’Epargne, Auchan, Véolia, Vinci, Bouygues, Sanofi, GDF, ETC… sont les principaux acteurs qui pourraient nous aider (d’ailleurs on peut remarquer que certaines entreprises bénéficient depuis la genèse, de la contribution des contribuables) à suffire à ce problème que nous espérons éphémère.

Si une entreprise veut quitter la France, qu’elle le fasse au lieu de dire à certains français de le faire, mais avec l’avantage que ceux qui gouvernent l’entreprise, perdent la nationalité française.

Ne vous inquiétez pas. Deux ans après, ils ne peuvent que revenir ou mourir car la pensée mondiale ne fait pas de cadeaux sans juste retour.

Certes pendant ce temps, l’ex-ministre de la justice Rachida Dati, lors d’un débat explicitant l’économie (?) confond le mot inflation avec le mot fellation, ce qui n’arrange pas les choses car elle pourrait éventuellement donner une tachycardie à la bourse de Paris. Mais même si on ne coupe pas la parole à quelqu’un qui a la bouche pleine (nous précisons de pensées!), on est en droit d’avoir une opinion.

Robert-Paris.

Manifeste pour la retraite

La retraite n’est qu’un aspect de notre société qui ne peut exister  que si une réforme totale de notre forme de pensée sociétale pouvait voir le jour.

Encore faut-il que chacun admette que nos structures ne répondent plus à notre univers et que l’on vit  maintenant sous une infrastructure comme sous une tente à oxygène.

La vie n’est pas un long chemin paisible, où les herbes et les fleurs qui se dessinent aux couleurs de votre plaisir, et qui vous caressent à votre passage tout en vous laissant un doux parfum dans le sillage, comme pour vous retenir.

Notre système est mort depuis quelques décennies. En effet, que ce soit l’assurance maladie, le chômage, la retraite et surtout la maternité (creuset de la pérennité d’une nation) n’ont que pour nourriture, l’argent et ses dérivés pour pouvoir vivre. Certes, le rêve peut faire perdurer quelque peu la situation et en ce domaine, la nomenclature politicienne à l’art de maîtriser ce phénomène mais qu’en est-il au demeurant ?

Notre fondement institutionnel se veut être que l’on prenne à quelqu’un pour donner à l’autre au regard des capacités de celui-ci à donner un fruit dont l’existence sera bénéfique pour autrui. Or aujourd’hui, on  n’arrive pas à donner une valeur aux êtres et aux choses, tant est si bien que l’on va donner démesurément à quelqu’un qui ne rapporte rien à la société et rien ou peu à celui qui fait genèse.

La naissance de l’Europe et de la mondialisation mettent au placard toutes les institutions (si on ne prend pas garde) qui balbutient pourtant quelques mots & des maux mais qui se noient sous nos yeux dans cet océan du profit et de la cupidité. L’homme politique est désarmé et ne peut que se cantonner dans la situation à vouloir en tirer une gloire, un profit ou un pouvoir (limité).

Une solution ? Soyons pragmatique dans les faits si nous prenons comme support l’argent ou ses dérivés. Il serait bon déjà que les dirigeants de chaque entreprise française qui délocalise perdent le statut de français. Pourquoi, parce que en voulant voir ailleurs pour baisser le coût d’une marchandise à des fins personnelles, ils gardent quand même le statut de français donc sous la protection de la nation française. Pourquoi, on imputerait aux français le coût financier d’une intervention dans le monde pour sauver quelqu’un qui ne veut pas participer aux principes de la nation française? Car à force de laisser la délocalisation prendre le pas, il y aura plus de chômeurs, de malades et de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté enfantant comme par le passé, une guerre civile ou autres (pour la date voir non pas dans les cartes mais dans l’histoire). Mais pour cela, il faut une reconnaissance internationale soit par le biais du « gros machin » de l’ONU mais çà, c’est une autre histoire.

Second exemple: Selon les informations, un sénégalais repérait des femmes enceintes qui n’avaient pas la nationalité française. Puis, suivant un arrangement financier de l’ordre de 200€, il reconnaissait l’enfant auprès de la CAF procurant ainsi la nationalité à la femme tout en percevant des allocations. Heureusement, on a découvert le pot aux roses au bout d’une centaine de déclarations mais malheureusement la loi dit que l’on est pas obligé d’apporter génétiquement la preuve de la parenté. Coût pour cette fraude à l’institution ceci pour l’année dernière seulement le montant de 800 000 000 €. Pourquoi ne pas déchoir de la nationalité française les personnes qui se prêtent à ce jeu et de ce fait les raccompagner là où elles sont nées? Ce n’est pas de la discrimination que de mettre ceux, qui discréditent notre forme de pensée, dans la situation de porter une anée ? Nous laissons en ce sens, les détracteurs à continuer de s’auto-flageller ou de consulter un psychiatre car l’auto-mutilation  ne peut voir le jour dans notre conception.

En clair, la retraite ne peut-être viable, comme la sécurité sociale et autres ustensiles de notre constitution, que si notre économie est en bonne santé mais aussi que le comportement de chacun de cette entité soit saine et en conformité avec ce qui unit chacun de nous sous un emblème qu’est notre drapeau.

Robert-Paris.


Regard sur la rentrée scolaire 2010

A l’heure où nous vous parlons, la cloche va bientôt retentir pour une nouvelle rentrée des classes sous l’appellation 2010/2011, ce qui  suscite les sens des uns et des autres.

Les parents s’affairent pour confier sa progéniture, selon les caractéristiques  du moment, pendant que les enfants s’agrippent aux derniers instants des vacances.

En haut lieu, pendant ce temps, on s’agace un peu de ne pas avoir déjà les effets des nouvelles dispositions qui rentrent maintenant dans une tradition, en occultant quelque part, la perception des précepteurs qui ont la charge de transmettre un savoir.

En effet, car il apparaît une notion autre que la rentabilité qui se trouve être, l’aspect financier et dont la charge revient, au gré du temps, à des entités qui n’avaient pas une vocation à parfaire en la matière.

Pour ce faire, on usite une déclinaison juridique qui s’empile sur les autres et qui parfois prend un contresens, mais qu’importe car elle porte un nom.

C’est normal et c’est humain que d’imposer une vision.

Toutefois dans cette collégiale, la médication peut émettre des effets indésirables.

L’enseignant qui est noté sur son aptitude à la soumission hiérarchique, s’inhibe peu à peu, stigmatisant son rôle au point que l’élève croit voir une faiblesse (ce qui incite à la domination).

L’enseignement étant passé de l’objectif (apprendre par coeur) au subjectif (apprendre par la déduction que fait l’élève), on s’aperçoit maintenant que cela peut engendrer et faciliter, avec l’âge venant et par absence d’acquis, les faveurs en outre de la maladie d’Alzheimer, parce que la mémoire n’a pas été travaillée. Il en résulte en ce sens, non seulement une multiplication de troubles mais une infinité d’actions du sujet évoluant dans le temps qui répondra suivant les événements, par son acquis qui ne peut qu’entraîner des difficultés sociales.

S’il serait une solution ? Nul doute que le précepteur, seul en contact avec son élève peut déterminer le besoin d’icelui à acquérir une évolution.

La soluté ne pouvant se faire qu’avec la complicité parentale.

De plus, le subjectif ne devrait être enseigné qu’après celui de l’objectif pour laisser place ensuite à celui de la sociologie, ce qui est un autre débat, à notre avis.

En dernier lieu, notre souffrance sociale n’est pas à répercuter sur l’enfant à qui l’on demande bien souvent en permanence d’être adulte tout en lui refusant la prérogative de l’être, sinon vous obstruez son équilibre et son champ de vision.

Robert-Paris.

Quand la justice fait tourner le lait !

Notre société a un fondement qui doit être appliqué à fortiori, par la justice.

Or celle-ci, ne suit pas son principe en déboutant pour exemple, les grands-parents (à angers) qui voulaient contester le statut de pupille de la nation de leur petite fille née sous X en juin 2009 de façon prématurée et reconnue comme pupille de l’état (le 14 août 2010) selon les volontés de la mère de l’enfant.

 

Cette petite fille que l’on nommera « Belle » pour la protéger, se voit baguenauder de famille d’accueil en famille d’accueil, selon la prescription d’une justice en attendant une reconnaissance et en dépit de l’amour que l’on peut lui prodiguer.

Suivant les attendus, la justice a émis un rendu envers les grands-parents déployant les termes  » … Ne peuvent se prévaloir d’un lien de filiation qui est rompu de par l’accouchement sous X… » « ..Ni d’un lien affectif… » alors qu’iceux avaient, par un examen sanguin, fait la preuve d’un attachement outre sentimental.

  Depuis la révolution et le code civil institué par Napoléon, il est une constante juridique que « la famille doit pourvoir à sa famille et surtout en cas de faiblesses d’une de la composante. Dans le cas contraire,  elle sera prise en charge avec le statut qu’il se doit, pour subvenir à son épanouissement ».

En clair, la société (soit la nation française) prend en charge l’enfant lorsque celui-ci est dépourvu d’un affectif et d’un nourricier.

  La faiblesse aujourd’hui, est de constater que la famille est séparée de sa progéniture et que le trouble émane d’une justice qui croît bien faire.

En ce domaine, il n’y a pas besoin d’instruire mais de favoriser l’accouplement entre les grands-parents et cet enfant qui ne demande qu’à grandir, ce qui enfantera sûrement un rapprochement dans le temps avec l’instigatrice & l’instigateur.

« Souffrir n’est pas jouer ! » aussi, il serait bon et cela sans un rendu que l’on octroie, cette paternité, bien que l’on reconnaisse par la suite la chose.

Au moins faire un essai ! Pourquoi remettre à un étranger, un enfant dans une famille d’accueil alors que la parenté est là ?

  Le Corps des Humbles ne peut se prêter à rendre hommage sur ce déclamatif à une institution qui se doit tant aux contribuables qu’aux citoyens.

Ceci fait dans un souci d’allaiter pour ne point faire paraître une jurisprudence.

  Robert-Paris.

Yve Nicolin au balcon pour le traité d’annexion

Suite à l'article de ce jour du 13 avril 2010, de Pierre-Eric Burdin du Dauphiné Libéré, concernant le statut de la Savoie, le Corps des Humbles suivant l'interpellation de ses lecteurs, s'est rapproché tant du député Yves Nicolin, porteur d'une question, que du journal officiel ou autres entités pour pouvoir déclamer une vérité.

Ceci fait, au regard de la perception des lecteurs de ce journal qui fait son devoir.

Il en résulte un bannissement si on entend les détracteurs car, les Savoisiens voient là que nos députés de Savoie cherchent à résoudre un problème par l’intermédiaire d’un ami de l’UMP (selon les dires).

Il apparaît à la déclinaison, que la personne mise en doute, né le 5 mars 1963 au Coteau (loire), marié et père de 3 enfants adoptés, soit l’instigateur de l’agence française de l’adoption mais aussi du souffle de l’interprétation d’une annexion de la Savoie et d’ailleurs.

Député de son état, il a fait part le 6 avril de son interrogation par écrit au gouvernement de par le texte N° 76121 page 3856 sur le J.O. (que l’on ne peut consulter curieusement dans la simplicité sauf selon l’acuité).

La question se pose:  « Le traité de 1860 est-il toujours en vigueur ? »

Interrogé sur  l’heure (à 15h45) sur ce fait, on nous a fait entendre qu’une communication serait en rapport à la réponse du gouvernement (autant dire qu’il faut attendre plusieurs mois au regard des questions ou faire fi d’une réponse) mais que Yves Nicolin s’empresserait de nous répondre, dès son retour de voyage.

Voilà un bagage qui ne peut rendre hommage à la nation française car l’article 44 du traité de paix en date du 10 février 1947 notifiant auprès des nations unies, la prise en compte de l’annexion de la Savoie voire du rattachement pour les détracteurs à la solde, n’a pas de valeur par absence du dépot.

De plus, le processus du traité de 1860 ne peut avoir une contenance car il est sujet à  s’auto-proclamer avant les autochtones à l’époque, sur une population en joug militairement et financièrement (par le pillage et sans compter l’illétrisme).

En la matière , le Corps des Humbles avait souligné aux plus hautes autorités l’aspect géostratégique de la situation, il y a encore peu de temps (voir le taux d’absentéisme et le recul des partis politiques).

Qu’en est-il maintenant où les deux Savoie (département) s’entendent à plaire tant sur le régional que sur les autochtones par une réunification ?

Rappelez-vous « tout corps plongé dans un liquide… » retrouve une masse constructive qui ne peut renier des valeurs indépendantes d’une volonté (comme l’histoire, l’espace, le temps, la perception, etc…) mais qui garde en son sein les éléments de sa composition par un effet mutagène.

Il en résulte, qu’il soit par incandescence, un référendum (suivant le processus des conseils généraux) qui garantirait une reconnaissance voire une résilience afin de former l’europe des régions, comme De Gaulle se plaisait à formuler, pour ne point créer une dissidence sous l’effigie d’une nation.

En clair, personne ne dit mot mais chuchote à demi-mot pour les maux, cela sans maudire car il faut faire attention aux dires pour ne point s’entendre médire tout en pansant les plaies de la pensée bien qu’elle soit un bien né au détriment de l’entendement.

Alors ? Le rêve est une réalité que l’on conjugue au présent bien que l’histoire fait son devoir.

Robert-Paris.

Voici la question du 6 avril 2010 par Yves Nicolin.

M. Yves Nicolin attire l'attention de M. le secrétaire d'État à l'intérieur et aux collectivités territoriales sur les risques juridiques, politiques et institutionnels majeurs qu'entraîne le traité d'annexion de la Savoie. À l'occasion du 150e anniversaire de l'annexion de la Savoie par la France, des cérémonies et diverses festivités et visites officielles sont programmées durant toute l'année 2010 notamment à partir du 24 mars puisque c'est par un traité signé à Turin le 24 mars 1860 que les arrondissements de Nice et la Savoie (les deux départements 73 et 74 actuels) ont été rattachés à la France du second empire. Sa question se pose pour deux raisons juridiques précises : d'abord et avant tout à l'échelle nationale parce que se pose sans doute une question d'intégrité territoriale susceptible en conséquence d'entraîner des effets internes importants. En effet, la question brutale de savoir si ce traité du 24 mars 1860 est bien toujours en vigueur se pose or ce traité est la clef de voute de tout l'édifice juridique et administratif français en Savoie. Le problème est simple : la France a enregistré à l'ONU sous le n° I-747 le traité de paix du 10 février 1947 dont elle est signataire et dépositaire. Ce traité comportait un article 44 faisant obligation à la France de notifier à l'Italie les traités antérieurs suspendus par l'effet des hostilités de la Seconde Guerre mondiale (traités au rang capital desquels se trouvait naturellement le traité de rattachement territorial de la Savoie et Nice de 1860). Cet article 44 comportait un 2e alinéa emportant l'obligation formelle d'enregistrer cette notification et ce traité auprès du secrétariat général de l'ONU, organisation créée deux ans auparavant en 1945. Cet enregistrement n'a pas eu lieu. Le même article 44 prévoyait un alinéa 3 stipulant qu'à défaut, la sanction encourue est l'abrogation (dans le texte : « les traités qui n'auront pas fait l'objet d'une telle notification seront tenus pour abrogés »). Il lui demande si le traité d'annexion de la Savoie du 24 mars 1860 a été ou non enregistré auprès du secrétariat général de l'ONU et, si cela n'est pas le cas, quelles mesures sont prises par le Gouvernement pour traiter les problèmes subséquents au plan juridique interne ? La question se pose également à l'échelon international où elle rebondit sous l'angle de l'obligation de respect par la France des normes de droit international en vigueur et qu'il s'agit, en fait comme en droit, rien moins que de l'image et de la réputation de l'État français dans la communauté internationale. Il n'ignore pas que la charte de l'ONU de 1945, et notamment son article 1er, ainsi que de multiples résolutions adoptées par l'assemblée générale, ont enjoint les États à faire aboutir le processus général de décolonisation qu'avait initié dès 1941 la charte de l'Atlantique. Il se trouve que 2010 marque officiellement la dernière année de la deuxième décennie de la décolonisation onusienne. En 2010 pourtant, la plupart des ministères et des administrations projettent cependant de participer à des événements commémoratifs ou d'organiser des cérémonies officielles en Savoie ou à Nice. Cela apparaît paradoxal si ce traité d'annexion a été caché à l'ONU et qu'il est abrogé par l'effet d'un traité signé à Paris. Si le traité de 1860 est abrogé du fait de son non-enregistrement auprès de l'ONU, un processus de désengagement de la France aboutissant à un référendum local vis-à-vis de la Savoie et de Nice est inéluctable sauf à prendre le risque d'une condamnation de la France par la Cour internationale de justice de La Haye. Il ne s'agirait pas de voir la France internationalement sommée de fournir des explications qu'elle n'aurait pas ou aurait insuffisamment préparées, voire d'essuyer une grave condamnation puisque la zone territoriale concernée couvre deux départements et demi. Au lieu d'apparaître comme subissant une crise dans une affaire juridiquement délicate voire perdue d'avance et doublement aggravée par la découverte de la dissimulation grossière d'un territoire ayant fait l'objet d'une annexion et par des commémorations officielles défiant (au sens étymologique des termes) le droit international, ne pourrait-on imaginer une prise en compte immédiate et en amont de cette question mettant à l'abri la France de l'avalanche de questions juridiques et politiques internes et internationales délicates que ce défaut d'enregistrement risque d'engendrer et que l'annonce de festivités officielles durant toute l'année 2010 risquent de déclencher et d'aggraver encore ? Il souhaite donc connaître les mesures que le Gouvernement entend prendre pour faire face et anticiper à l'ONU le risque certain de reconnaissance internationale de la Savoie par un ou plusieurs États étrangers ravis de brandir le traité de Paris de 1947 et reconnaître un nouveau micro-état géopolitiquement stratégique et juridiquement détaché de la France sans aucune préparation ni concertation.