Message aux auto-entrepreneurs

Au regard de l’afflux de questions concernant le langage du gouvernement et du fisc pour l’avènement du système et de la médication fiscale des auto-entrepreneurs mais aussi celles des P.M.E, et cela sans rentrer dans des détails techniques, le Corps des Humbles s’appliquent à pouvoir répondre à cette attente séance tenante. Par contre, nous ne pouvons répondre au cas par cas.

Il est vrai que les politiques, en instaurant le système de l’auto-entrepreneur, brandissaient dans le verbe que « Pas de chiffres d’affaires, pas d’impôts et pas de cotisations… » mais à l’inscription, chacun aurait dû lire le texte intégral qui engage la personne. Dans la déclinaison, on peut voir que ce n’est pas le cas et qu’une contribution se dessinait dans le déclaratif.

Certes, la suppression de la taxe professionnelle a fait sursauter le territorial (les communes) aussi, il s’ensuivit la mise en place de la CET (contribution économique territoriale) qui dans sa composante  est pourvue de la CFE (contribution foncière économique assise sur la valeur locative) et de la CVAE (contribution assise de la valeur ajoutée).

Cette nouvelle taxe méconnue des acteurs, par absence de communications suffisantes en temps et en heure, provoquent un levée de boucliers et d’interventions au point qu’un rendez-vous est fixé mardi, à Bercy chez le secrétaire d’état aux PME, pour en débattre.

Les auto-entrepreneurs brandissent un engagement à ne pas avoir de charges qu’au regard d’un chiffre d’affaires et les PME voient là, matière  à discussions car pour eux, c’est de la concurrence déloyale.

Dans l’histoire, le fait d’avoir supprimer la TP et vouloir faire miroiter aux auto-entrepreneurs un rapport de charges en fonction d’un chiffre d’affaires, il est un oubli monumental. Les communes ne peuvent fonctionner que si elles perçoivent des recettes.

En clair, les uns se sentent dupés et les autres se sentent lésés, pendant que les communes s’inquiètent du devenir sur la question.

Pourquoi ce rebondissement, maintenant ? Tout simplement parce que les auto-entrepreneurs se doivent d’acquitter des sommes qui ne respectent en rien le chiffre d’affaires mais qui se basent sur d’autres éléments, et cela avant la mi-décembre. En ce sens, il existe plusieurs exemples où pour 300€ de chiffres d’affaires, l’auto-entrepreneur se voit contraint de payer 200 voire 2000€ par cette taxe.

Que va-t-il se passer ? Il est clair qu’une baisse de créations dans la catégorie « auto-entrepreneur » se fera et qu’il s’ensuivra des fermetures en ce domaine, au grand dam des gouvernants, favorisant l’espace « pôle emploi ». L’homme politique sera un peu plus dénigré, par la suite et en dernier lieu, cela pourrait engendrer dans la votation, un changement de comportement, ceci si un accord ne voit pas le jour.

Toutefois, il est comme on dit « que chaque jour suffit à la peine » aussi, on ne peut qu’espérer un compromis en ce domaine.

Robert-Paris.

Nouvelle contribution du ménage français ?

Le Corps des Humbles, généralement, ne s’implique guère dans une situation monétaire et surtout pas dans la définition d’un budget comme l’état français.

Toutefois, celui-ci se permet de mettre l’accentuation sur un défini qui offense autrui, car c’est toujours les mêmes qui payent.

Il est assez, que l’on fustige le contribuable et que l’on manipule icelui  à des fins personnelles au nom de la « France ».

En effet (et les médias participent sans faire un travail de profondeur), dans les quotidiens d’aujourd’hui, les avantages en matière de l’immobilier, de la santé, des revenus, etc… sont censés pour les ménages être mis à une contribution, un allégement d’avantages voire un effet dont la teneur révèle une sustentation pour éponger un déficit de l’état qui ne cesse sous un souffle, à grandir. De surcroît, les régions, les départements et les communes ou autres sont de ce fait, dans le collimateur alors qu’ils ne peuvent plus remplir une tâche de par l’ampliation des directives.

Il suffit et il suffirait de mettre à une contribution normale pour toutes les entreprises mais sans « passe droit « .

Il faut savoir que les 50 premières entreprises françaises, par exemple, bénéficient d’un forfait pour l’impôt du CA sur les entreprises et que cela se négocie encore aujourd’hui à Bercy. En sachant que les petites entreprises payent « plein pot » , il n’est pas normal que l’un paye et que l’autre (par pressions) se permette de se limiter à une contribution d’une valeur plus ou moins de 14% (voire moins) alors que les autres sont à plus de 30%.

En sus, la peur qu’elles provoquent auprès des institutions font que le politique étant désarmé, favorise le phénomène.

Or, selon les calculs des divers ONG, sociologues, partenaires de l’équité, comptables, médecins,…, Il est a dénoncer que l’attribut de cette principauté fait aux ménages, ne peut qu’engranger une dislocation des préceptes de notre institution.

Total, AXA, BNP, Crédit Agricole, carrefour, société Générale, peugeot, EDF, France Télécom, Suez, Saint Gobain, Renault, Caisse d’Epargne, Auchan, Véolia, Vinci, Bouygues, Sanofi, GDF, ETC… sont les principaux acteurs qui pourraient nous aider (d’ailleurs on peut remarquer que certaines entreprises bénéficient depuis la genèse, de la contribution des contribuables) à suffire à ce problème que nous espérons éphémère.

Si une entreprise veut quitter la France, qu’elle le fasse au lieu de dire à certains français de le faire, mais avec l’avantage que ceux qui gouvernent l’entreprise, perdent la nationalité française.

Ne vous inquiétez pas. Deux ans après, ils ne peuvent que revenir ou mourir car la pensée mondiale ne fait pas de cadeaux sans juste retour.

Certes pendant ce temps, l’ex-ministre de la justice Rachida Dati, lors d’un débat explicitant l’économie (?) confond le mot inflation avec le mot fellation, ce qui n’arrange pas les choses car elle pourrait éventuellement donner une tachycardie à la bourse de Paris. Mais même si on ne coupe pas la parole à quelqu’un qui a la bouche pleine (nous précisons de pensées!), on est en droit d’avoir une opinion.

Robert-Paris.

Musilac 2010, un supermarché !!!

Vu, la tessiture de Musilac 2010, comme à l’accoutumée, le Corps des Humbles voulait couvrir l’événementiel, en octroyant une annonce comme les dernières années, en vidéo. Il fit, pour la circonstance, les démarches nécessaires à l’octroi d’un « laissez passer », ce qui a fortiori dans la conjugaison du verbe, a été dispensé par lettre du mois de juin de cette année par Madame Marie-Pierre Lanet du service de l’Office du Tourisme (seul habilité).

La résultante, c’est que le jour de l’ouverture pour le discours de l’inauguration, Marie-Pierre Lanet en voyant le Corps des Humbles sur les lieux, a mandé au chef de service de sécurité de nous expulser du site (avec discrétion), ce qui fût fait. La cause étant de notre part, une quantification des malfaits de sa personne qui perduraient depuis un an et que l’on déclina en temps et en heure. Pour ce faire, alors que nous étions (les journalistes et ma personne) entassés dans un troisième SAS de conditionnements, on vit virvolter Marie-Pierre Lanet  autour du chef de la sécurité pour l’entraîner  vers un baraquement de fortune visible de notre SAS. Puis, celui-ci s’approcha de nous en me fixant avec des lunettes noires  pour me dire que je ne pouvais accéder, sans l’intention de citer quoique ce soit.

Sur ce fait, un garde de la sécurité, puis deux conduirent dans un verbe alléchant notre personne, séance tenante, auprès de la sortie, ce qui était fortement désagréable.

Il s’ensuivit, un faire valoir auprès du Député Dominique Dord sur l’heure, afin de mettre en demeure l’Office du Tourisme d’Aix les Bains, sans résultantes à cette heure.

En fait, le Corps des Humbles qui s’attache à mettre en valeur la cité et l’identité de la Savoie, voulait parfaire pour l’événementiel, mais c’est se trouver devant un mur.

Un mur fait en béton cellulaire peut-être et qui est composé de snobisme, rentabilité, discriminations mais surtout pour le pognon.

En effet, chaque stand, chaque intervenant ( la presse, la télévision ou autres) devaient faire sonner le porte-monnaie ( ceci sans compter les institutions) et on parle en millions, aussi il était normal d’en relater l’existence car le consommateur ne pouvait prétendre à quoique ce soit. Au milieu d’une basse-cour, en plein soleil, s’accrochant à un barrière de commerces pour ne point souffrir d’une incontinence, d’un alcool ou autres. Déambulant dans une poussière en étant debout (car il n’y pas de sièges) avec un rapport de décibels (Plus de 126Db lors de la soirée d’Indochine soit 45 Db à 3,5 kms « en comparaison avec un réveil matin ») dont la teneur révèle une atrophie de l’écoute (de l’auditeur), il ne pouvait être question de ne pas faire entendre raison.

La raison voudrait qu’il ne soit pas porter au delà d’un périmètre le son porté qui s’entendait à Chambéry (sur le périphérique), au Tremblay, à la Motte Servolex … Que le public, ne soit plus considérer comme du bétail à qui on suppute un organigramme de paiements.

Alors ? Le pognon l’emporte sur la raison et les centaines qui se font « bénévole » devraient reconsidérer un enthousiasme qui ne profite qu’à deux entités (qui chaque année perd du pognon aux dires mais …) et qui « snob » ceux qui ont mis en valeur le dessein qui profite maintenant.

Robert-Paris.

Published in: on 19 juillet 2010 at 9:57 Comments (2)
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Quand la Savoie pourrait s’unir

Qu’en est-il de la Savoie du point de vue géographique, politique et du social au jeudi 6 mai 2010 au regard de la mondialisation, de l’Europe, de la France et de notre principauté d’Aix en Savoie ?

 

C’est la question de nos lecteurs, pour l’heure, auquelle on se doit de répondre !

 

La Savoie, bien qu’il n’est pour l’heure d’avoir souffrances, se doit de réagir. La réunification des deux Savoie, selon l’origine, devient un nécessaire pour ne point souffrir, selon les critères, d’une augmentation du chômage, des impôts, et autres. C’est le pourquoi du comment qui ne peut que satisfaire au détriment d’une entité.

 

En effet, par comparaisons, si vous achetez un véhicule qui consomme 20 litres au Cent kilomètres et que sous une contrainte votre partenaire en fait autant pour suffire au ménage en question, il apparaît dans une crise, indépendante de votre volonté, que l’intelligence serait de se prémunir en achetant des véhicules de moindres consommations. La Savoie ne peut que se prémunir en la matière.

 

Certes, pour l’heure, nous n’avons pas à souffrir mais à offrir, mais l’inquiètude gagne.

 

Quand on créé une entité, son défini dévoile une quantification qui se répercute sur votre porte-monnaie. Certes, certaines institutions ne peuvent construire car la mobilisation se fait autour d’un sujet abstrait (comme les banques) mais le pouvoir en place fait reconnaissance in situ, de la matière de la productivité, ce qui sauve quelque part les autochtones.

 

Cette remise en question rend hommage à nos représentants qui perdent ici, un emploi pour certains, ce qui est un désagrément au demeurant.

 

La question qui peut se poser est que le  portier des Alpes ne peut que perdurer, si on ne viendra pas piocher dans l’escarcelle de son existence, ce qui à fortiori n’est pas une certitude Mais voire une constante lorsque le produit fait l’alimentation d’un esprit.

 

Alors ? C’est vrai que le dessein ne peut que nous soulager du point de vue chômage mais s’il sert à prendre en charge le poids d’autrui (tant de l’Europe, du National ou de l’international) il se peut que l’on souffre d’une incontinence.

En clair, l’union fait la force alors que l’oignon aime à faire pleurer.

 

Robert Paris.

Published in: on 6 mai 2010 at 9:59 Comments (1)
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