UE, décret & rapport sur le comportement bancaire

Sous la pression de l’Union Européenne et pour être politiquement correct, il a été signifié et mandé à la France de regarder au plus près l’attitude des banques en France face à son client. Une instruction en ce sens, émanant de Christine Lagarde, a été diligentée sur ce phénomène, relatif au comportement bancaire, avant hier.

De plus, de par l’octroi relatif à la fonction, un décret est entré en vigueur sous la dénomination D.2010-257, dont l’origine prend son creuset de l’institution de médiation bancaire.

En effet, le coût moyen d’un possesseur de compte en France est de 150€, mais ce qui est frappant, c’est que l’attitude des banques montre que, la banque fait obstruction voire occultation de l’information et des droits de sa clientèle. De surcroît, comme un prédateur, elle se fige bien souvent sur une clientèle en état de faiblesse passagère entraînant des conséquences que l’on peut qualifier de « grave » et non sur celle qui détient une fortune subjective parfois (selon les dires et notamment de l’UFC).

De plus, il se trouve des abus comme celui d’imputer sur un compte joint des frais parfois de 3% (limité selon la banque jusqu’à 750€) des montants en possession sur le compte pour cause de décès du conjoint. De quel droit, car il faut savoir que le coût d’une succession vient à se faire ressentir en sus. Dito, si le client dépasse son autorisation bancaire qu’il paye en sus des intérêts, il se voit attribuer chaque jour qui se fait, une réunion à 3 heures du matin (sic), pour autoriser moyennant finance, un dépassement alors que l’on sait que la banque ne se relève pas la nuit pour tergiverser sur la solvabilité d’un client (ce qui est punissable en droit commun).

Il serait bon que le politique se distingue de la finance et qu’il est regrettable que l’Union Européenne doive s’en saisir pour faire valoir un droit qui ne peut que profiter à l’état.

Robert Paris.