Fomentation mondiale

S’il était à écrire une nouvelle sur une manigance mondiale, elle se composerait de façon à ne pas faire de bruits. En grand secret, on se préparerait à un avenir aux dépens de la population mondiale en construisant ou en réalisant une copie de l’arche de Noé réservée à l’élite. Ce concept qui vous paraît inconcevable, ne le sera plus à terme de cette lecture.

Vous savez que la terre ralentit, ce qui entraine des dérèglements climatiques car en ralentissant, le soleil reste plus longtemps sur un lieu, donc élévation de la température provoquant l’assèchement des lieux et la disparition de la faune ou son exil, de la flore et du déplacement climatique accentué par l’augmentation de la pollution et de la population mondiale qui cherche vainement des pays prospères et saines. La première conséquence est la fonte de la calotte glacière qui va faire entendre une élévation des eaux, emportant au passage quelques sites et parfois de nombreuses vies.

De plus, la population mondiale augmentant pour atteindre les neuf milliards d’individus, il ne peut y avoir que des conséquences comme sur la nourriture et la boisson mais aussi une amplification du C02 ou des particules fines qui engendreront des maladies tels que les voies respiratoires.

On le fait déjà en proposant de la nourriture nullement naturelle ou avarié à partir de déchets reconditionnés ou proposer des insectes en guise de repas pendant que la gente en question se délecte des fruits de la nature.

Tous les moyens sont bons en ce domaine et on voit poindre dès maintenant les efforts comme celle de faire des forages de produits pétroliers sur la banquise.

Bien sûr, chaque pays pour protéger sa propre population va tirer les draps à soi en faisant abstraction de ses voisins.

 

Ceci étant deux exemples parmi d’autres, il suscite chez certaines personnes qui ont pouvoir, soit par l’argent ou autres de se préserver, d’où l’intention de se réserver au moins un lieu, et une élite qui suffirait à pourvoir au quotidien.

Il en résultera une baisse de la population favorisée par quelques guerres, et une mise à plat des conditions de vie ou une quête unifiée d’aller conquérir d’autres espaces pour la pérennité de l’espèce humaine, mais à quel prix ?

Robert-Paris.