Pierre Macari au balcon de son art

L\’art du piano selon Macari vidéo

suite du reportage sur le facteur de piano Macari


Il est dans les méandres de notre société, un savoir dans le métier mais aussi une passion, celui du piano. Pierre Macari, à travers ce reportage, apporte sa contribution en ce domaine qu’il nous invite à découvrir par ces deux vidéos dont la teneur vous guidera certainement vers une compréhension.

Robert-Paris.

Montée du Revard

C’est sous un soleil resplendissant que la 35ème édition de la Montée du Revard s’est engagée, dont voici quelques images et résultats.

Robert-Paris.

Nouvelle édition de la montée du Revard vidéo

Regard sur la rentrée scolaire 2010

A l’heure où nous vous parlons, la cloche va bientôt retentir pour une nouvelle rentrée des classes sous l’appellation 2010/2011, ce qui  suscite les sens des uns et des autres.

Les parents s’affairent pour confier sa progéniture, selon les caractéristiques  du moment, pendant que les enfants s’agrippent aux derniers instants des vacances.

En haut lieu, pendant ce temps, on s’agace un peu de ne pas avoir déjà les effets des nouvelles dispositions qui rentrent maintenant dans une tradition, en occultant quelque part, la perception des précepteurs qui ont la charge de transmettre un savoir.

En effet, car il apparaît une notion autre que la rentabilité qui se trouve être, l’aspect financier et dont la charge revient, au gré du temps, à des entités qui n’avaient pas une vocation à parfaire en la matière.

Pour ce faire, on usite une déclinaison juridique qui s’empile sur les autres et qui parfois prend un contresens, mais qu’importe car elle porte un nom.

C’est normal et c’est humain que d’imposer une vision.

Toutefois dans cette collégiale, la médication peut émettre des effets indésirables.

L’enseignant qui est noté sur son aptitude à la soumission hiérarchique, s’inhibe peu à peu, stigmatisant son rôle au point que l’élève croit voir une faiblesse (ce qui incite à la domination).

L’enseignement étant passé de l’objectif (apprendre par coeur) au subjectif (apprendre par la déduction que fait l’élève), on s’aperçoit maintenant que cela peut engendrer et faciliter, avec l’âge venant et par absence d’acquis, les faveurs en outre de la maladie d’Alzheimer, parce que la mémoire n’a pas été travaillée. Il en résulte en ce sens, non seulement une multiplication de troubles mais une infinité d’actions du sujet évoluant dans le temps qui répondra suivant les événements, par son acquis qui ne peut qu’entraîner des difficultés sociales.

S’il serait une solution ? Nul doute que le précepteur, seul en contact avec son élève peut déterminer le besoin d’icelui à acquérir une évolution.

La soluté ne pouvant se faire qu’avec la complicité parentale.

De plus, le subjectif ne devrait être enseigné qu’après celui de l’objectif pour laisser place ensuite à celui de la sociologie, ce qui est un autre débat, à notre avis.

En dernier lieu, notre souffrance sociale n’est pas à répercuter sur l’enfant à qui l’on demande bien souvent en permanence d’être adulte tout en lui refusant la prérogative de l’être, sinon vous obstruez son équilibre et son champ de vision.

Robert-Paris.

Pathologie de l’eau

Il est, dans une configuration de l’esprit humain, et sans rentrer dans les détails du moi et surmoi qui peut solliciter le conflictuel, selon l’apport ou non du génétique et de l’antécédent, une pathologie de l’eau par référence.

Pourquoi s’attacher à cette référence ? Tout simplement parce que l’eau à sa source prend le chemin le plus court en suivant la topologie des lieux. Durant son voyage, elle se charge d’oligo-éléments qui lui donnent une richesse, selon la configuration, pour terminer sa course dans la mer ou dans un lac où les sédiments se déposent à la faveur de l’immobilité omniprésente, ceci malgré les soubresauts de Dame Nature.

Chez l’homme, il en est de même, sauf qu’il a le choix de s’attarder ou pas dans son voyage et selon l’octroi que lui accorde son univers.

La pathologie de l’eau peut prendre plusieurs formes et annonce bien souvent la maladie d’Alzheimer.

Prenons le cas d’une personne envieuse ou qui occupe un poste à responsabilité (caricature d’un cas extrême) et qui se sert de son quotient parcellaire pour dominer quelqu’un ou une chose en utilisant l’agression par obscurantisme ou non pour seul bagage. Il en résulte que si c’est un objet, il ne peut-être que détruit mais si c’est une personne, il apparaît que le temps émis pour répondre à l’agression donne en premier lieu un avantage à l’agresseur. Toutefois, son acte recèle une absence d’intelligence qui la cantonne à réitérer mais pas à subvenir à une richesse tout en perdant du temps à convoiter. En effet, elle prend quelque chose à autrui sans pouvoir prétendre à engendrer une évolution tant de sa personne de ce qu’elle détient. Elle s’enfermera donc sur elle-même par manque de savoir réduisant ainsi une longévité par manigances. Avec le temps, il ne restera plus en mémoire que la complexité d’une forme de pensée qu’il voudra faire perdurer mais qui isolera le patient du monde qui l’entoure. En fait, à la fin de notre vie, on ne se sert que de l’outil dont on a utilisé dans sa vie. Sachant que l’homme est comme l’eau en s’adonnant à prendre le chemin le plus court, on peut se douter d’une arrivée fulgurante.

En clair, il n’est de cesse à l’homme de devoir pourvoir à ses sens afin de s’enrichir sans quoi, à la faveur d’un âge, l’absence de la maîtrise desdits sens et de l’entretien de sa genèse le conduira obligatoirement et plus facilement vers la maladie. Pour ce faire, il est notable que ce que vous apportez à votre entourage sera une récompense par la suite, car il vous accompagnera dans votre ouvrage.

Ceci fait pour répondre à l’attente de certains lecteurs concernant l’article précédent.

Robert-Paris.


Published in: on 27 août 2010 at 15:08 Comments (0)
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Voici « J’ai peur » de l’album de Robert-Paris

Vidéo de la chanson de Robert-Paris \ »J\’ai peur\ »

« J’ai peur » est une chanson de Robert-Paris des années 1992. Il se trouve sur un album du même titre. « La Savoie est un pays béni des dieux » disait Victor Hugo et on ne peut penser autrement en la regardant. Comme une femme qui dévoile certains attraits de son corps, elle nous invite à nous faire vivre un voyage dans les nuages. « I fear » is a song by Robert Paris of 1992. He is on an album of the same title. « The Savoy is a country blessed by the gods » said Victor Hugo, and one can think differently, looking at her. As a woman who reveals some of the attractions of her body, she invites us to experience a journey through the clouds.

La Nuit du Jazz à Aix les Bains

Voici un aperçu de la première édition de la Nuit du Jazz d’Aix les Bains 2010. Outre les têtes à l’affiche, il était intéressant de parcourir les orchestres qui se produisaient. Malgré une pluie battante, le public s’est empressé dans la cité afin de se laisser dépeindre un univers qui porte son fruit et que l’on retrouvera maintenant, l’année prochaine.

Robert-Paris.

Aperçu de La Nuit du Jazz à Aix les Bains (vidéo)

Richard Gotainer à la cité de l’été

Le Corps des Humbles s’est empressé d’aller quérir à la cité de l’été qui touche à sa fin, la perception de Richard Gotainer à l’affiche de cette semaine.

Nous tenons à souligner, que le service animation de Chambéry a toutes les qualités requises pour mettre en place des spectacles et ce, avec un budget des plus moindres.

Pour l’heure nous vous apportons quelques images en attendant celui qui relate la perception de Richard Gotainer.

Robert-Paris.

Richard Gotainer à Chambéry (vidéo)

Pascal Gallet pour un récital à aix les bains

Bien que les conditions ne se prêtaient pas pour la circonstance, le Corps des humbles de Savoye a diligenté une entrevue pour le récital de Pascal Gallet à Notre Dame d’Aix les Bains, ce 27 avril 2010, au profit  des paralysés de France.

 

Ce personnage est un émoi en  soi, que l’on vous convie à découvrir à travers ces images.

 

Robert Paris

pascal Gallet en récital à aix les bains

Published in: on 28 avril 2010 at 15:40 Comments (1)
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René Carron au Panthéon ?

Louange à René Carron

Louange à René Carron

Certes, il est un devoir de remercier les acteurs d’une principauté, mais n’est-il pas important, outre une accoutumance, d’en définir un contour qui vaut le détour.

René Carron, au bout de son devoir, se voit se rendre un hommage, en tant que PDG du Crédit Agricole tant des Savoie que national ou international au Centre des Congrès d’Aix les Bains le 26 mars 2010 (coûteux ?).

Un parcours exemplaire présenté par Jean Pierre Elkabbach qui animait le débat (moyennant finances) , pour mettre en évidence les qualités de René Carron.
Au demeurant, rien ne peut faire outrages en la demeure. Toutefois en fossoyant un passé qui devient un composé, il est un relatif que le coiffeur s’accoutume  à que l’épi ne fasse pas un pli. On cisaille, on dégainasse, on perlasse sur la perlèche, tant est si bien que le fruit se retrouve à la tannerie.
Moyennant un pouvoir, il est un savoir de notre agriculteur qui rend hommage à notre Savoie que nous déposons  ici-bas.
Pourtant il est un regret, que le défini ne salisse en la demeure, la toiture de cet évènementiel.

En effet, qui paye la conjugaison de ce spectacle sinon les appartenants du Crédit Agricole, en tant qu’associés à cette association (car c’est une association) . Le coût étant et se finissant sur un repas au Casino, sans compter la prise en charge des intervenants, la moindre des choses, c’est que la chose soit au parvenant. Comme il est dit « On oublie, que c’est notre argent! »

Que dire quand Jean-François Cirelli  indique que le prix du gaz a baissé « mais que personne ne le sait, car personne ne le dit. Pourtant les français  paieront le gaz moins cher le 1er avril 2010 que le 31mars 2009 » alors que l’augmentation est de 9,7%  au 1er avril de cette année suite à l’accord avec la CRE et que le prix du baril de pétrole baisse, bien qu’une requalification s’est exprimée.
En clair, « on ne respecte plus rien… »

C’est « ballot » quand même que les amis ne puissent pas venir à cette cérémonie qui au bout de trois heures ne peut que  fixer l’inattention des auditeurs sur le débat qui n’en est pas un, puisque que c’est un déclamatif.

Nous rendons pourtant hommage au pied de cette page, à René Carron (cow-boy de la finance ou maquignon, selon les dires des américains), qui n’avait pas besoin de stèle pour son ouvrage.

Robert Paris.

Published in: on 27 mars 2010 at 16:32 Comments (2)
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On paye GDF que l’on privatise pour nous taxer ?

La CRE (Commission de Régularisation de l’Energie a donné son accord à EDF-SUEZ pour augmenter le gaz de 9,7% au 1er avril prochain.

Des informations s’égouttaient de ci, de là, depuis mercredi dernier mais comme il y avait des élections, on ne dit rien avant.

Toutefois, nous ne pouvons l’affirmer car ce n’est plus au ministre de l’économie et de l’énergie d’accorder des hausses mais à GDF-SUEZ de décider les éventuels changements de prix, sous le contrôle de la CRE (sic).

Ce qui est curieux, c’est que quand cela arrange GDF, le gaz est calculé sur le baril du pétrole. Or, nous constatons une baisse du prix du baril mais GDF, augmente la chose de 9,7%, allez donc comprendre quelque chose. En ce sens, UFC-Que choisir considère que c’est un coup de massue et que le mode de calcul est inaudible.

Curieux, que cette entreprise dont la procréation vient de nos impôts soit après une privatisation, celle qui matraque son géniteur sans avoir un pouvoir de recours.

Ce qui est certain c’est que ceux qui se chauffent au gaz vont avoir une hausse en moyenne de 70€ voire plus.

Robert-Paris.

Published in: on 26 mars 2010 at 11:46 Comments (1)
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