Aller à l’aide d’un divorce

Il est très difficile de faire valoir ses droits en cas de divorce, surtout s’il y a des enfants.

Au cours de ces dernières années, le Corps des Humbles a essayé dans éclaircir les circonstances pour pouvoir suggérer une compréhension voire une solution.

En effet, la personne qui met en route la procédure ou celui qui l’a subie mettent tous les atouts de leur coté s’il ne peut être à l’amiable ou alors par intérêts quelconques. Pour cela, ils s’entourent d’un avocat ou d’un notaire selon la nouvelle loi, si elle peut atteindre l’amiable. Toutefois, il est bien souvent la peur qui s’installe, celle-ci émanant d’une certaine violence physique, psychique ou de pressions incessantes, bloquant l’interlocuteur au point qu’il abandonne sa requête voire sa progéniture.

Attention, cet état de faits qui concerne le requérant peut-être à l’inverse pour la personne qui se doit de comparaitre, car elle peut ressentir une blessure profonde qui le pousse vers la dépression. Nous allons prendre deux exemples singuliers pour vous faire mieux comprendre.

Il a été il y a quelques temps de cela, un couple qui après plusieurs années de vie en PACS qui se marièrent et coulèrent size années de vie maritale. Comme bien de couples ils s’affairèrent pour que la progéniture ne manque ni de besoins ni de sentiments. Le mari lui poussa sa femme au cours de ces années, à suivre pour son équilibre psychique un chemin qui lui fût salutaire et d’acquérir après une formation, une place stable dans l’administration. Celle-ci pour seul réponse de ce bénéfice lança une procédure alors que son mari était sous l’emprise d’une santé très précaire. Alors qu’il était aux soins intensifs, elle quitta le lit conjugal, ce qui mit le mari en dépression donc pas en état de se défendre. Elle obtint le divorce non seulement aux torts de son mari en n’oubliant pas de le déposséder des biens de la maison et des aides qu’il avait perçu de l’état mais en sus du contact des enfants et des petits enfants. Il en résulta que le mari se trouva dans la situation d’être sous la protection d’une association qui lui permis d’avoir une chambre avant d’être par la suite sauvé in extrémis de la mort. On voit dans cet exemple que cette personne avait cru à l’amour mais aussi que les enfants et petits enfants n’avaient de sentiments que par intérêts donc, ils n’avaient aucun sentiments.

Le second exemple est aussi effrayant bien qu’il revêt un autre aspect.

Une femme, las de se faire jeter en dehors de chez elleavec ses enfants et le plus souvent sous l’effet d’une violence physique et psychique, se décida un jour à ne plus revenir au foyer conjugal et lança une demande de divorce par une aide juridictionnelle. Heureusement pour elle, que ses parents étaient là afin de l’accueillir et de l’aider. Elle trouva un logement près de son travail de mi-temps et s’installa de façon à protéger ses enfants. Le premier problème était de pouvoir remplir son frigo, ce qu’elle fit brillamment. Pendants ce temps, son mari toujours en quête de nouvelles conquêtes qui datent depuis son mariage quitte à vouloir se faire les amies ou proches de sa femme vaquait car dans sa fonction, il était impossible à songer de travailler mais de profiter des recettes issues des biens immobiliers acquis au cours de sa vie de couple. Certes, dans sa vie il a été des périodes où il a travaillé mais pourquoi pas profiter des bienfaits qui lui sont donnés. Evidemment, un désarroi s’ensuivit suite à la procédure instruite, il est lui amené quand il se trouve seul, à faire un récital de menaces et parfois d’insultes en dénigrant sa conjointe sous la fenêtre de son ex sauf quand il se trouve compagne où là, même sous la pression de la BAC, refuse de ramener les enfants sous prétexte que ce n’est pas marqué dans le premier rendu, si bien que sa femme est obligé parfois à 22 heures d’aller rechercher ses enfants à 40 Kms de là alors que les enfants ont l’école le lendemains.

L’avocate de Madame se tenant à suivre ce dossier qu’à la hauteur de l’aide juridictionnelle, il s’avéra que cette femme reprit le dossier car elle était désabusée. Depuis, ne croyant plus à divorcer en peu de temps et ne sachant plus quoi faire même si il se trouve cette nouvelle loi pour divorcer en moins de un mois, elle se fige sur elle même. Certes, des interpellations auprès du procureur et autres ont été, mais sans résultats. Tant est si bien que le mari qui jouie tant de cette situation que des biens peut se frotter les mains.

Bien sûr, il faudrait que cette femme reprenne un avocat pour engager une procédure pour fautes ou autres, ce qui accélérerait la procédure mais la peur est présente de voir par exemple qu’il fasse pression sur ses enfants ou de violences.

Le Corps des Humbles est ouvert à toute aide pour faire vivre un bien être à cette dame, selon vos possibilités en écrivant à Corps des Humbles de Savoye B.P.70103 73101 Aix les Bains Cedex 01..

Dans ces deux histoires, vous pourrez remarquer que c’est la peur, la violence et la souffrance ou la pudicité qui mènent souvent à la dépression et à l’inaction, ce qui gène énormément à la vérité et l’équité.