Spilmont J.P et ses amis à la médiathèque

Vidéo sur J.P. SPILMONT

Il a été hier, à la médiathèque de Chambéry, une rencontre et une présentation de l’oeuvre de Jean-Pierre Spilmont.

Ses amis, comme Michel Ménaché, Albert Facheler, Morier-Genoud, J.Yves Duverney, … se sont prêtés pour la circonstance à l’entourer pour cet événementiel.

Que peut-on dire si ce n’est que, c’est un héritage qui donne à autrui un avantage dont on vous porte aux lèvres l’usufruit.

Robert-Paris.

Spectacle de J.M. Mattei le 18 déc. à Albens

report.2010 0504 ∏ Yannick PERRIN

Le 18 décembre 2010 à 20h30 à Albens, l’humoriste Jean-Michel Mattei se produira sur scène pour le plus grand désir de vous faire rire et de vous faire plaisir.

On peut dire qu’il est monté très tôt sur les planches et qu’il a un savoir faire dans la chanson, les sketches ou autres, car sa mère était en train de jouer une pièce de théâtre quand sa naissance se fit pressante.

Gardant un goût du terroir de Savoie et de Corse, il est un fin connaisseur des attitudes humaines au point de faire le coquin avec votre esprit pour vous faire sourire.

Toutefois, le nombre de places étant limité, Le sou des Ecoles, vous invite à ne pas attendre et de réserver, dès que possible, en téléphonant au 06.42.66.68.49 ou 06.07.46.92.70.

Tarifs: 18€ par personne

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Nouvelle neige à aix les bains le 3.12.2010

vidéo du 3 déc.2010 à aix les bains

Voici quelques images de l’enneigement d’Aix les Bains en ce jour du 3 décembre 2010 qui condamnent l’activité commerciale à d’autres effets que le quotidien.

Robert-Paris.

Message aux auto-entrepreneurs

Au regard de l’afflux de questions concernant le langage du gouvernement et du fisc pour l’avènement du système et de la médication fiscale des auto-entrepreneurs mais aussi celles des P.M.E, et cela sans rentrer dans des détails techniques, le Corps des Humbles s’appliquent à pouvoir répondre à cette attente séance tenante. Par contre, nous ne pouvons répondre au cas par cas.

Il est vrai que les politiques, en instaurant le système de l’auto-entrepreneur, brandissaient dans le verbe que « Pas de chiffres d’affaires, pas d’impôts et pas de cotisations… » mais à l’inscription, chacun aurait dû lire le texte intégral qui engage la personne. Dans la déclinaison, on peut voir que ce n’est pas le cas et qu’une contribution se dessinait dans le déclaratif.

Certes, la suppression de la taxe professionnelle a fait sursauter le territorial (les communes) aussi, il s’ensuivit la mise en place de la CET (contribution économique territoriale) qui dans sa composante  est pourvue de la CFE (contribution foncière économique assise sur la valeur locative) et de la CVAE (contribution assise de la valeur ajoutée).

Cette nouvelle taxe méconnue des acteurs, par absence de communications suffisantes en temps et en heure, provoquent un levée de boucliers et d’interventions au point qu’un rendez-vous est fixé mardi, à Bercy chez le secrétaire d’état aux PME, pour en débattre.

Les auto-entrepreneurs brandissent un engagement à ne pas avoir de charges qu’au regard d’un chiffre d’affaires et les PME voient là, matière  à discussions car pour eux, c’est de la concurrence déloyale.

Dans l’histoire, le fait d’avoir supprimer la TP et vouloir faire miroiter aux auto-entrepreneurs un rapport de charges en fonction d’un chiffre d’affaires, il est un oubli monumental. Les communes ne peuvent fonctionner que si elles perçoivent des recettes.

En clair, les uns se sentent dupés et les autres se sentent lésés, pendant que les communes s’inquiètent du devenir sur la question.

Pourquoi ce rebondissement, maintenant ? Tout simplement parce que les auto-entrepreneurs se doivent d’acquitter des sommes qui ne respectent en rien le chiffre d’affaires mais qui se basent sur d’autres éléments, et cela avant la mi-décembre. En ce sens, il existe plusieurs exemples où pour 300€ de chiffres d’affaires, l’auto-entrepreneur se voit contraint de payer 200 voire 2000€ par cette taxe.

Que va-t-il se passer ? Il est clair qu’une baisse de créations dans la catégorie « auto-entrepreneur » se fera et qu’il s’ensuivra des fermetures en ce domaine, au grand dam des gouvernants, favorisant l’espace « pôle emploi ». L’homme politique sera un peu plus dénigré, par la suite et en dernier lieu, cela pourrait engendrer dans la votation, un changement de comportement, ceci si un accord ne voit pas le jour.

Toutefois, il est comme on dit « que chaque jour suffit à la peine » aussi, on ne peut qu’espérer un compromis en ce domaine.

Robert-Paris.

Visite et Rencontre de Roselyne Bachelot en Savoie

Ce matin, il a été une visite et une rencontre de la Ministre Roselyne Bachelot pour prendre connaissances des attentes de la population d’Aix les Bains, mais aussi prendre acte des recherches de l’observatoire de la famille.

En effet, après un contour de la crèche du quartier de Lafin, « Les Moussaillons », elle s’instruisit du rapport de l’observatoire de la famille avant de quitter la Savoie.

Celui-ci est éloquent car il démontre que la garde des enfants de moins de trois ans et jusqu’à six ans se fait par la famille soit par manque de places ou d’assistantes maternelles mais aussi bien souvent, à cause d’un problème financier pour les familles qui vivent en dessous du seuil de pauvreté.

Les différents acteurs sont intervenus, tour à tour, pour souligner les traits de chacun dans la plus grande convivialité, ce que nous vous laissons découvrir maintenant à travers ce reportage.

Robert-Paris.

Vidéo sur la visite de Roselyne Bachelot à Aix les Bains

J.P. Spilmont à la médiathèque de Chambéry

Sous une barbe qu’il titille, Jean-Pierre Spilmont, écoute le récit de son écrit par des interlocuteurs, avec un regard qui se porte au plus loin, comme pour regarder son enfance.

Accoudé à son esprit, il se laisse bercer dans ce voyage. Puis, après une déclamation un peu solennelle d’un élu, il prit la parole pour enfanter sur un ton un peu nostalgique, son parcours de la vie qui laissera les siens sur le chemin.

« C’est comme si, je regardais dans un rétroviseur…Et pourtant, je suis là, heureux d’être avec vous et avec eux!… »

Il est, à ce moment là, comme dans son écrit qui dit que « chaque instant est une naissance » mais, qui parle d’amour.

Nous sommes à la médiathèque de Chambéry, en ce jour du 16 novembre 2010, pour rendre hommage à ce visage qui dessine le portrait de votre paysage. Des journées « rencontres » sont programmées jusqu’au 11 décembre qui dévoilera pour le final, une surprise de taille. Toutefois, nous ne vous en dévoilerons pas la teneur, juste pour garder la saveur que vous pourrez déguster, en temps et en heure.

Robert-Paris.


Rire ou pleurer ?

Voulez- vous pleurer ou rire ? C’est la question que l’on doit vous poser !

En effet, on ne sait trop comment vous annoncer la teneur des événements aussi, on vous laisse le choix de rire ou de pleurer, selon votre gré !

Sachant que le Directeur de LVMH en une journée, s’est octroyé 18 millions d’€uros (hormis les charges) alors qu’il est un acteur pouvant se permettre d’avoir un délit d’initié donc, d’être en absence avec notre forme de pensées (info du 8/11/2010 sur BFM).

Que le gouvernement français se permet de vendre des ambassades (l’existant étant plus 300 dans le monde, soit plus que les états Unis qui en détient 170) ou les locaux pour subvenir en d’autres lieux (info sur France 2). Qu’il est compatissant de subvenir à des intentions de la Chine pour l’achat de nouvelles technologies avec pour résultantes un acquis d’icelles sans contreparties et que l’état français compte sur notre capacité à pourvoir à des inventions pour y remédier (encore faut-il pouvoir ! ) .

Que son verbe, par le biais du sénat, octroie un titre, en fustigeant la nature de la langue française, pour favoriser la teneur d’une agressivité (bien qu’il soit une souffrance) alors qu’il est en d’autres lieux, une dédicacée à l’harmonie de la dite déclinaison.

Que le maussade appose un ton glacial au regard du temps, i l se peut que cette forme de pensées, créant une satisfaction à la souffrance, n’apporte une résultante voire un satisfecit néfaste à la procréation.

Pour l’heure, le Corps des Humbles, ne peut souscrire à cette indifférence pour autant.

Qu’il en soit ainsi. Rire ou pleurer est une faculté que l’on ne peut vous retirer !

Robert-Paris

Rassemblement du 10 octobre 2010 pour faire choeur avec VIVAVOCE

Vidéo de VIVAVOCE de chambéry

Quand la passion vient à animer l’esprit, elle éclaire mille visages et laisse dans le sillage, une empreinte qui vient s’inscrire dans la mémoire.

Elle colporte mais aussi enfante une destinée que nul ne peut altérer aussi, le Corps des Humbles se devait de vous dévoiler quelque peu l’âme de Viva Voce.

Robert-Paris.

Renseignements par mail :  vivavoce.chorale-chy@orange.fr

Nouvelle contribution du ménage français ?

Le Corps des Humbles, généralement, ne s’implique guère dans une situation monétaire et surtout pas dans la définition d’un budget comme l’état français.

Toutefois, celui-ci se permet de mettre l’accentuation sur un défini qui offense autrui, car c’est toujours les mêmes qui payent.

Il est assez, que l’on fustige le contribuable et que l’on manipule icelui  à des fins personnelles au nom de la « France ».

En effet (et les médias participent sans faire un travail de profondeur), dans les quotidiens d’aujourd’hui, les avantages en matière de l’immobilier, de la santé, des revenus, etc… sont censés pour les ménages être mis à une contribution, un allégement d’avantages voire un effet dont la teneur révèle une sustentation pour éponger un déficit de l’état qui ne cesse sous un souffle, à grandir. De surcroît, les régions, les départements et les communes ou autres sont de ce fait, dans le collimateur alors qu’ils ne peuvent plus remplir une tâche de par l’ampliation des directives.

Il suffit et il suffirait de mettre à une contribution normale pour toutes les entreprises mais sans « passe droit « .

Il faut savoir que les 50 premières entreprises françaises, par exemple, bénéficient d’un forfait pour l’impôt du CA sur les entreprises et que cela se négocie encore aujourd’hui à Bercy. En sachant que les petites entreprises payent « plein pot » , il n’est pas normal que l’un paye et que l’autre (par pressions) se permette de se limiter à une contribution d’une valeur plus ou moins de 14% (voire moins) alors que les autres sont à plus de 30%.

En sus, la peur qu’elles provoquent auprès des institutions font que le politique étant désarmé, favorise le phénomène.

Or, selon les calculs des divers ONG, sociologues, partenaires de l’équité, comptables, médecins,…, Il est a dénoncer que l’attribut de cette principauté fait aux ménages, ne peut qu’engranger une dislocation des préceptes de notre institution.

Total, AXA, BNP, Crédit Agricole, carrefour, société Générale, peugeot, EDF, France Télécom, Suez, Saint Gobain, Renault, Caisse d’Epargne, Auchan, Véolia, Vinci, Bouygues, Sanofi, GDF, ETC… sont les principaux acteurs qui pourraient nous aider (d’ailleurs on peut remarquer que certaines entreprises bénéficient depuis la genèse, de la contribution des contribuables) à suffire à ce problème que nous espérons éphémère.

Si une entreprise veut quitter la France, qu’elle le fasse au lieu de dire à certains français de le faire, mais avec l’avantage que ceux qui gouvernent l’entreprise, perdent la nationalité française.

Ne vous inquiétez pas. Deux ans après, ils ne peuvent que revenir ou mourir car la pensée mondiale ne fait pas de cadeaux sans juste retour.

Certes pendant ce temps, l’ex-ministre de la justice Rachida Dati, lors d’un débat explicitant l’économie (?) confond le mot inflation avec le mot fellation, ce qui n’arrange pas les choses car elle pourrait éventuellement donner une tachycardie à la bourse de Paris. Mais même si on ne coupe pas la parole à quelqu’un qui a la bouche pleine (nous précisons de pensées!), on est en droit d’avoir une opinion.

Robert-Paris.

Manifeste pour la retraite

La retraite n’est qu’un aspect de notre société qui ne peut exister  que si une réforme totale de notre forme de pensée sociétale pouvait voir le jour.

Encore faut-il que chacun admette que nos structures ne répondent plus à notre univers et que l’on vit  maintenant sous une infrastructure comme sous une tente à oxygène.

La vie n’est pas un long chemin paisible, où les herbes et les fleurs qui se dessinent aux couleurs de votre plaisir, et qui vous caressent à votre passage tout en vous laissant un doux parfum dans le sillage, comme pour vous retenir.

Notre système est mort depuis quelques décennies. En effet, que ce soit l’assurance maladie, le chômage, la retraite et surtout la maternité (creuset de la pérennité d’une nation) n’ont que pour nourriture, l’argent et ses dérivés pour pouvoir vivre. Certes, le rêve peut faire perdurer quelque peu la situation et en ce domaine, la nomenclature politicienne à l’art de maîtriser ce phénomène mais qu’en est-il au demeurant ?

Notre fondement institutionnel se veut être que l’on prenne à quelqu’un pour donner à l’autre au regard des capacités de celui-ci à donner un fruit dont l’existence sera bénéfique pour autrui. Or aujourd’hui, on  n’arrive pas à donner une valeur aux êtres et aux choses, tant est si bien que l’on va donner démesurément à quelqu’un qui ne rapporte rien à la société et rien ou peu à celui qui fait genèse.

La naissance de l’Europe et de la mondialisation mettent au placard toutes les institutions (si on ne prend pas garde) qui balbutient pourtant quelques mots & des maux mais qui se noient sous nos yeux dans cet océan du profit et de la cupidité. L’homme politique est désarmé et ne peut que se cantonner dans la situation à vouloir en tirer une gloire, un profit ou un pouvoir (limité).

Une solution ? Soyons pragmatique dans les faits si nous prenons comme support l’argent ou ses dérivés. Il serait bon déjà que les dirigeants de chaque entreprise française qui délocalise perdent le statut de français. Pourquoi, parce que en voulant voir ailleurs pour baisser le coût d’une marchandise à des fins personnelles, ils gardent quand même le statut de français donc sous la protection de la nation française. Pourquoi, on imputerait aux français le coût financier d’une intervention dans le monde pour sauver quelqu’un qui ne veut pas participer aux principes de la nation française? Car à force de laisser la délocalisation prendre le pas, il y aura plus de chômeurs, de malades et de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté enfantant comme par le passé, une guerre civile ou autres (pour la date voir non pas dans les cartes mais dans l’histoire). Mais pour cela, il faut une reconnaissance internationale soit par le biais du « gros machin » de l’ONU mais çà, c’est une autre histoire.

Second exemple: Selon les informations, un sénégalais repérait des femmes enceintes qui n’avaient pas la nationalité française. Puis, suivant un arrangement financier de l’ordre de 200€, il reconnaissait l’enfant auprès de la CAF procurant ainsi la nationalité à la femme tout en percevant des allocations. Heureusement, on a découvert le pot aux roses au bout d’une centaine de déclarations mais malheureusement la loi dit que l’on est pas obligé d’apporter génétiquement la preuve de la parenté. Coût pour cette fraude à l’institution ceci pour l’année dernière seulement le montant de 800 000 000 €. Pourquoi ne pas déchoir de la nationalité française les personnes qui se prêtent à ce jeu et de ce fait les raccompagner là où elles sont nées? Ce n’est pas de la discrimination que de mettre ceux, qui discréditent notre forme de pensée, dans la situation de porter une anée ? Nous laissons en ce sens, les détracteurs à continuer de s’auto-flageller ou de consulter un psychiatre car l’auto-mutilation  ne peut voir le jour dans notre conception.

En clair, la retraite ne peut-être viable, comme la sécurité sociale et autres ustensiles de notre constitution, que si notre économie est en bonne santé mais aussi que le comportement de chacun de cette entité soit saine et en conformité avec ce qui unit chacun de nous sous un emblème qu’est notre drapeau.

Robert-Paris.