Regard sur la rentrée scolaire 2010

A l’heure où nous vous parlons, la cloche va bientôt retentir pour une nouvelle rentrée des classes sous l’appellation 2010/2011, ce qui  suscite les sens des uns et des autres.

Les parents s’affairent pour confier sa progéniture, selon les caractéristiques  du moment, pendant que les enfants s’agrippent aux derniers instants des vacances.

En haut lieu, pendant ce temps, on s’agace un peu de ne pas avoir déjà les effets des nouvelles dispositions qui rentrent maintenant dans une tradition, en occultant quelque part, la perception des précepteurs qui ont la charge de transmettre un savoir.

En effet, car il apparaît une notion autre que la rentabilité qui se trouve être, l’aspect financier et dont la charge revient, au gré du temps, à des entités qui n’avaient pas une vocation à parfaire en la matière.

Pour ce faire, on usite une déclinaison juridique qui s’empile sur les autres et qui parfois prend un contresens, mais qu’importe car elle porte un nom.

C’est normal et c’est humain que d’imposer une vision.

Toutefois dans cette collégiale, la médication peut émettre des effets indésirables.

L’enseignant qui est noté sur son aptitude à la soumission hiérarchique, s’inhibe peu à peu, stigmatisant son rôle au point que l’élève croit voir une faiblesse (ce qui incite à la domination).

L’enseignement étant passé de l’objectif (apprendre par coeur) au subjectif (apprendre par la déduction que fait l’élève), on s’aperçoit maintenant que cela peut engendrer et faciliter, avec l’âge venant et par absence d’acquis, les faveurs en outre de la maladie d’Alzheimer, parce que la mémoire n’a pas été travaillée. Il en résulte en ce sens, non seulement une multiplication de troubles mais une infinité d’actions du sujet évoluant dans le temps qui répondra suivant les événements, par son acquis qui ne peut qu’entraîner des difficultés sociales.

S’il serait une solution ? Nul doute que le précepteur, seul en contact avec son élève peut déterminer le besoin d’icelui à acquérir une évolution.

La soluté ne pouvant se faire qu’avec la complicité parentale.

De plus, le subjectif ne devrait être enseigné qu’après celui de l’objectif pour laisser place ensuite à celui de la sociologie, ce qui est un autre débat, à notre avis.

En dernier lieu, notre souffrance sociale n’est pas à répercuter sur l’enfant à qui l’on demande bien souvent en permanence d’être adulte tout en lui refusant la prérogative de l’être, sinon vous obstruez son équilibre et son champ de vision.

Robert-Paris.