Rire ou pleurer ?

Voulez- vous pleurer ou rire ? C’est la question que l’on doit vous poser !

En effet, on ne sait trop comment vous annoncer la teneur des événements aussi, on vous laisse le choix de rire ou de pleurer, selon votre gré !

Sachant que le Directeur de LVMH en une journée, s’est octroyé 18 millions d’€uros (hormis les charges) alors qu’il est un acteur pouvant se permettre d’avoir un délit d’initié donc, d’être en absence avec notre forme de pensées (info du 8/11/2010 sur BFM).

Que le gouvernement français se permet de vendre des ambassades (l’existant étant plus 300 dans le monde, soit plus que les états Unis qui en détient 170) ou les locaux pour subvenir en d’autres lieux (info sur France 2). Qu’il est compatissant de subvenir à des intentions de la Chine pour l’achat de nouvelles technologies avec pour résultantes un acquis d’icelles sans contreparties et que l’état français compte sur notre capacité à pourvoir à des inventions pour y remédier (encore faut-il pouvoir ! ) .

Que son verbe, par le biais du sénat, octroie un titre, en fustigeant la nature de la langue française, pour favoriser la teneur d’une agressivité (bien qu’il soit une souffrance) alors qu’il est en d’autres lieux, une dédicacée à l’harmonie de la dite déclinaison.

Que le maussade appose un ton glacial au regard du temps, i l se peut que cette forme de pensées, créant une satisfaction à la souffrance, n’apporte une résultante voire un satisfecit néfaste à la procréation.

Pour l’heure, le Corps des Humbles, ne peut souscrire à cette indifférence pour autant.

Qu’il en soit ainsi. Rire ou pleurer est une faculté que l’on ne peut vous retirer !

Robert-Paris

Rassemblement du 10 octobre 2010 pour faire choeur avec VIVAVOCE

Vidéo de VIVAVOCE de chambéry

Quand la passion vient à animer l’esprit, elle éclaire mille visages et laisse dans le sillage, une empreinte qui vient s’inscrire dans la mémoire.

Elle colporte mais aussi enfante une destinée que nul ne peut altérer aussi, le Corps des Humbles se devait de vous dévoiler quelque peu l’âme de Viva Voce.

Robert-Paris.

Renseignements par mail :  vivavoce.chorale-chy@orange.fr

Manifeste pour la retraite

La retraite n’est qu’un aspect de notre société qui ne peut exister  que si une réforme totale de notre forme de pensée sociétale pouvait voir le jour.

Encore faut-il que chacun admette que nos structures ne répondent plus à notre univers et que l’on vit  maintenant sous une infrastructure comme sous une tente à oxygène.

La vie n’est pas un long chemin paisible, où les herbes et les fleurs qui se dessinent aux couleurs de votre plaisir, et qui vous caressent à votre passage tout en vous laissant un doux parfum dans le sillage, comme pour vous retenir.

Notre système est mort depuis quelques décennies. En effet, que ce soit l’assurance maladie, le chômage, la retraite et surtout la maternité (creuset de la pérennité d’une nation) n’ont que pour nourriture, l’argent et ses dérivés pour pouvoir vivre. Certes, le rêve peut faire perdurer quelque peu la situation et en ce domaine, la nomenclature politicienne à l’art de maîtriser ce phénomène mais qu’en est-il au demeurant ?

Notre fondement institutionnel se veut être que l’on prenne à quelqu’un pour donner à l’autre au regard des capacités de celui-ci à donner un fruit dont l’existence sera bénéfique pour autrui. Or aujourd’hui, on  n’arrive pas à donner une valeur aux êtres et aux choses, tant est si bien que l’on va donner démesurément à quelqu’un qui ne rapporte rien à la société et rien ou peu à celui qui fait genèse.

La naissance de l’Europe et de la mondialisation mettent au placard toutes les institutions (si on ne prend pas garde) qui balbutient pourtant quelques mots & des maux mais qui se noient sous nos yeux dans cet océan du profit et de la cupidité. L’homme politique est désarmé et ne peut que se cantonner dans la situation à vouloir en tirer une gloire, un profit ou un pouvoir (limité).

Une solution ? Soyons pragmatique dans les faits si nous prenons comme support l’argent ou ses dérivés. Il serait bon déjà que les dirigeants de chaque entreprise française qui délocalise perdent le statut de français. Pourquoi, parce que en voulant voir ailleurs pour baisser le coût d’une marchandise à des fins personnelles, ils gardent quand même le statut de français donc sous la protection de la nation française. Pourquoi, on imputerait aux français le coût financier d’une intervention dans le monde pour sauver quelqu’un qui ne veut pas participer aux principes de la nation française? Car à force de laisser la délocalisation prendre le pas, il y aura plus de chômeurs, de malades et de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté enfantant comme par le passé, une guerre civile ou autres (pour la date voir non pas dans les cartes mais dans l’histoire). Mais pour cela, il faut une reconnaissance internationale soit par le biais du « gros machin » de l’ONU mais çà, c’est une autre histoire.

Second exemple: Selon les informations, un sénégalais repérait des femmes enceintes qui n’avaient pas la nationalité française. Puis, suivant un arrangement financier de l’ordre de 200€, il reconnaissait l’enfant auprès de la CAF procurant ainsi la nationalité à la femme tout en percevant des allocations. Heureusement, on a découvert le pot aux roses au bout d’une centaine de déclarations mais malheureusement la loi dit que l’on est pas obligé d’apporter génétiquement la preuve de la parenté. Coût pour cette fraude à l’institution ceci pour l’année dernière seulement le montant de 800 000 000 €. Pourquoi ne pas déchoir de la nationalité française les personnes qui se prêtent à ce jeu et de ce fait les raccompagner là où elles sont nées? Ce n’est pas de la discrimination que de mettre ceux, qui discréditent notre forme de pensée, dans la situation de porter une anée ? Nous laissons en ce sens, les détracteurs à continuer de s’auto-flageller ou de consulter un psychiatre car l’auto-mutilation  ne peut voir le jour dans notre conception.

En clair, la retraite ne peut-être viable, comme la sécurité sociale et autres ustensiles de notre constitution, que si notre économie est en bonne santé mais aussi que le comportement de chacun de cette entité soit saine et en conformité avec ce qui unit chacun de nous sous un emblème qu’est notre drapeau.

Robert-Paris.


Stage de boxe & judo à Aix les Bains

Il est une rencontre avec Pascal et Philippe, lors d’un stage de découverte en matière de sport de judo et de boxe, pour nous faire partager une passion.

En sus, il a été un profit, pendant cette entrevue, de découvrir qu’un autre stage est en préparation pour le mois d’août.

Robert-Paris.

Stage de boxe & judo à Aix les Bains

Un sujet du Bac 2010

Prenons un des sujets du Bac série L « littéraire » dont le coefficient est de 7 pour en faire un exercice, voire un petit exemple.

-La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ? –

Le Corps des Humbles appréciant le contenu va essayer d’en faire le contour par une ébauche dans un minimum de temps, si possible et ceci de façon désintéressée.

« La recherche de la vérité ne peut-être sujet au désintéressement ou alors, c’est pour combler un espace dans le temps par oisiveté, d’où un intérêt !

Sa source vient principalement du fait d’une souffrance latente ou non ou alors, c’est pour un apport à l’évolution de sa personne. Dans tous les cas, c’est pour résoudre une question qui s’impose à elle.

D’ailleurs, il se peut que dans cette quête, que la peur s’installe à un moment donné au point de pétrifier le solliciteur en l’amenant à repousser, déformer  voire occulter la résultante.

Toutefois, le rejet inocule pourtant une graine qui viendra germer pour porter un fruit en son temps, car il faut du temps pour concevoir et accepter la chose ce qui amplifie bien souvent, la souffrance.

Si cette recherche de la vérité s’attache à la connaissance, elle enfante chez le sujet, une abnégation, une accointance mais aussi une certaine addiction qui peut perdurer au delà de la jouissance de la découverte ou de la solution.

Cette addiction peut émettre l’envie de rechercher une nouvelle quête au point d’engendrer  une certaine exclusion (comme dans sa première démarche) tant du sujet vis à vis de son microcosme que de l’univers qui l’entoure proche d’icelui ce qui peut, outre la déconnection évidente, donner un pouvoir d’interprétations auprès de l’entourage qui, par protection se doit  de protéger celui-ci mais aussi lui-même dont le but est de garder un équilibre de l’espace tant physiologique que psychologique.

Il est heureux que l’oisiveté est sa part (comme une profession) en la matière car il apporte un certain détachement, bien que l’égocentrisme fait toujours son ouvrage tôt ou tard, selon le bagage de l’antécédent et de l’instant.

Par contre, si c’est un métier, il ne peut exister le « désintéressement » du fait de l’apport pécunier ceci bien que cela crée bien souvent un désintéressement dans son fondement sauf si la déclinaison suscite les sentiments.

Il n’est pas besoin de déposer pour la circonstance, des références hormis celles que vous détenez de par votre réminiscence que je vous laisse volontiers à garder sous silence car mon intérêt se plaît au désintéressement. »

Ceci fait en 34 minutes le 19 juin 2010 alors, à vos plumes.

Robert-Paris.


Published in: on 19 juin 2010 at 6:27 Comments (0)
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Simone Monnier s’est éteinte aujourd’hui

Simone Monnier, fondatrice de Beauvallon, nous quitte aujourd’hui 17 avril 2010, pour rejoindre ses partenaires dans un long voyage où les justes se côtoient dans la simplicité.

 

Chevalier de la Légion d’Honneur, Juste parmi les Justes, elle a rejoint Marguerite Soubeyran & Catherine Kraft avec une certaine intimité qui lui sied à l’âge de 97 ans.

Co-fondatrice de l’école de Beauvallon en 1929 à Dieulefit dans la Drôme, elle fera un parcours exemplaire de plus de 41 ans car, empreint d’une humanité envers autrui exceptionnelle.

Le Corps des Humbles de Savoye ne peut que lui rendre un hommage et s’attache pour l’heure, à subvenir d’un soutien fait de silence, envers la famille, car les mots ne peuvent pas retranscrire la situation.

Repose en paix.

Robert-Paris.

On vous coach sur le coach ?

Il y a des mots qui, selon le lieu, le moment, l’aspect social ou autres,  peuvent faire naître quelque chose chez un sujet et un engouement pour élaborer ou construire, mais des fois, c’est pour nuire.

  Prenons pour exemple, le mot « coach » dont la définition chez les intellectuels se trouve être:

 « Le coaching est un accompagnement en miroir d’une ou de plusieurs personnes, pour leur permettre d’atteindre ou de dépasser plus rapidement et plus facilement leurs objectifs personnels ou professionnels, en se basant sur la science maïeutique (art de faire émerger des solutions à/ou dans l’esprit) sur le principe d’une conscience accélérée) ».

En quelque sorte, c’est un défricheur d’âme, un jardinier, un éclaireur, un empêcheur de tourner en rond mais aussi un miroir de soi, selon la définition.

  Déjà, quand quelqu’un vous parle comme cela, prenez donc un peu de recul, car cette personne est plus apte à vouloir avoir une emprise sur votre entité que de vouloir vous aider.

  Tout d’abord, on parle d’un enseignement qui le plus souvent est une pratique chez un précepteur ou un entraîneur aussi, il n’est pas besoin d’employer un mot anglais pour faire reconnaître une qualité (si elle existe).

  De plus, dans la définition, il apparaît que les psychiatres devraient s’interroger car, si le coach en question se met en position de miroir de la personne, le fonctionnel de son esprit est altéré de par la conjugaison, d’où un trouble qu’il faut abroger séance tenante.

  Pour parfaire la chose, on vous emploie au demeurant un titre ronflant comme « maïeutique » pour vous soutirer en finalité de l’argent (beaucoup plus que moins). Si le sujet ne souscrit pas à l’intelligence (ne pas confondre avec l’acquis), le coach ne peut pas faire naître une destinée sauf à destination d’un gousset de sa convenance.

  De surcroît, un homme de trente ans ne peut prétendre à faire vivre un parcours professionnel de 50 ans et pourtant, cela existe par le biais des médias.

  Il en résulte, que le Corps des Humbles de Savoye vous préconise, de ne pas adhérer à cet envoutement mais à celui d’un parterre de professionnels reconnu par les autorités.

  En musique (exemple provoquant des troubles) vous avez la possibilité de vous rapprocher du conservatoire, de la FMS (fédération Musicale de Savoie), de la cité des arts à Chambéry ou  de la FFPMI (Fédération Française des Professeurs de Musique et d’instruments).

  Robert-Paris.

Published in: on 11 avril 2010 at 18:31 Comments (0)
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