Soirée des voeux républicains à aix les bains

Voici un extrait du discours du Député-Maire pour les voeux républicains devant les forces vives. Ceci, avec l’agréable surprise de la participation de l’orchestre du conservatoire d’Aix les Bains qui a brillamment interprété un florilège, selon l’expression.

Robert-Paris.

prédiction monétaire 2011 en Savoie

« Le temps fait les choses et les choses font le temps ».

Certes, ce n’est qu’une citation de Robert-Paris et pour le moment, la crédibilité des bourses ne peut influencer la Savoie. Toutefois, il serait temps de prendre conscience de certaines anomalies dont le souffle pourrait faire perdre l’équilibre des jetons.

Sachant que les américains exportent par le biais de la production de la planche à billets et que la Chine maintient dans sa monnaie, une faiblesse favorisant les échanges mais en mettant de facto l’Europe en état de faiblesses.

Que la dette de la Grèce (dont une aide est en cours) est détenue à 80% par les banques françaises, ceci sans compter la faiblesse de l’Irlande, le Portugal, l’Espagne et maintenant l’Estonie (qui n’est pas encore dans la zone €uros), il serait bon de requalifier la teneur de nos relations.

Cela, sans oublier que maintenant l’investissement s’opère dans le virtuel du virtuel « vois-tu la montagne qui accouche d’une souris ? ».

En fait, l’équation qui se met en place ne prend pas en compte les qualités mais un éventuel devenir, si le bien fondé existe ?

La bourse de Paris ne pouvait que fermer sur un avantage du CAC40 à 3880 points, aujourd’hui.

Le problème, c’est que le soutien américain ou chinois pour les transactions, altèrent et déplacent les octrois dans la zone €uro voire, par fomentations ou non, une possibilité de la dissoudre. Car la France en voulant sauver ses ressortissants banquiers comme le faitl’Allemagne, pourrait se trouver dans une situation inextricable, à moins et au point de donner des avantages à ceux dont le manifeste est de vouloir une certaine domination, une emprise.

En sachant, que la plupart des biens de l’état de France, sont sous la propriété de certains étrangers à partir d’aujourd’hui, on ne pourrait que se plier à la volonté.

Toutefois, ce déséquilibre  à un effet conducteur qui conduit à un certain désengagement mais surtout à un effet de souffle.

Il ne peut que revaloriser la pauvreté, la non reconnaissance de l’être humain, la violence,la haine… sous toutes les formes imaginables.

Encore faut-il que la gourmandise des uns n’altèrent pas les sens gustatives.

Robert-Paris.

PS: La Savoie faisant partie intégrante du système thématique aurait beaucoup à souffrir, si elle ne prend garde, à notre avis.

Savoir si notre commercial pendant ces nouveaux mandats du G8 & G20, pourrait agir ? Oui ! Qu’il puisse ? Il se peut ! Mais la bataille sera rude car chacun défend un système et non une uniformisation de la pensée et de l’action.

Message aux auto-entrepreneurs

Au regard de l’afflux de questions concernant le langage du gouvernement et du fisc pour l’avènement du système et de la médication fiscale des auto-entrepreneurs mais aussi celles des P.M.E, et cela sans rentrer dans des détails techniques, le Corps des Humbles s’appliquent à pouvoir répondre à cette attente séance tenante. Par contre, nous ne pouvons répondre au cas par cas.

Il est vrai que les politiques, en instaurant le système de l’auto-entrepreneur, brandissaient dans le verbe que « Pas de chiffres d’affaires, pas d’impôts et pas de cotisations… » mais à l’inscription, chacun aurait dû lire le texte intégral qui engage la personne. Dans la déclinaison, on peut voir que ce n’est pas le cas et qu’une contribution se dessinait dans le déclaratif.

Certes, la suppression de la taxe professionnelle a fait sursauter le territorial (les communes) aussi, il s’ensuivit la mise en place de la CET (contribution économique territoriale) qui dans sa composante  est pourvue de la CFE (contribution foncière économique assise sur la valeur locative) et de la CVAE (contribution assise de la valeur ajoutée).

Cette nouvelle taxe méconnue des acteurs, par absence de communications suffisantes en temps et en heure, provoquent un levée de boucliers et d’interventions au point qu’un rendez-vous est fixé mardi, à Bercy chez le secrétaire d’état aux PME, pour en débattre.

Les auto-entrepreneurs brandissent un engagement à ne pas avoir de charges qu’au regard d’un chiffre d’affaires et les PME voient là, matière  à discussions car pour eux, c’est de la concurrence déloyale.

Dans l’histoire, le fait d’avoir supprimer la TP et vouloir faire miroiter aux auto-entrepreneurs un rapport de charges en fonction d’un chiffre d’affaires, il est un oubli monumental. Les communes ne peuvent fonctionner que si elles perçoivent des recettes.

En clair, les uns se sentent dupés et les autres se sentent lésés, pendant que les communes s’inquiètent du devenir sur la question.

Pourquoi ce rebondissement, maintenant ? Tout simplement parce que les auto-entrepreneurs se doivent d’acquitter des sommes qui ne respectent en rien le chiffre d’affaires mais qui se basent sur d’autres éléments, et cela avant la mi-décembre. En ce sens, il existe plusieurs exemples où pour 300€ de chiffres d’affaires, l’auto-entrepreneur se voit contraint de payer 200 voire 2000€ par cette taxe.

Que va-t-il se passer ? Il est clair qu’une baisse de créations dans la catégorie « auto-entrepreneur » se fera et qu’il s’ensuivra des fermetures en ce domaine, au grand dam des gouvernants, favorisant l’espace « pôle emploi ». L’homme politique sera un peu plus dénigré, par la suite et en dernier lieu, cela pourrait engendrer dans la votation, un changement de comportement, ceci si un accord ne voit pas le jour.

Toutefois, il est comme on dit « que chaque jour suffit à la peine » aussi, on ne peut qu’espérer un compromis en ce domaine.

Robert-Paris.

Nouvelle contribution du ménage français ?

Le Corps des Humbles, généralement, ne s’implique guère dans une situation monétaire et surtout pas dans la définition d’un budget comme l’état français.

Toutefois, celui-ci se permet de mettre l’accentuation sur un défini qui offense autrui, car c’est toujours les mêmes qui payent.

Il est assez, que l’on fustige le contribuable et que l’on manipule icelui  à des fins personnelles au nom de la « France ».

En effet (et les médias participent sans faire un travail de profondeur), dans les quotidiens d’aujourd’hui, les avantages en matière de l’immobilier, de la santé, des revenus, etc… sont censés pour les ménages être mis à une contribution, un allégement d’avantages voire un effet dont la teneur révèle une sustentation pour éponger un déficit de l’état qui ne cesse sous un souffle, à grandir. De surcroît, les régions, les départements et les communes ou autres sont de ce fait, dans le collimateur alors qu’ils ne peuvent plus remplir une tâche de par l’ampliation des directives.

Il suffit et il suffirait de mettre à une contribution normale pour toutes les entreprises mais sans « passe droit « .

Il faut savoir que les 50 premières entreprises françaises, par exemple, bénéficient d’un forfait pour l’impôt du CA sur les entreprises et que cela se négocie encore aujourd’hui à Bercy. En sachant que les petites entreprises payent « plein pot » , il n’est pas normal que l’un paye et que l’autre (par pressions) se permette de se limiter à une contribution d’une valeur plus ou moins de 14% (voire moins) alors que les autres sont à plus de 30%.

En sus, la peur qu’elles provoquent auprès des institutions font que le politique étant désarmé, favorise le phénomène.

Or, selon les calculs des divers ONG, sociologues, partenaires de l’équité, comptables, médecins,…, Il est a dénoncer que l’attribut de cette principauté fait aux ménages, ne peut qu’engranger une dislocation des préceptes de notre institution.

Total, AXA, BNP, Crédit Agricole, carrefour, société Générale, peugeot, EDF, France Télécom, Suez, Saint Gobain, Renault, Caisse d’Epargne, Auchan, Véolia, Vinci, Bouygues, Sanofi, GDF, ETC… sont les principaux acteurs qui pourraient nous aider (d’ailleurs on peut remarquer que certaines entreprises bénéficient depuis la genèse, de la contribution des contribuables) à suffire à ce problème que nous espérons éphémère.

Si une entreprise veut quitter la France, qu’elle le fasse au lieu de dire à certains français de le faire, mais avec l’avantage que ceux qui gouvernent l’entreprise, perdent la nationalité française.

Ne vous inquiétez pas. Deux ans après, ils ne peuvent que revenir ou mourir car la pensée mondiale ne fait pas de cadeaux sans juste retour.

Certes pendant ce temps, l’ex-ministre de la justice Rachida Dati, lors d’un débat explicitant l’économie (?) confond le mot inflation avec le mot fellation, ce qui n’arrange pas les choses car elle pourrait éventuellement donner une tachycardie à la bourse de Paris. Mais même si on ne coupe pas la parole à quelqu’un qui a la bouche pleine (nous précisons de pensées!), on est en droit d’avoir une opinion.

Robert-Paris.

Manifeste pour la retraite

La retraite n’est qu’un aspect de notre société qui ne peut exister  que si une réforme totale de notre forme de pensée sociétale pouvait voir le jour.

Encore faut-il que chacun admette que nos structures ne répondent plus à notre univers et que l’on vit  maintenant sous une infrastructure comme sous une tente à oxygène.

La vie n’est pas un long chemin paisible, où les herbes et les fleurs qui se dessinent aux couleurs de votre plaisir, et qui vous caressent à votre passage tout en vous laissant un doux parfum dans le sillage, comme pour vous retenir.

Notre système est mort depuis quelques décennies. En effet, que ce soit l’assurance maladie, le chômage, la retraite et surtout la maternité (creuset de la pérennité d’une nation) n’ont que pour nourriture, l’argent et ses dérivés pour pouvoir vivre. Certes, le rêve peut faire perdurer quelque peu la situation et en ce domaine, la nomenclature politicienne à l’art de maîtriser ce phénomène mais qu’en est-il au demeurant ?

Notre fondement institutionnel se veut être que l’on prenne à quelqu’un pour donner à l’autre au regard des capacités de celui-ci à donner un fruit dont l’existence sera bénéfique pour autrui. Or aujourd’hui, on  n’arrive pas à donner une valeur aux êtres et aux choses, tant est si bien que l’on va donner démesurément à quelqu’un qui ne rapporte rien à la société et rien ou peu à celui qui fait genèse.

La naissance de l’Europe et de la mondialisation mettent au placard toutes les institutions (si on ne prend pas garde) qui balbutient pourtant quelques mots & des maux mais qui se noient sous nos yeux dans cet océan du profit et de la cupidité. L’homme politique est désarmé et ne peut que se cantonner dans la situation à vouloir en tirer une gloire, un profit ou un pouvoir (limité).

Une solution ? Soyons pragmatique dans les faits si nous prenons comme support l’argent ou ses dérivés. Il serait bon déjà que les dirigeants de chaque entreprise française qui délocalise perdent le statut de français. Pourquoi, parce que en voulant voir ailleurs pour baisser le coût d’une marchandise à des fins personnelles, ils gardent quand même le statut de français donc sous la protection de la nation française. Pourquoi, on imputerait aux français le coût financier d’une intervention dans le monde pour sauver quelqu’un qui ne veut pas participer aux principes de la nation française? Car à force de laisser la délocalisation prendre le pas, il y aura plus de chômeurs, de malades et de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté enfantant comme par le passé, une guerre civile ou autres (pour la date voir non pas dans les cartes mais dans l’histoire). Mais pour cela, il faut une reconnaissance internationale soit par le biais du « gros machin » de l’ONU mais çà, c’est une autre histoire.

Second exemple: Selon les informations, un sénégalais repérait des femmes enceintes qui n’avaient pas la nationalité française. Puis, suivant un arrangement financier de l’ordre de 200€, il reconnaissait l’enfant auprès de la CAF procurant ainsi la nationalité à la femme tout en percevant des allocations. Heureusement, on a découvert le pot aux roses au bout d’une centaine de déclarations mais malheureusement la loi dit que l’on est pas obligé d’apporter génétiquement la preuve de la parenté. Coût pour cette fraude à l’institution ceci pour l’année dernière seulement le montant de 800 000 000 €. Pourquoi ne pas déchoir de la nationalité française les personnes qui se prêtent à ce jeu et de ce fait les raccompagner là où elles sont nées? Ce n’est pas de la discrimination que de mettre ceux, qui discréditent notre forme de pensée, dans la situation de porter une anée ? Nous laissons en ce sens, les détracteurs à continuer de s’auto-flageller ou de consulter un psychiatre car l’auto-mutilation  ne peut voir le jour dans notre conception.

En clair, la retraite ne peut-être viable, comme la sécurité sociale et autres ustensiles de notre constitution, que si notre économie est en bonne santé mais aussi que le comportement de chacun de cette entité soit saine et en conformité avec ce qui unit chacun de nous sous un emblème qu’est notre drapeau.

Robert-Paris.


Musilac 2010, un supermarché !!!

Vu, la tessiture de Musilac 2010, comme à l’accoutumée, le Corps des Humbles voulait couvrir l’événementiel, en octroyant une annonce comme les dernières années, en vidéo. Il fit, pour la circonstance, les démarches nécessaires à l’octroi d’un « laissez passer », ce qui a fortiori dans la conjugaison du verbe, a été dispensé par lettre du mois de juin de cette année par Madame Marie-Pierre Lanet du service de l’Office du Tourisme (seul habilité).

La résultante, c’est que le jour de l’ouverture pour le discours de l’inauguration, Marie-Pierre Lanet en voyant le Corps des Humbles sur les lieux, a mandé au chef de service de sécurité de nous expulser du site (avec discrétion), ce qui fût fait. La cause étant de notre part, une quantification des malfaits de sa personne qui perduraient depuis un an et que l’on déclina en temps et en heure. Pour ce faire, alors que nous étions (les journalistes et ma personne) entassés dans un troisième SAS de conditionnements, on vit virvolter Marie-Pierre Lanet  autour du chef de la sécurité pour l’entraîner  vers un baraquement de fortune visible de notre SAS. Puis, celui-ci s’approcha de nous en me fixant avec des lunettes noires  pour me dire que je ne pouvais accéder, sans l’intention de citer quoique ce soit.

Sur ce fait, un garde de la sécurité, puis deux conduirent dans un verbe alléchant notre personne, séance tenante, auprès de la sortie, ce qui était fortement désagréable.

Il s’ensuivit, un faire valoir auprès du Député Dominique Dord sur l’heure, afin de mettre en demeure l’Office du Tourisme d’Aix les Bains, sans résultantes à cette heure.

En fait, le Corps des Humbles qui s’attache à mettre en valeur la cité et l’identité de la Savoie, voulait parfaire pour l’événementiel, mais c’est se trouver devant un mur.

Un mur fait en béton cellulaire peut-être et qui est composé de snobisme, rentabilité, discriminations mais surtout pour le pognon.

En effet, chaque stand, chaque intervenant ( la presse, la télévision ou autres) devaient faire sonner le porte-monnaie ( ceci sans compter les institutions) et on parle en millions, aussi il était normal d’en relater l’existence car le consommateur ne pouvait prétendre à quoique ce soit. Au milieu d’une basse-cour, en plein soleil, s’accrochant à un barrière de commerces pour ne point souffrir d’une incontinence, d’un alcool ou autres. Déambulant dans une poussière en étant debout (car il n’y pas de sièges) avec un rapport de décibels (Plus de 126Db lors de la soirée d’Indochine soit 45 Db à 3,5 kms « en comparaison avec un réveil matin ») dont la teneur révèle une atrophie de l’écoute (de l’auditeur), il ne pouvait être question de ne pas faire entendre raison.

La raison voudrait qu’il ne soit pas porter au delà d’un périmètre le son porté qui s’entendait à Chambéry (sur le périphérique), au Tremblay, à la Motte Servolex … Que le public, ne soit plus considérer comme du bétail à qui on suppute un organigramme de paiements.

Alors ? Le pognon l’emporte sur la raison et les centaines qui se font « bénévole » devraient reconsidérer un enthousiasme qui ne profite qu’à deux entités (qui chaque année perd du pognon aux dires mais …) et qui « snob » ceux qui ont mis en valeur le dessein qui profite maintenant.

Robert-Paris.

Published in: on 19 juillet 2010 at 9:57 Comments (2)
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Quand la Savoie pourrait s’unir

Qu’en est-il de la Savoie du point de vue géographique, politique et du social au jeudi 6 mai 2010 au regard de la mondialisation, de l’Europe, de la France et de notre principauté d’Aix en Savoie ?

 

C’est la question de nos lecteurs, pour l’heure, auquelle on se doit de répondre !

 

La Savoie, bien qu’il n’est pour l’heure d’avoir souffrances, se doit de réagir. La réunification des deux Savoie, selon l’origine, devient un nécessaire pour ne point souffrir, selon les critères, d’une augmentation du chômage, des impôts, et autres. C’est le pourquoi du comment qui ne peut que satisfaire au détriment d’une entité.

 

En effet, par comparaisons, si vous achetez un véhicule qui consomme 20 litres au Cent kilomètres et que sous une contrainte votre partenaire en fait autant pour suffire au ménage en question, il apparaît dans une crise, indépendante de votre volonté, que l’intelligence serait de se prémunir en achetant des véhicules de moindres consommations. La Savoie ne peut que se prémunir en la matière.

 

Certes, pour l’heure, nous n’avons pas à souffrir mais à offrir, mais l’inquiètude gagne.

 

Quand on créé une entité, son défini dévoile une quantification qui se répercute sur votre porte-monnaie. Certes, certaines institutions ne peuvent construire car la mobilisation se fait autour d’un sujet abstrait (comme les banques) mais le pouvoir en place fait reconnaissance in situ, de la matière de la productivité, ce qui sauve quelque part les autochtones.

 

Cette remise en question rend hommage à nos représentants qui perdent ici, un emploi pour certains, ce qui est un désagrément au demeurant.

 

La question qui peut se poser est que le  portier des Alpes ne peut que perdurer, si on ne viendra pas piocher dans l’escarcelle de son existence, ce qui à fortiori n’est pas une certitude Mais voire une constante lorsque le produit fait l’alimentation d’un esprit.

 

Alors ? C’est vrai que le dessein ne peut que nous soulager du point de vue chômage mais s’il sert à prendre en charge le poids d’autrui (tant de l’Europe, du National ou de l’international) il se peut que l’on souffre d’une incontinence.

En clair, l’union fait la force alors que l’oignon aime à faire pleurer.

 

Robert Paris.

Published in: on 6 mai 2010 at 9:59 Comments (1)
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