Nouvelle contribution du ménage français ?

Le Corps des Humbles, généralement, ne s’implique guère dans une situation monétaire et surtout pas dans la définition d’un budget comme l’état français.

Toutefois, celui-ci se permet de mettre l’accentuation sur un défini qui offense autrui, car c’est toujours les mêmes qui payent.

Il est assez, que l’on fustige le contribuable et que l’on manipule icelui  à des fins personnelles au nom de la « France ».

En effet (et les médias participent sans faire un travail de profondeur), dans les quotidiens d’aujourd’hui, les avantages en matière de l’immobilier, de la santé, des revenus, etc… sont censés pour les ménages être mis à une contribution, un allégement d’avantages voire un effet dont la teneur révèle une sustentation pour éponger un déficit de l’état qui ne cesse sous un souffle, à grandir. De surcroît, les régions, les départements et les communes ou autres sont de ce fait, dans le collimateur alors qu’ils ne peuvent plus remplir une tâche de par l’ampliation des directives.

Il suffit et il suffirait de mettre à une contribution normale pour toutes les entreprises mais sans « passe droit « .

Il faut savoir que les 50 premières entreprises françaises, par exemple, bénéficient d’un forfait pour l’impôt du CA sur les entreprises et que cela se négocie encore aujourd’hui à Bercy. En sachant que les petites entreprises payent « plein pot » , il n’est pas normal que l’un paye et que l’autre (par pressions) se permette de se limiter à une contribution d’une valeur plus ou moins de 14% (voire moins) alors que les autres sont à plus de 30%.

En sus, la peur qu’elles provoquent auprès des institutions font que le politique étant désarmé, favorise le phénomène.

Or, selon les calculs des divers ONG, sociologues, partenaires de l’équité, comptables, médecins,…, Il est a dénoncer que l’attribut de cette principauté fait aux ménages, ne peut qu’engranger une dislocation des préceptes de notre institution.

Total, AXA, BNP, Crédit Agricole, carrefour, société Générale, peugeot, EDF, France Télécom, Suez, Saint Gobain, Renault, Caisse d’Epargne, Auchan, Véolia, Vinci, Bouygues, Sanofi, GDF, ETC… sont les principaux acteurs qui pourraient nous aider (d’ailleurs on peut remarquer que certaines entreprises bénéficient depuis la genèse, de la contribution des contribuables) à suffire à ce problème que nous espérons éphémère.

Si une entreprise veut quitter la France, qu’elle le fasse au lieu de dire à certains français de le faire, mais avec l’avantage que ceux qui gouvernent l’entreprise, perdent la nationalité française.

Ne vous inquiétez pas. Deux ans après, ils ne peuvent que revenir ou mourir car la pensée mondiale ne fait pas de cadeaux sans juste retour.

Certes pendant ce temps, l’ex-ministre de la justice Rachida Dati, lors d’un débat explicitant l’économie (?) confond le mot inflation avec le mot fellation, ce qui n’arrange pas les choses car elle pourrait éventuellement donner une tachycardie à la bourse de Paris. Mais même si on ne coupe pas la parole à quelqu’un qui a la bouche pleine (nous précisons de pensées!), on est en droit d’avoir une opinion.

Robert-Paris.

Manifeste pour la retraite

La retraite n’est qu’un aspect de notre société qui ne peut exister  que si une réforme totale de notre forme de pensée sociétale pouvait voir le jour.

Encore faut-il que chacun admette que nos structures ne répondent plus à notre univers et que l’on vit  maintenant sous une infrastructure comme sous une tente à oxygène.

La vie n’est pas un long chemin paisible, où les herbes et les fleurs qui se dessinent aux couleurs de votre plaisir, et qui vous caressent à votre passage tout en vous laissant un doux parfum dans le sillage, comme pour vous retenir.

Notre système est mort depuis quelques décennies. En effet, que ce soit l’assurance maladie, le chômage, la retraite et surtout la maternité (creuset de la pérennité d’une nation) n’ont que pour nourriture, l’argent et ses dérivés pour pouvoir vivre. Certes, le rêve peut faire perdurer quelque peu la situation et en ce domaine, la nomenclature politicienne à l’art de maîtriser ce phénomène mais qu’en est-il au demeurant ?

Notre fondement institutionnel se veut être que l’on prenne à quelqu’un pour donner à l’autre au regard des capacités de celui-ci à donner un fruit dont l’existence sera bénéfique pour autrui. Or aujourd’hui, on  n’arrive pas à donner une valeur aux êtres et aux choses, tant est si bien que l’on va donner démesurément à quelqu’un qui ne rapporte rien à la société et rien ou peu à celui qui fait genèse.

La naissance de l’Europe et de la mondialisation mettent au placard toutes les institutions (si on ne prend pas garde) qui balbutient pourtant quelques mots & des maux mais qui se noient sous nos yeux dans cet océan du profit et de la cupidité. L’homme politique est désarmé et ne peut que se cantonner dans la situation à vouloir en tirer une gloire, un profit ou un pouvoir (limité).

Une solution ? Soyons pragmatique dans les faits si nous prenons comme support l’argent ou ses dérivés. Il serait bon déjà que les dirigeants de chaque entreprise française qui délocalise perdent le statut de français. Pourquoi, parce que en voulant voir ailleurs pour baisser le coût d’une marchandise à des fins personnelles, ils gardent quand même le statut de français donc sous la protection de la nation française. Pourquoi, on imputerait aux français le coût financier d’une intervention dans le monde pour sauver quelqu’un qui ne veut pas participer aux principes de la nation française? Car à force de laisser la délocalisation prendre le pas, il y aura plus de chômeurs, de malades et de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté enfantant comme par le passé, une guerre civile ou autres (pour la date voir non pas dans les cartes mais dans l’histoire). Mais pour cela, il faut une reconnaissance internationale soit par le biais du « gros machin » de l’ONU mais çà, c’est une autre histoire.

Second exemple: Selon les informations, un sénégalais repérait des femmes enceintes qui n’avaient pas la nationalité française. Puis, suivant un arrangement financier de l’ordre de 200€, il reconnaissait l’enfant auprès de la CAF procurant ainsi la nationalité à la femme tout en percevant des allocations. Heureusement, on a découvert le pot aux roses au bout d’une centaine de déclarations mais malheureusement la loi dit que l’on est pas obligé d’apporter génétiquement la preuve de la parenté. Coût pour cette fraude à l’institution ceci pour l’année dernière seulement le montant de 800 000 000 €. Pourquoi ne pas déchoir de la nationalité française les personnes qui se prêtent à ce jeu et de ce fait les raccompagner là où elles sont nées? Ce n’est pas de la discrimination que de mettre ceux, qui discréditent notre forme de pensée, dans la situation de porter une anée ? Nous laissons en ce sens, les détracteurs à continuer de s’auto-flageller ou de consulter un psychiatre car l’auto-mutilation  ne peut voir le jour dans notre conception.

En clair, la retraite ne peut-être viable, comme la sécurité sociale et autres ustensiles de notre constitution, que si notre économie est en bonne santé mais aussi que le comportement de chacun de cette entité soit saine et en conformité avec ce qui unit chacun de nous sous un emblème qu’est notre drapeau.

Robert-Paris.


Pierre Macari au balcon de son art

L\’art du piano selon Macari vidéo

suite du reportage sur le facteur de piano Macari


Il est dans les méandres de notre société, un savoir dans le métier mais aussi une passion, celui du piano. Pierre Macari, à travers ce reportage, apporte sa contribution en ce domaine qu’il nous invite à découvrir par ces deux vidéos dont la teneur vous guidera certainement vers une compréhension.

Robert-Paris.

Regard sur la rentrée scolaire 2010

A l’heure où nous vous parlons, la cloche va bientôt retentir pour une nouvelle rentrée des classes sous l’appellation 2010/2011, ce qui  suscite les sens des uns et des autres.

Les parents s’affairent pour confier sa progéniture, selon les caractéristiques  du moment, pendant que les enfants s’agrippent aux derniers instants des vacances.

En haut lieu, pendant ce temps, on s’agace un peu de ne pas avoir déjà les effets des nouvelles dispositions qui rentrent maintenant dans une tradition, en occultant quelque part, la perception des précepteurs qui ont la charge de transmettre un savoir.

En effet, car il apparaît une notion autre que la rentabilité qui se trouve être, l’aspect financier et dont la charge revient, au gré du temps, à des entités qui n’avaient pas une vocation à parfaire en la matière.

Pour ce faire, on usite une déclinaison juridique qui s’empile sur les autres et qui parfois prend un contresens, mais qu’importe car elle porte un nom.

C’est normal et c’est humain que d’imposer une vision.

Toutefois dans cette collégiale, la médication peut émettre des effets indésirables.

L’enseignant qui est noté sur son aptitude à la soumission hiérarchique, s’inhibe peu à peu, stigmatisant son rôle au point que l’élève croit voir une faiblesse (ce qui incite à la domination).

L’enseignement étant passé de l’objectif (apprendre par coeur) au subjectif (apprendre par la déduction que fait l’élève), on s’aperçoit maintenant que cela peut engendrer et faciliter, avec l’âge venant et par absence d’acquis, les faveurs en outre de la maladie d’Alzheimer, parce que la mémoire n’a pas été travaillée. Il en résulte en ce sens, non seulement une multiplication de troubles mais une infinité d’actions du sujet évoluant dans le temps qui répondra suivant les événements, par son acquis qui ne peut qu’entraîner des difficultés sociales.

S’il serait une solution ? Nul doute que le précepteur, seul en contact avec son élève peut déterminer le besoin d’icelui à acquérir une évolution.

La soluté ne pouvant se faire qu’avec la complicité parentale.

De plus, le subjectif ne devrait être enseigné qu’après celui de l’objectif pour laisser place ensuite à celui de la sociologie, ce qui est un autre débat, à notre avis.

En dernier lieu, notre souffrance sociale n’est pas à répercuter sur l’enfant à qui l’on demande bien souvent en permanence d’être adulte tout en lui refusant la prérogative de l’être, sinon vous obstruez son équilibre et son champ de vision.

Robert-Paris.

Quand la justice fait tourner le lait !

Notre société a un fondement qui doit être appliqué à fortiori, par la justice.

Or celle-ci, ne suit pas son principe en déboutant pour exemple, les grands-parents (à angers) qui voulaient contester le statut de pupille de la nation de leur petite fille née sous X en juin 2009 de façon prématurée et reconnue comme pupille de l’état (le 14 août 2010) selon les volontés de la mère de l’enfant.

 

Cette petite fille que l’on nommera « Belle » pour la protéger, se voit baguenauder de famille d’accueil en famille d’accueil, selon la prescription d’une justice en attendant une reconnaissance et en dépit de l’amour que l’on peut lui prodiguer.

Suivant les attendus, la justice a émis un rendu envers les grands-parents déployant les termes  » … Ne peuvent se prévaloir d’un lien de filiation qui est rompu de par l’accouchement sous X… » « ..Ni d’un lien affectif… » alors qu’iceux avaient, par un examen sanguin, fait la preuve d’un attachement outre sentimental.

  Depuis la révolution et le code civil institué par Napoléon, il est une constante juridique que « la famille doit pourvoir à sa famille et surtout en cas de faiblesses d’une de la composante. Dans le cas contraire,  elle sera prise en charge avec le statut qu’il se doit, pour subvenir à son épanouissement ».

En clair, la société (soit la nation française) prend en charge l’enfant lorsque celui-ci est dépourvu d’un affectif et d’un nourricier.

  La faiblesse aujourd’hui, est de constater que la famille est séparée de sa progéniture et que le trouble émane d’une justice qui croît bien faire.

En ce domaine, il n’y a pas besoin d’instruire mais de favoriser l’accouplement entre les grands-parents et cet enfant qui ne demande qu’à grandir, ce qui enfantera sûrement un rapprochement dans le temps avec l’instigatrice & l’instigateur.

« Souffrir n’est pas jouer ! » aussi, il serait bon et cela sans un rendu que l’on octroie, cette paternité, bien que l’on reconnaisse par la suite la chose.

Au moins faire un essai ! Pourquoi remettre à un étranger, un enfant dans une famille d’accueil alors que la parenté est là ?

  Le Corps des Humbles ne peut se prêter à rendre hommage sur ce déclamatif à une institution qui se doit tant aux contribuables qu’aux citoyens.

Ceci fait dans un souci d’allaiter pour ne point faire paraître une jurisprudence.

  Robert-Paris.