Pathologie de l’eau

Il est, dans une configuration de l’esprit humain, et sans rentrer dans les détails du moi et surmoi qui peut solliciter le conflictuel, selon l’apport ou non du génétique et de l’antécédent, une pathologie de l’eau par référence.

Pourquoi s’attacher à cette référence ? Tout simplement parce que l’eau à sa source prend le chemin le plus court en suivant la topologie des lieux. Durant son voyage, elle se charge d’oligo-éléments qui lui donnent une richesse, selon la configuration, pour terminer sa course dans la mer ou dans un lac où les sédiments se déposent à la faveur de l’immobilité omniprésente, ceci malgré les soubresauts de Dame Nature.

Chez l’homme, il en est de même, sauf qu’il a le choix de s’attarder ou pas dans son voyage et selon l’octroi que lui accorde son univers.

La pathologie de l’eau peut prendre plusieurs formes et annonce bien souvent la maladie d’Alzheimer.

Prenons le cas d’une personne envieuse ou qui occupe un poste à responsabilité (caricature d’un cas extrême) et qui se sert de son quotient parcellaire pour dominer quelqu’un ou une chose en utilisant l’agression par obscurantisme ou non pour seul bagage. Il en résulte que si c’est un objet, il ne peut-être que détruit mais si c’est une personne, il apparaît que le temps émis pour répondre à l’agression donne en premier lieu un avantage à l’agresseur. Toutefois, son acte recèle une absence d’intelligence qui la cantonne à réitérer mais pas à subvenir à une richesse tout en perdant du temps à convoiter. En effet, elle prend quelque chose à autrui sans pouvoir prétendre à engendrer une évolution tant de sa personne de ce qu’elle détient. Elle s’enfermera donc sur elle-même par manque de savoir réduisant ainsi une longévité par manigances. Avec le temps, il ne restera plus en mémoire que la complexité d’une forme de pensée qu’il voudra faire perdurer mais qui isolera le patient du monde qui l’entoure. En fait, à la fin de notre vie, on ne se sert que de l’outil dont on a utilisé dans sa vie. Sachant que l’homme est comme l’eau en s’adonnant à prendre le chemin le plus court, on peut se douter d’une arrivée fulgurante.

En clair, il n’est de cesse à l’homme de devoir pourvoir à ses sens afin de s’enrichir sans quoi, à la faveur d’un âge, l’absence de la maîtrise desdits sens et de l’entretien de sa genèse le conduira obligatoirement et plus facilement vers la maladie. Pour ce faire, il est notable que ce que vous apportez à votre entourage sera une récompense par la suite, car il vous accompagnera dans votre ouvrage.

Ceci fait pour répondre à l’attente de certains lecteurs concernant l’article précédent.

Robert-Paris.


Published in: on 27 août 2010 at 15:08 Comments (0)
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