Quand la Savoie pourrait s’unir

Qu’en est-il de la Savoie du point de vue géographique, politique et du social au jeudi 6 mai 2010 au regard de la mondialisation, de l’Europe, de la France et de notre principauté d’Aix en Savoie ?

 

C’est la question de nos lecteurs, pour l’heure, auquelle on se doit de répondre !

 

La Savoie, bien qu’il n’est pour l’heure d’avoir souffrances, se doit de réagir. La réunification des deux Savoie, selon l’origine, devient un nécessaire pour ne point souffrir, selon les critères, d’une augmentation du chômage, des impôts, et autres. C’est le pourquoi du comment qui ne peut que satisfaire au détriment d’une entité.

 

En effet, par comparaisons, si vous achetez un véhicule qui consomme 20 litres au Cent kilomètres et que sous une contrainte votre partenaire en fait autant pour suffire au ménage en question, il apparaît dans une crise, indépendante de votre volonté, que l’intelligence serait de se prémunir en achetant des véhicules de moindres consommations. La Savoie ne peut que se prémunir en la matière.

 

Certes, pour l’heure, nous n’avons pas à souffrir mais à offrir, mais l’inquiètude gagne.

 

Quand on créé une entité, son défini dévoile une quantification qui se répercute sur votre porte-monnaie. Certes, certaines institutions ne peuvent construire car la mobilisation se fait autour d’un sujet abstrait (comme les banques) mais le pouvoir en place fait reconnaissance in situ, de la matière de la productivité, ce qui sauve quelque part les autochtones.

 

Cette remise en question rend hommage à nos représentants qui perdent ici, un emploi pour certains, ce qui est un désagrément au demeurant.

 

La question qui peut se poser est que le  portier des Alpes ne peut que perdurer, si on ne viendra pas piocher dans l’escarcelle de son existence, ce qui à fortiori n’est pas une certitude Mais voire une constante lorsque le produit fait l’alimentation d’un esprit.

 

Alors ? C’est vrai que le dessein ne peut que nous soulager du point de vue chômage mais s’il sert à prendre en charge le poids d’autrui (tant de l’Europe, du National ou de l’international) il se peut que l’on souffre d’une incontinence.

En clair, l’union fait la force alors que l’oignon aime à faire pleurer.

 

Robert Paris.

Published in: on 6 mai 2010 at 9:59 Comments (1)
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Quand l’Europe se Grèce

La France vient d’être condamnée à 560 millions d’€uros dans l’affaire des frégates et Pasqua à un an de prison avec sursis mais qu’en est-il de la situation européenne ?

 

Sous la pression qui avait été exercée sur la Grèce pour endettement, l’Europe s’oblige envers ce partenaire dont les ressources en PIB relèvent plus du travail au noir et d’une assiduité moindre à l’emploi que le contingent de l’Europe (37 ans de cotisations pour l’accès à la retraite). On lui offre aujourd’hui de soutenir son économie (110 milliards), moyennant des contraintes de la part du FMI et de l’Europe.

 

Voyant cela, on hurle un désarroi dans ce pays où moultes corruptions voient le jour comme par le passé car le chemin devient inaccessible.

Du coup, ceux qui sont dans la possibilité de mander une préretraite se pressent au guichet, ce qui accélère la machine à broyer.

Mais les prêteurs du passé et de ce présent (110 milliards) commencent à prendre peur car  l’insolvabilité entraînerait une mise sur le marché d’assignats ou autres mais se réfèrent à la mémoire des bons russes  qui a fait son ouvrage.

 

Et il ne serait pas bon pour la France par exemple, que l’Espagne suive le même chemin de par son rapport avec la Grèce car nos transactions avec celle-ci, comme l’Italie, pourrait nous être préjudiciable.

Ceci est un des effets des Subprimes (car ils sont toujours, là dans les valises) qui vient frapper ici, à notre porte.

En clair, il ne faut plus penser comme avant où la nation française peut répondre car maintenant, notre porte monnaie se trouve dans les mains de la BCE, comme les autres partenaires aussi on ne peut plus décider sans l’accord d’iceux. On préfère pour le moment, tergiverser que de faire l’unité (sociale et autres) et tant pis si une certaine décadence vient poindre son nez.

Tant est si bien que l’€uro plonge pour atteindre aujourd’hui 1,29$ car l’agence de notation financière a l’intention d’abaisser la note souveraine du Portugal au regard des perspectives et de sa situation des finances publiques. Certes, pour les échanges commerciaux, c’est un bon point mais cela fait souffrir le CAC40 qui perd 1,15% ramenant la cotation à 3645,31.

Ceci se répercute évidemment sur le monde entier, à travers les bourses.

La résultante serait une volonté politique européenne forte mais c’est plutôt les dissensions qui voient le jour.

Pendant ce temps là, la Chine et certains pays émergents vont montrer une force d’ici deux à trois ans nous plaquant au sol si rien ne se dessine. Surtout la Chine, qui maintenant se lance dans l’innovation, la recherche et qui peut se plaire à prêter.

Robert-Paris.

Published in: on 5 mai 2010 at 17:07 Comments (1)
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