Quand la justice fait tourner le lait !

Notre société a un fondement qui doit être appliqué à fortiori, par la justice.

Or celle-ci, ne suit pas son principe en déboutant pour exemple, les grands-parents (à angers) qui voulaient contester le statut de pupille de la nation de leur petite fille née sous X en juin 2009 de façon prématurée et reconnue comme pupille de l’état (le 14 août 2010) selon les volontés de la mère de l’enfant.

 

Cette petite fille que l’on nommera « Belle » pour la protéger, se voit baguenauder de famille d’accueil en famille d’accueil, selon la prescription d’une justice en attendant une reconnaissance et en dépit de l’amour que l’on peut lui prodiguer.

Suivant les attendus, la justice a émis un rendu envers les grands-parents déployant les termes  » … Ne peuvent se prévaloir d’un lien de filiation qui est rompu de par l’accouchement sous X… » « ..Ni d’un lien affectif… » alors qu’iceux avaient, par un examen sanguin, fait la preuve d’un attachement outre sentimental.

  Depuis la révolution et le code civil institué par Napoléon, il est une constante juridique que « la famille doit pourvoir à sa famille et surtout en cas de faiblesses d’une de la composante. Dans le cas contraire,  elle sera prise en charge avec le statut qu’il se doit, pour subvenir à son épanouissement ».

En clair, la société (soit la nation française) prend en charge l’enfant lorsque celui-ci est dépourvu d’un affectif et d’un nourricier.

  La faiblesse aujourd’hui, est de constater que la famille est séparée de sa progéniture et que le trouble émane d’une justice qui croît bien faire.

En ce domaine, il n’y a pas besoin d’instruire mais de favoriser l’accouplement entre les grands-parents et cet enfant qui ne demande qu’à grandir, ce qui enfantera sûrement un rapprochement dans le temps avec l’instigatrice & l’instigateur.

« Souffrir n’est pas jouer ! » aussi, il serait bon et cela sans un rendu que l’on octroie, cette paternité, bien que l’on reconnaisse par la suite la chose.

Au moins faire un essai ! Pourquoi remettre à un étranger, un enfant dans une famille d’accueil alors que la parenté est là ?

  Le Corps des Humbles ne peut se prêter à rendre hommage sur ce déclamatif à une institution qui se doit tant aux contribuables qu’aux citoyens.

Ceci fait dans un souci d’allaiter pour ne point faire paraître une jurisprudence.

  Robert-Paris.

Pascal Gallet pour un récital à aix les bains

Bien que les conditions ne se prêtaient pas pour la circonstance, le Corps des humbles de Savoye a diligenté une entrevue pour le récital de Pascal Gallet à Notre Dame d’Aix les Bains, ce 27 avril 2010, au profit  des paralysés de France.

 

Ce personnage est un émoi en  soi, que l’on vous convie à découvrir à travers ces images.

 

Robert Paris

pascal Gallet en récital à aix les bains

Published in: on 28 avril 2010 at 15:40 Comments (1)
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Manifestation pour la maternité de l’hôpital d’Aix en Savoie

L\’avenir de la maternité de l\’hôpital d\’aix les Bains

A partir du mois de septembre la sécurisation chirurgicale de la maternité d’Aix en Savoie ne serait plus assurée, suite à la décision de la Générale de Santé (actionnaire majoritaire de la clinique Herbert) d’arrêter toute activité sur son site (bien qu’un accord en ce sens avait vu le jour il y a quelques années).

 

Sachant que le CH de Chambéry ne peut absorber l’activité de la maternité en question, on se pose la question aujourd’hui du devenir, bien que le Corps des Humbles avait déjà soulevé les problèmes il y a déjà plusieurs années sur la restructuration de la prise en charge médicale en Savoie.

 

On peut dire que l’opération est délicate pour le Député-Maire Dominique Dord & l’ARS (Agence Régionale de la Santé) car, il est fortement possible que la solution se fasse sous Forceps avec une certaine anesthésie locale pour éviter la douleur.

  Mais voyons pour l’instant, la perception de chacun, à travers ces quelques images qui résument la situation.

 

Robert Paris.

Published in: on 24 avril 2010 at 16:28 Comments (1)
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Visite éclair de Nicolas Sarkozy en Savoie

Un rendez-vous qui retiendra sûrement l’attention des autochtones de Savoie, ce 22 avril 2010. Le Président de la République Française, Nicolas Sarkozy, fera un voyage éclair (un peu plus de quatre heures) dans la capitale de la Savoie.

 Dès son arrivée à 10h30 environ, à l’aéroport, il sera pris en charge par les gendarmes pour le mener jusqu’à la mairie de Chambéry. Puis après un bref passage au palais de justice où se trouve la salle qui a publié le score du plébiscite de 1860, il se dirigera au Château des Ducs de Savoie pour prononcer un discours devant 3000 invités triés sur le volet.

Ensuite, il est prévu un déjeuner dans l’intimité pour 180 convives, préparé par les soins de Guy Martin et ses 20 collaborateurs.

 Pour finir, il recevra des cadeaux  (une cloche de chez Paccard, une sculpture de pierre Margara et le livre « Nice & Savoie » qui jette un nouveau regard sur l’histoire de ce pays) avant de s’envoler à nouveau vers d’autres cieux vers 14h30.

 Pour ce faire plus de 800 hommes (gendarmes, policiers, GIPN, CRS, GSPR, etc…) encadrent la sécurité du chef de l’état (dont certains depuis plusieurs jours) pour cette commémoration du 150 éme anniversaire de l’annexion de la Savoie. Et pour les yeux de cet ouvrage, il est prescrit trois bataillons de Chasseurs Alpins, la Garde républicaine et la Patrouille de France.

 Aux dernières nouvelles (selon un appel du Conseil Général), le Chef de l’état vient par là même, rendre un hommage aux armées.

 Evidemment, il serait indécent de demander le coût de l’heure de ce spectacle qui revient tous les 50 ans mais qui se pose quand même sur les lèvres qui font silence mais, notre rôle n’est-il pas de le dire?

 

Robert Paris.

Published in: on 21 avril 2010 at 19:33 Comments (0)
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Simone Monnier s’est éteinte aujourd’hui

Simone Monnier, fondatrice de Beauvallon, nous quitte aujourd’hui 17 avril 2010, pour rejoindre ses partenaires dans un long voyage où les justes se côtoient dans la simplicité.

 

Chevalier de la Légion d’Honneur, Juste parmi les Justes, elle a rejoint Marguerite Soubeyran & Catherine Kraft avec une certaine intimité qui lui sied à l’âge de 97 ans.

Co-fondatrice de l’école de Beauvallon en 1929 à Dieulefit dans la Drôme, elle fera un parcours exemplaire de plus de 41 ans car, empreint d’une humanité envers autrui exceptionnelle.

Le Corps des Humbles de Savoye ne peut que lui rendre un hommage et s’attache pour l’heure, à subvenir d’un soutien fait de silence, envers la famille, car les mots ne peuvent pas retranscrire la situation.

Repose en paix.

Robert-Paris.

Yve Nicolin au balcon pour le traité d’annexion

Suite à l'article de ce jour du 13 avril 2010, de Pierre-Eric Burdin du Dauphiné Libéré, concernant le statut de la Savoie, le Corps des Humbles suivant l'interpellation de ses lecteurs, s'est rapproché tant du député Yves Nicolin, porteur d'une question, que du journal officiel ou autres entités pour pouvoir déclamer une vérité.

Ceci fait, au regard de la perception des lecteurs de ce journal qui fait son devoir.

Il en résulte un bannissement si on entend les détracteurs car, les Savoisiens voient là que nos députés de Savoie cherchent à résoudre un problème par l’intermédiaire d’un ami de l’UMP (selon les dires).

Il apparaît à la déclinaison, que la personne mise en doute, né le 5 mars 1963 au Coteau (loire), marié et père de 3 enfants adoptés, soit l’instigateur de l’agence française de l’adoption mais aussi du souffle de l’interprétation d’une annexion de la Savoie et d’ailleurs.

Député de son état, il a fait part le 6 avril de son interrogation par écrit au gouvernement de par le texte N° 76121 page 3856 sur le J.O. (que l’on ne peut consulter curieusement dans la simplicité sauf selon l’acuité).

La question se pose:  « Le traité de 1860 est-il toujours en vigueur ? »

Interrogé sur  l’heure (à 15h45) sur ce fait, on nous a fait entendre qu’une communication serait en rapport à la réponse du gouvernement (autant dire qu’il faut attendre plusieurs mois au regard des questions ou faire fi d’une réponse) mais que Yves Nicolin s’empresserait de nous répondre, dès son retour de voyage.

Voilà un bagage qui ne peut rendre hommage à la nation française car l’article 44 du traité de paix en date du 10 février 1947 notifiant auprès des nations unies, la prise en compte de l’annexion de la Savoie voire du rattachement pour les détracteurs à la solde, n’a pas de valeur par absence du dépot.

De plus, le processus du traité de 1860 ne peut avoir une contenance car il est sujet à  s’auto-proclamer avant les autochtones à l’époque, sur une population en joug militairement et financièrement (par le pillage et sans compter l’illétrisme).

En la matière , le Corps des Humbles avait souligné aux plus hautes autorités l’aspect géostratégique de la situation, il y a encore peu de temps (voir le taux d’absentéisme et le recul des partis politiques).

Qu’en est-il maintenant où les deux Savoie (département) s’entendent à plaire tant sur le régional que sur les autochtones par une réunification ?

Rappelez-vous « tout corps plongé dans un liquide… » retrouve une masse constructive qui ne peut renier des valeurs indépendantes d’une volonté (comme l’histoire, l’espace, le temps, la perception, etc…) mais qui garde en son sein les éléments de sa composition par un effet mutagène.

Il en résulte, qu’il soit par incandescence, un référendum (suivant le processus des conseils généraux) qui garantirait une reconnaissance voire une résilience afin de former l’europe des régions, comme De Gaulle se plaisait à formuler, pour ne point créer une dissidence sous l’effigie d’une nation.

En clair, personne ne dit mot mais chuchote à demi-mot pour les maux, cela sans maudire car il faut faire attention aux dires pour ne point s’entendre médire tout en pansant les plaies de la pensée bien qu’elle soit un bien né au détriment de l’entendement.

Alors ? Le rêve est une réalité que l’on conjugue au présent bien que l’histoire fait son devoir.

Robert-Paris.

Voici la question du 6 avril 2010 par Yves Nicolin.

M. Yves Nicolin attire l'attention de M. le secrétaire d'État à l'intérieur et aux collectivités territoriales sur les risques juridiques, politiques et institutionnels majeurs qu'entraîne le traité d'annexion de la Savoie. À l'occasion du 150e anniversaire de l'annexion de la Savoie par la France, des cérémonies et diverses festivités et visites officielles sont programmées durant toute l'année 2010 notamment à partir du 24 mars puisque c'est par un traité signé à Turin le 24 mars 1860 que les arrondissements de Nice et la Savoie (les deux départements 73 et 74 actuels) ont été rattachés à la France du second empire. Sa question se pose pour deux raisons juridiques précises : d'abord et avant tout à l'échelle nationale parce que se pose sans doute une question d'intégrité territoriale susceptible en conséquence d'entraîner des effets internes importants. En effet, la question brutale de savoir si ce traité du 24 mars 1860 est bien toujours en vigueur se pose or ce traité est la clef de voute de tout l'édifice juridique et administratif français en Savoie. Le problème est simple : la France a enregistré à l'ONU sous le n° I-747 le traité de paix du 10 février 1947 dont elle est signataire et dépositaire. Ce traité comportait un article 44 faisant obligation à la France de notifier à l'Italie les traités antérieurs suspendus par l'effet des hostilités de la Seconde Guerre mondiale (traités au rang capital desquels se trouvait naturellement le traité de rattachement territorial de la Savoie et Nice de 1860). Cet article 44 comportait un 2e alinéa emportant l'obligation formelle d'enregistrer cette notification et ce traité auprès du secrétariat général de l'ONU, organisation créée deux ans auparavant en 1945. Cet enregistrement n'a pas eu lieu. Le même article 44 prévoyait un alinéa 3 stipulant qu'à défaut, la sanction encourue est l'abrogation (dans le texte : « les traités qui n'auront pas fait l'objet d'une telle notification seront tenus pour abrogés »). Il lui demande si le traité d'annexion de la Savoie du 24 mars 1860 a été ou non enregistré auprès du secrétariat général de l'ONU et, si cela n'est pas le cas, quelles mesures sont prises par le Gouvernement pour traiter les problèmes subséquents au plan juridique interne ? La question se pose également à l'échelon international où elle rebondit sous l'angle de l'obligation de respect par la France des normes de droit international en vigueur et qu'il s'agit, en fait comme en droit, rien moins que de l'image et de la réputation de l'État français dans la communauté internationale. Il n'ignore pas que la charte de l'ONU de 1945, et notamment son article 1er, ainsi que de multiples résolutions adoptées par l'assemblée générale, ont enjoint les États à faire aboutir le processus général de décolonisation qu'avait initié dès 1941 la charte de l'Atlantique. Il se trouve que 2010 marque officiellement la dernière année de la deuxième décennie de la décolonisation onusienne. En 2010 pourtant, la plupart des ministères et des administrations projettent cependant de participer à des événements commémoratifs ou d'organiser des cérémonies officielles en Savoie ou à Nice. Cela apparaît paradoxal si ce traité d'annexion a été caché à l'ONU et qu'il est abrogé par l'effet d'un traité signé à Paris. Si le traité de 1860 est abrogé du fait de son non-enregistrement auprès de l'ONU, un processus de désengagement de la France aboutissant à un référendum local vis-à-vis de la Savoie et de Nice est inéluctable sauf à prendre le risque d'une condamnation de la France par la Cour internationale de justice de La Haye. Il ne s'agirait pas de voir la France internationalement sommée de fournir des explications qu'elle n'aurait pas ou aurait insuffisamment préparées, voire d'essuyer une grave condamnation puisque la zone territoriale concernée couvre deux départements et demi. Au lieu d'apparaître comme subissant une crise dans une affaire juridiquement délicate voire perdue d'avance et doublement aggravée par la découverte de la dissimulation grossière d'un territoire ayant fait l'objet d'une annexion et par des commémorations officielles défiant (au sens étymologique des termes) le droit international, ne pourrait-on imaginer une prise en compte immédiate et en amont de cette question mettant à l'abri la France de l'avalanche de questions juridiques et politiques internes et internationales délicates que ce défaut d'enregistrement risque d'engendrer et que l'annonce de festivités officielles durant toute l'année 2010 risquent de déclencher et d'aggraver encore ? Il souhaite donc connaître les mesures que le Gouvernement entend prendre pour faire face et anticiper à l'ONU le risque certain de reconnaissance internationale de la Savoie par un ou plusieurs États étrangers ravis de brandir le traité de Paris de 1947 et reconnaître un nouveau micro-état géopolitiquement stratégique et juridiquement détaché de la France sans aucune préparation ni concertation.

Quand la mairie d’aix les Bains s’égare sur stationnement

Depuis quelques temps, le stationnement  payant sur Aix les Bains a changé (voir le précédent article) pour les automobilistes aussi, nous pouvons mieux cerner maintenant les conséquences de cet aménagement qui a fortiori entraîne des troubles.

 

En effet, il est à constater que l’oeuvre entreprise, moyennant finances pour l’obtention d’un droit de stationnement, change les attitudes de chacun.

 

A hauteur de l’avenue d’Annecy ou de la rue Vaugelas (pour exemple), les automobilistes (pour ne pas payer) se réfugient soit sur l’Avenue Saint Simond, soit sur la rue des Fontaines ou en dernier lieu, à la hauteur des Prés-Riants.

Il en résulte encore aujourd’hui, que l’Avenue d’Annecy ou la rue Vaugelas (au bas) est pratiquement vide sur les emplacements payants alors que les rues adjacentes fourmillent  au point de rendre inaudible la circulation.

 

Cette migration pour exemple, qui engendre un engorgement, occasionne des troubles auprès des riverains (comme auparavant les handicapés) qui ne peuvent que nous interpeller à juste raison.

 

Il serait bien de quantifier la destinée de l’attribution, mais c’est au pouvoir de faire un bon vouloir et non le Corps des Humbles qui se promet de transmettre aux élus, la destination.

 

Robert Paris.

Published in: on 12 avril 2010 at 15:11 Comments (1)
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Sandrine Corradi présidente de la FFPMI

« Je suis extrêmement heureuse et fière d’assumer la présidence de la FFPMI (Fédération Française des Professeurs de musique et d’Instruments) à partir de cette année 2010.

Une fédération de passion, de vision et d’amour pour ce métier d’enseignement de la musique… »

 

C’est par ces mots repris dans l’édito, que la nouvelle présidente a marqué sa prise de fonction, lors d’une cérémonie qui rendait hommage à  Alexandre Valentier pour le travail accompli pendant 30 ans au sein de cet organisme.

 

Sandrine Corradi, professeur de piano et directrice de l’école de musique AMADEUS à Aubagne, se veut être, outre le précepteur pour un enseignement , la garante et la tutrice d’une institution reconnue d’utilité publique.

Contact:

www.ffpmi.com

ou

04 42 03 39 21

Published in: on at 9:57 Comments (1)
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On vous coach sur le coach ?

Il y a des mots qui, selon le lieu, le moment, l’aspect social ou autres,  peuvent faire naître quelque chose chez un sujet et un engouement pour élaborer ou construire, mais des fois, c’est pour nuire.

  Prenons pour exemple, le mot « coach » dont la définition chez les intellectuels se trouve être:

 « Le coaching est un accompagnement en miroir d’une ou de plusieurs personnes, pour leur permettre d’atteindre ou de dépasser plus rapidement et plus facilement leurs objectifs personnels ou professionnels, en se basant sur la science maïeutique (art de faire émerger des solutions à/ou dans l’esprit) sur le principe d’une conscience accélérée) ».

En quelque sorte, c’est un défricheur d’âme, un jardinier, un éclaireur, un empêcheur de tourner en rond mais aussi un miroir de soi, selon la définition.

  Déjà, quand quelqu’un vous parle comme cela, prenez donc un peu de recul, car cette personne est plus apte à vouloir avoir une emprise sur votre entité que de vouloir vous aider.

  Tout d’abord, on parle d’un enseignement qui le plus souvent est une pratique chez un précepteur ou un entraîneur aussi, il n’est pas besoin d’employer un mot anglais pour faire reconnaître une qualité (si elle existe).

  De plus, dans la définition, il apparaît que les psychiatres devraient s’interroger car, si le coach en question se met en position de miroir de la personne, le fonctionnel de son esprit est altéré de par la conjugaison, d’où un trouble qu’il faut abroger séance tenante.

  Pour parfaire la chose, on vous emploie au demeurant un titre ronflant comme « maïeutique » pour vous soutirer en finalité de l’argent (beaucoup plus que moins). Si le sujet ne souscrit pas à l’intelligence (ne pas confondre avec l’acquis), le coach ne peut pas faire naître une destinée sauf à destination d’un gousset de sa convenance.

  De surcroît, un homme de trente ans ne peut prétendre à faire vivre un parcours professionnel de 50 ans et pourtant, cela existe par le biais des médias.

  Il en résulte, que le Corps des Humbles de Savoye vous préconise, de ne pas adhérer à cet envoutement mais à celui d’un parterre de professionnels reconnu par les autorités.

  En musique (exemple provoquant des troubles) vous avez la possibilité de vous rapprocher du conservatoire, de la FMS (fédération Musicale de Savoie), de la cité des arts à Chambéry ou  de la FFPMI (Fédération Française des Professeurs de Musique et d’instruments).

  Robert-Paris.

Published in: on 11 avril 2010 at 18:31 Comments (0)
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Programme du 22 éme Festival de l’opérette d’Aix les Bains

Programme du festival de l\’opérette 2010affiche-2010-aix-operette

Le 22éme Festival de l’opérette d’Aix les Bains, qui ouvrira ses portes du 10 juillet au 2 août 2010, a pour objectif de refléter le cadre du 150 éme anniversaire de l’annexion de la Savoie à la France.

Pour ce faire, cela débutera par un gala le 10 juillet 2010, consacré aux opérettes et opéras français du XIX éme siècle. Le 17 & 18 de la semaine suivante « Les valses de Vienne » de Johann Strauss prendront l’espace. Ceci étant, le 24 & 25 du même mois s’ensuivra une pièce de Vincent Scotto « Un de la Cannebière » qui laissera place ensuite le 1er & le 2 août à « La fille du tambour major  » d’Offenbach.

Cette programmation  n’est pas de tout repos et bien que la tension monte au sein de l’équipe de l’association « Aix-Opérettes », Nicolas Grumel (le Président) se veut confiant car il peut compter sur des personnes dont la qualité n’est plus à démontrer. De plus, il peut compter sur  un soutien sans failles de la part de la ville d’Aix les Bains, du Conseil Général et des autres sponsors.

Entouré de Pierre Sybil (metteur en scène), Fabrice Lelièvre (chorégraphe), Raphaël Lavandier & Hélène Chapeaux pour la musique et de toute l’équipe bénévole, il est tout à fait normal que l’on se plonge quelque peu dans une certaine ivresse, pour donner le meilleur que peut se faire à ce merveilleux Festival que l’on a hâte de découvrir à nouveau.

« Pour l’heure, laissons cette équipée sauvage faire son ouvrage pour faire briller dans votre regard, la flamme que l’on attend au tournant. »

aixoperette-2009

Robert Paris.