Regard sur un maire dans la tourmente

Dans les méandres de notre société et de l’afflux de la technologie, on peut découvrir un fait qui peut engendrer un comportement ou une action. Dans cette vidéo qui est plus qu’une déclaration, nous vous laissons seul juge du bien fondé pour trouver outre la perception, la compréhension.

Vidéo Déclamation d’un maire pris dans une tourmente

Published in: on 12 décembre 2014 at 18:06 Comments (0)

Que la mort soit sur vous ne vient que de votre fait…

On ne sait pourquoi parfois, qu’une douleur vient à instruire à un moment donné, l’esprit au point de crier par monts et par vaux ce qui fait un mal et que l’on rejette. Alors, les poings serrés, on demande à la sagesse d’en dessiner les contours pour en découvrir les tenants et les aboutissants afin de se soulager d’un poids que l’on considère néfaste. A travers les lignes qui vont suivre, vous pourrez analyser une approche de la souffrance afin de la combattre.

« Que la mort soit sur vous, ne vient que de votre fait. Je n’ai ni à interférer, ni à juger et je ne tiens pas à supporter le poids qui peut en découler. Accumuler une haine au regard de ce que vous me fîtes pour me venger est une anée que je ne tiens pas non plus à endosser, cela pour ne pas avoir à vous ressembler. Je laisse donc vos personnages aux mensonges, vols, viols, jugements, lapidations sur autrui et s’il y a naïveté de votre part, elle ne peut contenir la somme de vos faits sans accéder à la conscience.

La conscience ici qui amène à la compréhension, mais encore faut’il qu’elle ne soit pas sous l’effet ou le joug pour votre personne de la jouissance de faire du mal. Un mal qui vient sûrement du plus profond de votre être et que vous projetez en vous protégeant dans le mimétisme du savoir humaniste, familiale ou autres vis à vis de la société. Certes, il se peut que vous soyez sous l’emprise de quelqu’un, mais quelque part vous l’avez accepté. Toutefois la douleur que vous dispensez se retourne(ra) obligatoirement sur vous car il reste en vous, une bonté, un amour qui viennent du creuset de l’enfance et qui ne se sont dévoilée mais qui vous titille pourtant. Je ne peux rien pour vous et vous pouvez continuer de nuire en vociférant que vous êtes un bien fondé. Heureusement aujourd’hui que nos chemins se sont séparés, vous qui avez voulu ma mort dans les douleurs les plus atroces mais sachez que je ne m’attarderai plus à panser vos plaies au détriment de ma personne. Je n’irai pas pour autant non plus cracher sur vos tombes, cela pourrait nourrir votre dessein…. »

Pourquoi parler de ceci et est-il compréhensible qu’une personne se plaise à conter cela si ce n’est pas pour se venger ? Il se peut aussi que quelque part la personne cherche à pardonner ? Je vous laisse à ces questions s’il vous en plait de trouver une réponse (pour vous soulager ?).

Robert-Paris.

Perception d’une erreur de la sécurité sociale

Il arrive parfois, que l’administration soit frappée d’incohérence et qui persiste dans l’erreur.

Suite à une longue hospitalisation, il a été pour un aixois un accès à une hospitalisation à domicile. Dans le cadre de cette HAD, divers éléments se mettent en place comme l’apport d’infirmiers, d’une assistante sociale, d’un portage de repas ou d’une aide à domicile pour le ménage et la cuisine.

Dans ce cadre, un portage de repas fut établie par une branche de la sécurité sociale pour une durée de deux mois puis, d’un mois supplémentaire. Un document est donc envoyé au patient lui signifiant qu’il a droit de telle date à telle date d’un portage de repas à un prix fixe. A la fin de cette aide, le patient cessa cet apport. Puis, quelques mois après, des factures et des mises en demeure pour l’action précité arrivèrent au patient afin qu’il règle les repas en question. Interpellations multiples, il a été découvert des erreurs dans les factures mais aussi une explication plutôt embarrassante. En effet, bien qu’il avait été accordé une aide stipulant une période, une omission s’était glissée. En fait, l’aide ne pouvait pas dépasser un seuil, ce qui n’avait pas été stipulée. Mais, après analyses il apparaissait que le seuil n’avait pas été dépassée et qu’une compensation pouvait être entreprise par le patient pour le montant d’un portage de repas moyennant un montage de dossier, soit 10,05€. On conseilla au patient de contacter son assistante sociale qui elle, lui répondit de monter son dossier et qu’elle ne pouvait intervenir en la matière.

Il résulte aujourd’hui que le patient doit payer des repas et qu’il doit monter un dossier pour un repas.

Sachant que le patient en question avait souffert de deux AVC, on peut se poser des questions. Le malade n’est pas là pour calculer si il rentre dans le cadre d’une aide, ni de sa durée, ni de son montant. De plus, le patient ne bénéficiant que de l’AAH, cela lui porte préjudice du point de vue financier surtout en sachant que le trésor public est en droit de saisir sur le compte bancaire, les sommes dues.

La CARSAT (filiale de la sécurité sociale) devrait stipuler au bénéficiaire les droits dont il a droit et surtout de signifier sur les documents la durée de l’aide au regard de la somme maximum qu’il a droit.

Robert-Paris.

 

 

Published in: on at 17:57 Comments (4)

Les voix du Souvenir par la FMS

Quelle belle soirée qui, sous l’égide de la Fédération Musicale de Savoie, nous a transporté sur le thème de la paix, un programme rendant hommage aux combattants de la grande guerre de 1914/1918. La salle du centre des Congrès d’Aix les Bains garde encore aujourd’hui l’écho de cette représentation inoubliable.

Vidéo de la soirée des Voix du Souvenir

Proposition d’une carte de Vie Professionnelle Active

L’évolution de notre société ne peut se faire qu’avec l’approbation des divers corps de l’état et de ses autochtones pour mettre en place une idée, un concept, afin d’avoir un fruit que l’on espère bénéfique.

Le problème c’est qu’en France, outre le fait d’avoir à acquérir une union, nos us et coutumes se rattachant à des servitudes féodaux d’un autre âge, freinent toutes propositions en occultant les effets du monde extérieur. De surcroît, ceux qui déposent un projet n’ont aucun bénéfice à le faire dans cet état de consommations sinon celui de se le faire voler par certaines personnes dont la fonction est de gérer cela.

Aujourd’hui, au vu de notre technologie, j’ai envoyé une proposition à Monsieur le Président de la République afin de combler une lacune dans le monde du travail, tant pour le travailleur que pour l’état.

Celle-ci est une carte biométrique contenant, comme la carte vitale, les divers éléments de la vie professionnelle active de chacun qui, tenu à jour permettra au détenteur de savoir sur l’instant par exemple, si l’employeur est à jour des cotisations comme la retraite mais aussi pour les divers services de l’état de savoir si la personne ou l’interlocuteur ne travaille pas au noir à l’instant du contrôle.

La sagesse étant une ressource au bonheur, copie a été fait auprès du Président du Conseil Général et du Député maire Dominique Dord. La politesse étant de mise, la Présidence fit une réponse à mon envoi dont voici la teneur.

«… Soyez certain que vos réflexions ont fait l’objet de la meilleure attention… »

Cette sympathique réponse qui met au rebus l’appréciation de la situation retient donc notre meilleure attention.

En effet, outre que l’on constate qu’il soit une suggestion qui ne peut émaner que d’une certaine caste, on peut trouver regrettable de voir que cela pourrait atténuer le coût du travail au noir mais aussi que cela entretiendrait un flou pour le travailleur qui est de plus en plus amené à vivre un emploi précaire. Certes, en parlant de ceci dans l’environnement, on nous fait comprendre que l’idée n’est pas bonne car le travail au noir soulage les petits ménages du poids de la vie, mais à force de fausser nous ne pouvons plus rien déterminer, d’ailleurs çà se voit car ils ne savent même plus combien il faut pour vivre, et le ministère public ne pouvant estimer ce coût fait offrande à de nouvelles charges.

Pour l’heure, il devient à charge pour Monsieur le Député-Maire Dominique Dord et le Président du Conseil Général, de prendre le relais ou de faire silence pour ne pas prendre part à cette idée qui j’espère retiendra l’attention des autres pays car certains sont pragmatiques.

On ne peut penser que cette idée soit dénuée d’un bon sens qui pourraient se joindre dans un lieu à d’autres idées, projets ou concepts tendant à faire profiter la nation vers une évolution, cela moyennant une compensation.

Robert-Paris.

 

 

Toulouse, son tueur & son analyse

S’il est une analyse dans le dossier du tueur au scooter à Toulouse, il est un précis à faire.

Contrairement à l’exposé par les médias, des cultes, des politiques, qui propagent une appréhension, on ne peut que soumettre une interprétation de l’évènement.

Un évènement qui ne peut subvenir aux familles qui sont dans la douleur, bien que la France & le monde entier tiennent à les soutenir en la demeure, comme de notre part envers eux.

Toutefois, il est à retenir une perception, une compréhension de ce tueur que nous devons décrire.

Mohamed, de son prénom, qui a 24 ans, s’est permis, selon ses dires, d’abattre des personnes dont des enfants, le 11 mars, 15 mars, 19 mars 2012 au nom d’un mouvement islamique radical, cela pour mettre en valeur une cause. Une traque s’ensuivit de la volonté de l’état qui amène aujourd’hui les forces de l’ordre aux portes de son domicile vers 3 heures du matin au nord de Toulouse dans un petit immeuble. Des tirs à l’arme lourde blessant 3 policiers du RAID laisseront place par la suite à une négociation d’une main de maître par le service concerné pour aboutir, selon les informations, à une reddition en début d’après-midi. Il résulte qu’à 9h30, une évacuation des voisins devait voir le jour.

Notre perception reflète, que Mohamed, connu des services intérieurs pour des voyages au Pakistan et en Afghanistan, s’est forgé une interprétation sur la situation mondiale et de ses affinités cultuelles & culturelles, ceci par le support médiatique. Puis, son interprétation le poussa à s’instruire auprès des tribus dans le but d’avoir une reconnaissance qui peut faire entendre le bruit de la mort au lieu d’un rapport.

Son abnégation ne peut que soulever une supputation sur son devenir car il se pourrait, au regard de sa mouvance, qu’icelui veuille devenir un martyr à moins qu’il se rende aux forces en présence, qui engendre normalement une analyse psychique que la justice se doit de retenir.

La résultante serait en ce sens, sûrement un déboutement et un internement en milieu hospitalier, au grand dam de la souffrance des familles.

Une perception amène une interprétation chez le sujet qui est, sans un guide, receleur d’une réaction.

Il apparaît, selon son comportement, qu’il ne peut entendre à se livrer et de s’apitoyer sur un avenir qui le conduira soit en hôpital, soit en prison, à moins que le principe de la vie s’inscrive à fortiori à son esprit.

Robert-Paris.

Published in: on 21 mars 2012 at 8:17 Comments (4)

L’indignation par Robert-Paris

Avant-Propos

Pourquoi l’anonyme que je suis, sans titre ni prestige, tient à exprimer sa perception suivant des facultés dont on peut considérer comme appartenant à l’humilité ? De quel droit puis-je décrire les acteurs d’une société, d’une nation, d’un monde, dont l’emprise se fait sous un étiquetage qui ne peut que créer une soumission, un asservissement de l’homme par l’homme en forgeant des castes, des sectes ou des clans ?

Non seulement par la déclaration des droits de l’homme adoptée et promulguée le 10 décembre 1948 à Paris mais aussi pour fortifier mon esprit et peut-être le vôtre, car chaque être humain a des valeurs qui évoluent par cadences dont chaque intervalle demande un espace de temps.

Cette richesse qui en découle, pourrait faire naître une évolution tant de la personne, que de la société mais, c’est sans compter sur les malvoyants qui ne voient là qu’un concurrent, un conquérant, qu’il faut détruire absolument avant qu’il m’accapare un territoire, un éventuel ouvrage? Alors les malvoyants, dans une clairvoyance passagère, ont institués « l’étiquette ».

Une étiquette que l’on appose sur chaque être humain et ceci dès la naissance avec les facultés que procure le bénéfice d’un héritage virtuel ou non.

Pour exemple, il est plus facile pour un roi ou son descendant de se faire ouvrir les portes d’une société et d’avoir accès à certaines prérogatives que le fils d’ouvrier ou d’agriculteur. Encore pis, ceux dont dont le mêtier concerne l’art ou la culture. Ceux-ci bénéficient du rang « d’intouchable » car on considère (par profits) que ce n’est pas un métier mais un don, alors que la fonction en elle-même demande une grande maîtrise, ceci par un travail constant et laborieux.

L’étiquette, bien qu’elle soit utile est en même temps, malfaisante, car elle permet le dénigrement, la soumission du sujet mais aussi sans le vouloir une action, de figer dans le temps, l’instant présent dans une mêmoire dont la viabilité est à remettre en cause, selon l’espace qui lui est concédée.

Prenez un maladroit, un peu timide dans votre champ et recontrez le dans 10 ans, vous ressortirez l’image en question, alors que l’espace temps peut lui avoir été bénéfique.

Il s’inscrit…

Plus de 50 ans déjà que je regarde notre monde et notre société, qui nous ballottent par un verbe ou par des faits, cela au gré des incertitudes, des violences ou des exactions de l’homme sur notre pensée, notre physique, notre éducation, notre devenir…

Comme un enfant qui ne maîtrise pas son équilibre dans son déplacement, une appréhension s’installe en ce sens au point de créer une douleur qui génére une peur à chaque obstacle, allant s’inscrire dans notre mémoire pour se préserver d’une éventuelle réitèration.

Il y a 50 ans en arrière, la codification de notre espace sociètale, familiale ou sociale en mon pays, la Savoie, n’était pas la même que celle qui se décline aujourd’hui. A l’époque, rare ceux qui avaient un téléphone, une téélvision, des WC à l’intérieur du logement ou autres dans le village. D’ailleurs, dans cette zone montagneuse, certaine n’avaient pas accès à l’electricité. Heureusement le chemin des « 30 glorieuses » pourvu à cela. A l’école, comme dans toutes les institutions, il fallait suivre un protocole imposé suivant les édits basés essentiellement sur le respect, l’ordre et le bon vouloir de la personne assermentée qui était sous l’empreinte d’une autre codification sociétale, familiale et sociale antérieure, donc portant un effet mutagène et parfois reprotoxique de la dite codification.

Cet enfant qui apprend à se mouvoir et à garder tant un équilibre psychique que physique (pour vivre dans une société) assimile, face aux déboires qu’il peut rencontrer, plusieurs aspects pour se protéger de son univers qui l’entoure tels que le mimétisme, le savoir, le mensonge, le paraître, et une myriade d’éléments comme l’amour, la bonté, l’humanisme, l’humour qui se trouvent être sous la coupelle de l’instinct de celui-ci, afin d’évoluer ou d’atteindre une reconnaissance, un pouvoir, selon le cas.

En 1960, la femme comme les enfants, étaient sous l’emprise du père ou du patriarche par le biais d’une responsabilité incontesté de la nation. Un père qui subvenait à sa famille en pointant ses particularités de son entourage pendant que sa femme pourvoyaient aux besoins de la maison. Il faut souligner qu’en ce temps là, la nation entière se réjouissait encore d’avoir fait résilience avec la haine et la souffrance de la guerre et préférait relever les manches que de voir perdurer les atrocités.Une pensée qui se dégageait aussi sur toute l’Europe, tant est si bien que les gouvernements de l’époque en cette géographie et des industriels, sentirent qu’une paix entre les peuples devait s’affirmer et s’appuyer sur une union, ce qui enfanta l’Union Européenne que nous connaissons aujourd’hui.

Le monde politique en France, avait pour esprit le visage du Général De Gaulle, défenseur de la nation mais aussi, visionnaire quelque part. Ses détracteurs qui réussiront, plus tard à le mettre à mal, n’avaient de cesse à formuler des actions face à cette intelligence et cette abnégation. Pour garder l’éthique d’une constitution en son breuvage face aux nations, il sera porteur de la décolonisation aux grands dam de quelques familles et divers profiteurs.

L’économie, elle, se portait bien au point de faire venir une main d’oeuvre venant de l’extérieur, en masse. La bonne marche de cette entreprise (socialement) suscitèrent bien des rêves qui eux se nourrissent principalement dans la naïveté et l’utopie. Grâce à la communication naissante, il émana aux communs des mortels, l’appétit de consommations qui prôna la nécessité d’industrialisation dans l’agriculture et autres mais qui révélera, par la suite, dévastateur de l’emploi et du métier.

50 ans plus tard, on s’aperçoit, après moultes péripéties, que l’action de nos gouvernants, a détruit le moule familial et a pris congé afin de ne pas souffrir d’une accusation de malveillances.

La fibre industrielle s’est délocalisée avec un aval d’iceux, sous l’effet de la mondialisation qui s’attache au profit, tout en pensant peut-être que le tourisme, notre art de vivre et nos droits de l’homme, combleraient nos exportations, tout en subodorant que les pays pauvres (comme du temps de la colonisation) se plieraient à produire les tâches les plus ingrates.

50 ans déjà, que l’on peut voir que les moins de 25 et les plus de 50 ans font l’objet d’une discrimination dans le travail, mais à la différence que le support psychique et physique aujourd’hui ne se fait plus au sein de la famille mais au coeur d’une administration. Tant est si bien, de-ci de-là, on voit poindre une mutation qui peut se révéler néfaste voire destructeur d’une entité.

Notre relation avec la mondialisation ne s’arrête pas à des prémices. Elle suscite par exemple dans un couple, le désir, l’obsolescence, l’acquisition et bien d’autres paramètres que l’on ne peut citer.

Un autre exemple, on vend des éléments de notre corps, on décline des qualités psychiques ou physiques pour trouver une âme soeur tout en se gardant une protection.

Serait-ce une honte, un devoir ou autres pour suffire à la consommation ?

L’indignation de ma personne se réfère à la souffrance et au silence qui l’entoure. Le silence est un dédain à la vie et la comédie humaine ne pourra circoncire la chose.

En musique, le silence exprime un besoin de repos ou de mettre une valeur à ce qui est dit aussi je pense, malgré les cris et les crises dans le monde, qu’il est un compromis à faire.

On ne peut plus parler aujourd’hui d’un peuple, d’une nation mais du monde. Chaque lieu, à une singularité, une particularité mais ne peut plus se dissocier de la mondialisation.

Que ce soit l’Inde, la Chine, l’Europe, les Etats Unis, on ne peut subvenir à notre avenir qu’en passant par une réflexion et une institution aux grands dam de certains.

Robert-Paris.

Published in: on 19 février 2012 at 12:46 Comments (6)
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Musilac, la muse du lac sonore

Video des nuisances de Musilac

Sachant que beaucoup de personnes, demeurant à coté du site de Musilac, prenaient des jours de congés pour partir ailleurs afin de ne pas souffrir du bruit, le Corps des Humbles s’est permis d’aller prendre le pouls sur cette manifestation et ce désagrément.

Il faut dire, que nous ne pouvions prendre le son de la façade de la sonorisation tant le son était fort aussi, nous nous sommes mis derrière celle-ci et à bonne distance.

Pour parfaire la chose, nous sommes allés dans divers lieux aux alentours pour mesurer l’importance de cette nuisance que nous laissons découvrir par ces quelques images.

Robert-Paris.

Nicolas Chalvin présente le programme de l’Orchestre des Pays de Savoie

Vidéo de la présentation de l\’O.P.S

Venez découvrir, par ces quelques images, le programme de l’année de l’Orchestre des Pays de Savoie et la perception de son Directeur, Nicolas Chalvin.

On ne peut, en ce sens, que vous incitez à aller aux rencontres proposées.

Robert-Paris.

Quelques mots pour harmoniser la musique

Le Sustentatif est une dénomination en musique pour décliner une action qui répond à une attente. En clair, si vous faites un accord de dominante (accord qui appelle la tonique), le Sustentatif indique que vous allez sur la tonique (du diable « Quinte diminuée »vers l’attirance de sa prédilection). Exemple: Sol SI Ré Fa (Le Si va aller au Do & le Fa va descendre au Mi, le Ré & le Sol selon son  emplacement se déroutant soit vers le Do ou le Sol selon la volonté du compositeur et des règles harmoniques).

En ce qui concerne le Suspensif, il est pour exemple, une volonté par le biais d’un accord chiffré six (c’est à dire un accord dont la tierce est à la basse) ou bien d’un accord chiffré sixte & quarte avec sa conjugaison (comme son nom l’indique, on se retrouve généralement avec un accord de tonique inversé en mettant à la basse la quinte de l’accord que l’on dépose ensuite sur un accord de dominante chiffré cinq soit un accord à l’état fondamental) afin de solliciter les esprits pour un repos ou une attente. Exemple parmi tant d’autres, si dans les faits vous formulez (en partant du grave) Sol Do Mi Sol en accord puis, Sol Si Ré Sol avec un appui en longueur de temps, l’auditeur sentira un besoin de savoir la suite d’où le mot suspensif.

Par contre le Suspentif, non seulement ne rentre pas dans cette catégorie mais sollicite l’oreille humaine et l’esprit à des fins bien particulières. En effet, Il est là pour troubler l’acquisition humaine du genre « çà c’est blanc mais çà ce n’est pas noir ! ». Généralement, il vient bercer l’auditeur en lui susurrant à l’oreille que plusieurs chemins s’offrent à lui par la multiplication du diable de deux voire trois. Tant est si bien que la personne doute de la tonalité qui viendra présentement à son entité. Exemple simple: Do dièse Mi Sol Sib (de par l’appellation) le Do dièse va aller au ré au dessus  pendant que le Sol va aller au Fa dièse ou bécarre pendant que le Sib va atteindre le La et que le Mi (selon la configuration) va soit au Fa ou Fa dièse ou au Ré. Mais, car il y a un mais ! On peut se diriger (selon la volonté du compositeur) vers d’autres gammes comme le Lab ou autres.

Entre-parenthèses, nous rentrons depuis le XX ème siècle dans l’ère du Suspentif et qui s’affirme de plus en plus depuis la dernière décennale car la musique est un reflet de notre société.

Certes, les dénominations sont contemporaines mais facilitent pour l’élaboration de la retranscription musicale.

L’évolution en la matière est qu’un repli sur ces préceptes persistent car il est un besoin pour l’homme de se garantir et de se préserver. Certes, en musicologie, on voit poindre de-ci de-là des manifestes dont la saveur est un besoin de reconnaissances, mais ce qui brille n’éclaire pourtant pas les fondamentaux.

Robert-Paris.