Prendre son parti pour la présidentielle

Quels sont les personnages qui se présentent à la présidence de la République ?

Tout d’abord, ils se présentent comme des pasteurs. Ils offrent soit disant un avenir, mais qu’en est-il ? A travers des meetings et des réseaux sociaux, ils ressemblent plutôt à ces comédiens. Il faut le dire qu’ils se sont embarqués dans une histoire dont ils ne sont pas maîtres.

Le pire, il croient avoir le bon programme mais surtout d’être aimé et par ce fondé narcissique ne se sentent plus. Il n’y a plus de repères en la matière. Les votants sont maintenant transgressifs car ils en ont marre des clivages des partis et ils ont virés tous les protagonistes. Dans leur tête proclamant que sur un décliné, un apport des vieilles générations ne peut avoir que le verbe qui réitère un langage obsolète et qu’ils ne soient pas assez bon pour la perception. Alors les postulants testent tous les mots clés qui touchent l’électorat pour en déterminer une valeur et tous les stratagèmes sont bons et voir pour salir et démolir un concurrent. Pour cela, il faut être une grande gueule en dénonçant les facultés d’autrui aussi tant pis si on ne montre pas un projet, du moment que l’on est appuyé par les cadres du parti, car on oublie que l’on nous montre que ce que les cadres ont décidés de montrer aux électeurs. Bien sûr, il y a les primaires mais dans les meilleurs des cas, ce n’est que dix pour cent des électeurs qui votent et encore si ce n’est pas une fomentation pour discréditer un électorat. En plus, on met en place des trolls (gens malfaisants) pour exciter et dénigrer tant les votants que les postulants. En clair, un vrai merdier qui se dessine ! Macron, Mélenchon, Le Pen, Fillon ou autres ne voient même pas qu’au niveau mondial on vie une période dangereuse. Tant au niveau européen qui n’arrive pas à s’entendre et mettre en place des dispositifs, tant au niveau mondial avec Trump, dont on ne cerne pas les objectifs que Poutine et autres comme la Chine, l’Arabie Saoudite ou la Corée du Nord.

Alors on ment, on manipule, on tergiverse et on se sert des médias ou des réseaux sociaux, ce qui est très dangereux.

A vous d’en prendre conscience, à moins que vous ayez la science pour donner la confiance ou la méfiance afin de donner un sens censé pour subvenir à l’avenir.

Robert-Paris

Ce que peut sous entendre le passé de quelqu’un

Quand le passé remonte à la surface, on ne sait que dire et plus quoi faire.

Alors on l’interprète, en omettant l’origine, les conséquences selon les circonstances pour ne pas froisser le papier imbibé d’encre alors qu’il jette l’ancre aux portes du conscient.

Mais il garde le cap au cas où il faut batailler encore ou mettre les voiles, encore faut-il que le vent nous porte, sinon on fait du surplace et on se fixe, ce qui nous étouffe. En voguant voire en divaguant, on peut échapper aux tourments mais il se peut que cela soit quelques instants. Alors, soit on dépose les armes sur le premier rivage ou on amarre pour rejoindre le soleil levant afin de découvrir le nouveau monde.

Le passé, il ne faut pas s’en faire une montagne, surtout si on est issu de celle-ci. Soit on part en cordée ce qui est rare, soit l’alpiniste que l’on est doit s’évertuer à ne pas franchir le col sans raisons, sinon l’avalanche vous promet de vous fondre dans le paysage qui vous isole jusqu’au printemps et qui vous glace pendant ce temps par son manteau neigeux. C’est comme si on apposait un linceul blanc sur votre personne et qu’aucun mot ou maux se révèle à votre environnement.

Le passé, on en retient le bonheur même si il y a eu des heurts. Il dessine un tableau où tous les gens sont beaux et bons comme un met qui nous permet de toucher le bonheur à la bonne heure. Et le quand dira t’on changera de visage, car aux dires s’effacent devant les actes et le passé grandit toujours de cet révélation.

Robert-Paris

L’appel de la solitude du au portable

La solitude au bout du fil est partout dans notre société. Vous ne vous en rendez pas contre peut-être mais elle est présente et elle ronge notre système social.

La solitude qui prend effet aujourd’hui a pour origine multiples causes. Une des plus importantes a pour creuset, les blessures physiques et psychiques causées par un entourage ou un milieu social ou environnemental ce qui a pour seul résultante le repli sur soi qui enfante le mensonge et une déclamation de la souffrance par la suite. Une douleur qui s’exprime par le biais d’un des supports de communications, le portable. Cet instrument qui suit le développement technologique va curieusement répondre à l’attente de son détenteur.

En effet, il va semer et parfois répandre dans l’intention ou non de récolter, ceci pour avoir soit une reconnaissance, soit un effet, soit une quête ou autres. Il se démarque du net, car il n’y a pas d’écrits, ce qui évite bien des représailles éventuelles, quoique le sms et le net soient présents maintenant. Avec le portable, on peut se créer un personnage qui s’apparente étrangement à un jeu de rôles où tout est permis, mais aussi porter secours ou bien assouvir les besoins du monde du travail. Mais le plus souvent c’est la solitude qui s’exprime et qui s’ennuie d’un manque d’entourage, d’un conjoint ou d’un métier et favorise la fuite de l’interlocuteur ou du détenteur du portable. Cette fuite qui cause l’ablation des relations réelles peut être profitable à celui ou celle qui ne tient pas à ce que l’on s’immisce dans son intimité évitant ainsi les blessures ou les investigations voir la peur qui peut s’installer. La peur provenant bien souvent d’un souvenir mal perçu et mal interprété, qui d’un geste mal approprié, ou d’un fait est généralement la source de l’addiction au portable et de la dérive de notre société. En clair, c’est un mal être, un état négatif qui ne peut que nuire car il se répercute au niveau national. Le portable, il est partout et dans tous les lieux publics, d’ailleurs on ne voit personne qui n’en a pas. On le tient dans la main et accompagne notre vie au quotidien maintenant. On ne s’en sépare sous aucun prétexte sauf sous la douche. On est loin des années soixante où il fallait attendre deux ans pour avoir un téléphone et il fallait faire quelques kilomètres pour accéder au seul téléphone du bourg. Mais un de ces jours, on vous l’implantera sous la peau au moyen d’une puce comme celle qui est mise maintenant pour le travail. Il sera votre seul ami si on continue comme ça, ce qui va créer d’autres problèmes comme le fait de perdre totalement le contact avec autrui et fonder l’isolement.

Il invite par ce choix, de porter la personne à la dépression qui sous entend une perte intellectuelle, financière mais aussi de la productivité qui s’étend jusqu’à la nation et mettront les caisses sociales et les entreprises en demeure de reconsidérer ses actions.

Un drame qui se prépare ? Non, c’est déjà en cours.

Robert Paris.