Pétition pour une carte vitale de l’emploi

Il existe trop de caisses tant est si bien que le travailleur au cours de sa vie professionnelle, se retrouve à cotiser à des caisses qui ne lui donneront rien en fin de carrière car il n’aura pas assez versé de cotisations, surtout en sachant qu’au cours de sa vie active, il aura changé d’emploi et de caisses. En plus cette carte de vie professionnelle active permettrait en la mettant à jour, de savoir si l’employeur a bien versé les cotisations, de connaitre sur l’instant s’il peut bénéficier de sa retraite. De surcroit, elle permettra lors de contrôle de l’administration, si l’employé ou l’employeur fraude en faisant travailler des personnes au noir. Cette résultante donnera tant à l’employeur qu’à l’employé, une sérénité, une quiétude effaçant une nuisance, on le sait, à la rentabilité et à la performance de l’entreprise. Votez pour !

 

Robert-Paris

Le patient face à la maladie et son entourage

Que faire quand on a une maladie grave qui entraine une incompréhension, un dénigrement, une perte d’emploi, une peur de mourir, une fuite de votre entourage ? On se retrouve seul et désarmé et en proie à se laisser glisser vers une autodestruction pour fuir l’humiliation ou autres.

Certains arrive à avoir un aidant (famille ou ami‘e’s) mais celui-ci, bien que sa volonté et sa compassion soit sincère, il ne peut supporter le poids, dans le temps, de ce qui vous arrive.

Alors, bien souvent, le malade se retrouve au seuil de pauvreté, suite à la fuite de sa famille, de ses enfants, de son entourage.

Bien sûr, il peut bénéficier d’une aide sociale selon le cas, mais la chaleur de cette aide est glaciale, car non seulement cet apport vient d’un métier qui n’a de cesse d’occulter, sans préméditations son devoir pour un avoir.

La gente médicinale en fait autant, bien que la compassion s’en mêle ou d’user de ce patient afin d’assouvir à une Olympie de la science qui lui permet d’accéder à un hommage à son gousset et son égo. Bien sûr, il y en a qui n’attende pas ce phénomène pour revendiquer cette bienfaisance.

Toutefois, puisque vous êtes dans la position de patient, gardez vous pour mémoire, la position de ce malade que l’on vous décrit afin que vous preniez position pour votre avenir.

Il était une fois, une personne qui, alors qui vaquait dans un métier pour son plus grand bonheur et sa famille, attrapa le VHC (Hépatite C).

A cette époque, cela tombait à la même période que le SIDA dont les médias s’empressèrent de caricaturer au point qu’il perdit son emploi. Tout le monde le fuyait et même les prud’hommes trouvèrent normal de licencier celui-ci. Accroché à sa fierté et à sa vie, il interpella jusqu’au Président de la République sa situation, car aucune des administrations sociales comme la sécurité sociale ne voulait subvenir, en prétextant des conditions à avoir.

Il en résulta, après des démarches, qu’il obtint à titre de cobaye, l’aménagement d’un protocole à base d’interféron, alors que maintenant, on promeut la BI et la Trithérapie.

Bien que le virus au bout d’un certain temps s’est endormi, il a été un manifeste de pancréas dans un premier temps et des attenants provoquant des pancréatites chroniques et le diabète.

Par la suite, des polypes, des adénomes voire des carcinomes selon le précité s’ensuivirent provoquant une nouvelle remise en question.

Outre cela, une perforation d’un poumon, de deux AVC et enfin la perte du fonctionnement de l’estomac, sûrement suite à une neuropathie, lui succédèrent à ce jour, et cela sans compter un choc sceptique (autodestruction par le psychique).

Mais qu’en est-il de sa forme de penser face à ce déferlement.

Il nous a dit plusieurs choses, notamment :

« Un malade se doit de subvenir à soi même tant que peut se faire, et que les secours ne doivent être qu’un apport et non un réceptacle qui pourvoit à des événements ainsi que les aidants. Il faut se battre pour être indépendant ».

«  Quand vous avez une douleur énorme, sachez que c’est une preuve que vous êtes en vie et que l’on peut vous sourire ».

« A chaque fois que la mort venait à mon chevet, elle repartait en criant ‘putain y a rien à bouffer’, donc vous avez des chances de vivre ».

Personnellement, nous croyons en cette force que l’on peut ou non concéder au miracle, car survivre à tant de choses, soit on est une force de la nature, soit les prières sont exhaussées.

Ceci fait, pour donner une puissance à ce que vous subissez.

Chaque fait, chaque acte, chaque espèce (fleurs, animaux) ont besoin de votre reconnaissance, et même si vous avez une absence, on la compensera par votre réminiscence.

 

ROBERT PARIS.

 

L’appel de la solitude du au portable

La solitude au bout du fil est partout dans notre société. Vous ne vous en rendez pas contre peut-être mais elle est présente et elle ronge notre système social.

La solitude qui prend effet aujourd’hui a pour origine multiples causes. Une des plus importantes a pour creuset, les blessures physiques et psychiques causées par un entourage ou un milieu social ou environnemental ce qui a pour seul résultante le repli sur soi qui enfante le mensonge et une déclamation de la souffrance par la suite. Une douleur qui s’exprime par le biais d’un des supports de communications, le portable. Cet instrument qui suit le développement technologique va curieusement répondre à l’attente de son détenteur.

En effet, il va semer et parfois répandre dans l’intention ou non de récolter, ceci pour avoir soit une reconnaissance, soit un effet, soit une quête ou autres. Il se démarque du net, car il n’y a pas d’écrits, ce qui évite bien des représailles éventuelles, quoique le sms et le net soient présents maintenant. Avec le portable, on peut se créer un personnage qui s’apparente étrangement à un jeu de rôles où tout est permis, mais aussi porter secours ou bien assouvir les besoins du monde du travail. Mais le plus souvent c’est la solitude qui s’exprime et qui s’ennuie d’un manque d’entourage, d’un conjoint ou d’un métier et favorise la fuite de l’interlocuteur ou du détenteur du portable. Cette fuite qui cause l’ablation des relations réelles peut être profitable à celui ou celle qui ne tient pas à ce que l’on s’immisce dans son intimité évitant ainsi les blessures ou les investigations voir la peur qui peut s’installer. La peur provenant bien souvent d’un souvenir mal perçu et mal interprété, qui d’un geste mal approprié, ou d’un fait est généralement la source de l’addiction au portable et de la dérive de notre société. En clair, c’est un mal être, un état négatif qui ne peut que nuire car il se répercute au niveau national. Le portable, il est partout et dans tous les lieux publics, d’ailleurs on ne voit personne qui n’en a pas. On le tient dans la main et accompagne notre vie au quotidien maintenant. On ne s’en sépare sous aucun prétexte sauf sous la douche. On est loin des années soixante où il fallait attendre deux ans pour avoir un téléphone et il fallait faire quelques kilomètres pour accéder au seul téléphone du bourg. Mais un de ces jours, on vous l’implantera sous la peau au moyen d’une puce comme celle qui est mise maintenant pour le travail. Il sera votre seul ami si on continue comme ça, ce qui va créer d’autres problèmes comme le fait de perdre totalement le contact avec autrui et fonder l’isolement.

Il invite par ce choix, de porter la personne à la dépression qui sous entend une perte intellectuelle, financière mais aussi de la productivité qui s’étend jusqu’à la nation et mettront les caisses sociales et les entreprises en demeure de reconsidérer ses actions.

Un drame qui se prépare ? Non, c’est déjà en cours.

Robert Paris.