Musilac 2010, un supermarché !!!

Vu, la tessiture de Musilac 2010, comme à l’accoutumée, le Corps des Humbles voulait couvrir l’événementiel, en octroyant une annonce comme les dernières années, en vidéo. Il fit, pour la circonstance, les démarches nécessaires à l’octroi d’un « laissez passer », ce qui a fortiori dans la conjugaison du verbe, a été dispensé par lettre du mois de juin de cette année par Madame Marie-Pierre Lanet du service de l’Office du Tourisme (seul habilité).

La résultante, c’est que le jour de l’ouverture pour le discours de l’inauguration, Marie-Pierre Lanet en voyant le Corps des Humbles sur les lieux, a mandé au chef de service de sécurité de nous expulser du site (avec discrétion), ce qui fût fait. La cause étant de notre part, une quantification des malfaits de sa personne qui perduraient depuis un an et que l’on déclina en temps et en heure. Pour ce faire, alors que nous étions (les journalistes et ma personne) entassés dans un troisième SAS de conditionnements, on vit virvolter Marie-Pierre Lanet  autour du chef de la sécurité pour l’entraîner  vers un baraquement de fortune visible de notre SAS. Puis, celui-ci s’approcha de nous en me fixant avec des lunettes noires  pour me dire que je ne pouvais accéder, sans l’intention de citer quoique ce soit.

Sur ce fait, un garde de la sécurité, puis deux conduirent dans un verbe alléchant notre personne, séance tenante, auprès de la sortie, ce qui était fortement désagréable.

Il s’ensuivit, un faire valoir auprès du Député Dominique Dord sur l’heure, afin de mettre en demeure l’Office du Tourisme d’Aix les Bains, sans résultantes à cette heure.

En fait, le Corps des Humbles qui s’attache à mettre en valeur la cité et l’identité de la Savoie, voulait parfaire pour l’événementiel, mais c’est se trouver devant un mur.

Un mur fait en béton cellulaire peut-être et qui est composé de snobisme, rentabilité, discriminations mais surtout pour le pognon.

En effet, chaque stand, chaque intervenant ( la presse, la télévision ou autres) devaient faire sonner le porte-monnaie ( ceci sans compter les institutions) et on parle en millions, aussi il était normal d’en relater l’existence car le consommateur ne pouvait prétendre à quoique ce soit. Au milieu d’une basse-cour, en plein soleil, s’accrochant à un barrière de commerces pour ne point souffrir d’une incontinence, d’un alcool ou autres. Déambulant dans une poussière en étant debout (car il n’y pas de sièges) avec un rapport de décibels (Plus de 126Db lors de la soirée d’Indochine soit 45 Db à 3,5 kms « en comparaison avec un réveil matin ») dont la teneur révèle une atrophie de l’écoute (de l’auditeur), il ne pouvait être question de ne pas faire entendre raison.

La raison voudrait qu’il ne soit pas porter au delà d’un périmètre le son porté qui s’entendait à Chambéry (sur le périphérique), au Tremblay, à la Motte Servolex … Que le public, ne soit plus considérer comme du bétail à qui on suppute un organigramme de paiements.

Alors ? Le pognon l’emporte sur la raison et les centaines qui se font « bénévole » devraient reconsidérer un enthousiasme qui ne profite qu’à deux entités (qui chaque année perd du pognon aux dires mais …) et qui « snob » ceux qui ont mis en valeur le dessein qui profite maintenant.

Robert-Paris.

Published in: on 19 juillet 2010 at 9:57 Comments (2)
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